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  1. Il suffit d'avoir un sigycop apte TAP, ca ne dépend en rien de l'unité. Pour répondre aussi, quelques précisions s'imposent. Il n'y a pas de passerelle directe entre le CIRP et la BFST. Le passage n'existe qu'en respectant les règles normales de mutation de l'armée francaise, la réussite des tests d'un coté comme de l'autre. Il est évident qu'un ops d'un coté aura plus de chance d'avoir le droit de passer les tests de l'autre et aura de grandes chances de réussir... Celui qui échoue au CIRP ne tombe pas à la case d'en dessous, genre 1er, car ce n'est pas une case inférieure, juste un type d'emploi différent. Il devra demander sa mutation et faire comme tout le monde : ses preuves ! Il n'y a pas moins d'échec au CIRP qu'au 13 par exemple pour qui commence la formation (le plus dur est d'y rentrer en réalité, c'est là ou se fait la différence). Pour connaitre les deux, je dirais meme que c'est bien plus dur physiquement d’être au 13 au quotidien qu'au CIRP, mais je n'ai pas la prétention de connaitre tous les emplois du CPES. Techniquement ca se vaut à peu près, avec des spécificités dans les procédures, liées à l'emploi et l'engagement. Bref, celui qui réussit au 13 ou au 1er réussira au CIRP, et inversement, et c'est une certitude, j'ai vu les deux... Seule exception pour le NC, là ca demande des qualités particulières, physiologiques d'abord. Et, puisqu'il faut parler du concret, j'ai vu aussi une majorité de types qui n'étaient pas ops dans leurs régiments ( du RI au TAP ), genre mécano, qui étaient passé ops au sein du CIRP. Le plus dur est d'y entrer, le reste c'est du mythe que chacun peut croire ou non...
  2. on te propose un contrat VDAT ... c'est quoi ton truc, porter l'uniforme et honorer une fonction, ou avoir un statut ? Tu crois qu'aujourd'hui il serait raisonnable de te filer un contrat de 5 ans alors que tu n'as pas montré le moindre truc potable jusqu'à présent ... prends le contrat proposé et montre ce que tu vaux. Personne n'a envie de voir un excellent élément partir, charge à toi de le devenir.
  3. tout à l'heure... PILE ! j'aurais des précisions en live, enfin j'espère... Yohann, preuve que les temps changent, et tant mieux ! Je ne parlais pas d'y rentrer cela dit, mais d'y rester, mais c'est une autre histoire. ABC, ce sera votre arme cher Yohann ... Arme Blindée Cavalerie. Votre future devise, ca peut servir : "Onques ne faillit" .
  4. CRISEDENERFS, je comprends parfaitement le ton ironique, je l'aurais eu à votre place. Ce n'est qu'un avis dans le cas ou les recours sont épuisés et que réellement il y a un vice dans la réforme. Si c'est le cas, alors il faut savoir se battre. Si ce n'est pas le cas, c'est de la revendication, et je ne peux pas adhérer, c'est ainsi. Je souhaite bonne chance aux PEVAT et aux commissions pour protéger un acquis qui me parait essentiel. ps : c'est Me Collard, je n'ai pas d'actions dans son étude, donc il y en a d'autres bien plus efficaces.
  5. on peut avoir des étoiles et être cuistot... et s'appeler Bocuse ! :ph34r:
  6. Quel vaste débat ... vous regardez à travers un filtre cher Avengerredsix. Je ne peux aller dans votre sens. Alors oui bien sur, la guerre c'est pas bien, oui vendre des armes c'est pas bien. Une fois ce constat fait, je pense qu'il faut réfléchir beaucoup beaucoup plus loin. Vous avez du entendre parler de "Real politic" . Il s'agit de faire des courbettes et de laisser passer des choses afin de passer des contrats pour les entreprises du pays qui pourront alors s'installer ou importer des armes ou toute chose afin de faire pencher la balance du coté de l'excédent plutôt que du déficit. La réalité est économique, pas morale. Je ne vais pas dire que je suis immoral, bien au contraire, dans un monde idéal, tout ceci n'existerait pas, mais ce monde idéal est une utopie. La France ne vend pas des avions à la Libye ? N'imaginez pas que cette dernière laisse tomber l'affaire, elle ira donner son argent à la Russie ou aux USA ( dans ces cas là ils s'entendent toujours) qui seront bien contents de récupérer les contrats... Les entreprises françaises (il y en a des dizaines) seront pénalisées à terme, et ca ne va pas dans le sens des embauches et des impôts sur les bénéfices, donc c'est une double peine (je la fais courte). Je vous donne un exemple pour appuyer ce que je dis : vous citez le cas du président de la République en 2007 (d'accord ou pas avec ses idées, j'ai du respect pour son statut, question d'éducation), vous auriez pu mettre aussi nos anciens présidents également d'ailleurs, ou mieux, y mettre les déclarations de Mme Obama en 2009 (le 23 dec exactement) disant à Tripoli "le peuple africain remercie le guide pour ses actions humanitaires et ses actions en faveur de l'unité du Continent africain" . La finalité là encore est économique, pas morale. Des exemples comme ca, vous pourrez en trouver des dizaines de part le monde, alors crachez si vous le voulez sur le président, c'est une mode il parait.... C'est nul, petit, cynique : OUI bien sur... Savez vous que les 2 tiers des pays du monde sont des autocraties, pour ne pas dire des dictatures ? Cela veut dire que dans ce monde, nous crevons sur place si nous nous cantonnons au tiers restant, avec toutes les conséquences sur notre sacro-saint système social, le montant de votre future solde ou l'équipement des armées par exemple .... Vous parlez d'envoyer des armées pour résoudre le soucis... Il faut que le conseil de sécurité de l'ONU statut, c'est essentiel ... je ne vais pas tenter d'expliquer pourquoi, vous devriez comprendre vous même. Ça prend trop de temps : oui ! J'ai là aussi une déduction basée sur une expérience précise, mais peu importe. Je vais terminer juste pas un truc qui me tient à cœur : Chaque pays est souverain, possède son système social (ou non), son armée, sa police, ses hommes d'état, etc ... La France n'est pas responsable de ce qui se passe ailleurs, il faut arrêter avec ces idées. La Libye a acheté des armes à la France, et alors ? ce n'est pas l'arme qui est dangereuse, ce sont les mains qui la tienne. En l'occurrence, la France n'appuie sur aucune gâchette (ou queue de détente) à ma connaissance. J'ai une pensée pour ces peuples qui prennent en main leur destinée ... Ça me fait un point commun avec le chef de l'état : la bi-polarité .
  7. si je peux me permettre... si vous voulez réellement avoir un impact, je doute qu'un "juriste de régiment" ait les épaules pour cela. Sans faire offense à la fonction ni aux hommes qui l'honorent, je sais que le niveau n'est pas le bon pour gérer des dossiers devant les tribunaux, fussent ils administratifs. Dans les très grandes entreprises, les juristes qui gèrent concrètement des dossiers du quotidien ne s'occupent que des formalités administratives de base (conseil et contrats) et ne s'aventurent jamais à défendre un dossier, ils n'ont pas le niveau (certains peuvent être pourtant avocat de formation). La Société passe par un cabinet spécialisé pour cela : ca a un cout mais les résultats sont bien plus évidents. Je parle par expérience. Je conseille donc, s'il faut saisir un tribunal, de se grouper au maximum pour que les couts soient minimes, et de mandater un conseil qui tienne la route. Et si je pousse encore l'analyse plus loin, je conseille même un avocat qui sait manier les médias, ca peut toujours servir de mettre une pression supplémentaire... et ca évite que le bouchon soit poussé encore plus loin le cas échéant. Un conseil spécialisé en droit des contrats et droit social devrait faire l'affaire. Bien sur, ce conseil ne vaut que si les décisions prises paraissent léonines... Ca je n'en sais rien, mais le désarroi semble évident et les questionnements nombreux. Il me parait évident également que toute procédure ne peut intervenir qu'une fois les recours internes réglementaires épuisés, mais si j'ai bien compris, il y a ici encore pas mal de chemin à faire en ce sens.
  8. BTX , y'a de l'espoir. merci !
  9. oui BTX, j'ai bien compris. Pendant les années passées, j'ai toujours été célibataire géographique, autrement dit, avec les contraintes du métier, je ne venais pas trop souvent à la maison, mais c'est un mode de vie que j'aime et que ma famille a toujours accepté, d'ailleurs a t-elle toléré que je sois présent ??? (je suis cynique bien sur)
  10. Ca me fait penser à un truc qui se disait dans les rangs : "vous savez pourquoi y'a autant de cons dans l'armée ? Parce qu'ils viennent tous du civil". Ce n'est pas une agression envers vous chrystell0906, juste un souvenir qui m'est venu à la lecture de votre post. Remplacez "cons" par syndicaliste, c'est kif kif. Il vaudrait mieux défendre le statut et les indemnités des militaires plutôt que l'essence même du métier, dont les OPEX font parti intégrante. Vous demandez des OPEX pas trop longues et calibrées au jour prêt, des astreintes pas trop pénibles etc... Vous viendrez vous plaindre plus tard que les pensions baissent pour un temps de service plus long. Le beurre, l'argent du beurre... Ca n'existe pas ! Ça ne date pas d'hier d'ailleurs... savez vous qu'il y a 10 ans déjà, certains militaires (avec une famille comme la votre) partaient pour une durée indéterminée... rentrant parfois au bout de deux mois, parfois au bout de 8 mois. Je ne parle pas de la conventionnelle, mais on s'en fiche, c'est pour dire que le métier est ce qu'il est depuis longtemps.
  11. BTX bonjour, je suis allé voir, et rien ne dit que ce n'est pas possible... le pense que je vais me rendre à Nantes et voir ce qu'ils en pensent, ce sera plus "simple" et surtout plus efficace. Je vous tiens au courant.
  12. hello ryder, bravo pour votre parcours, j'ai lu avec attention et je vois votre détermination. Il y a un conseil qui vous a été donné qui vaut beaucoup : la tête fait la différence. Ce sera le cas le 3 mars, parce que si l'orienteur a un certain poids dans la décision (ca me semble logique), il va falloir le convaincre que c'est VOUS qui êtes le meilleur, même si sur le papier il y a des bêtes physiques ou intellectuelles (on trouve toujours meilleur que soi de toute façon) Parlez avec détermination, utilisez des arguments convaincant qui prouvent votre valeur humaine, ca marche très bien. Une chose qui peut compter, c'est de montrer que vous vous intéressez réellement aux unités choisies : apprenez l'historique, les faits d'arme, les compagnies, les spécificités et faites en sorte que ca colle avec vos qualités indépendamment de vos tests. Bien sur, je vous souhaite le meilleur, et si ca marche, il faut savoir assurer derrière ....
  13. le hasard m'a fait tomber sur la lettre de l'ASAF, et ca va exactement dans le même sens que ce que je dis plus haut, la voici, pour information : "Médias et guerres asymétriques. La liberté d’informer est un droit imprescriptible de nos démocraties. Les pays où elle peut s’exercer librement représentent à peine un tiers des états membres des Nations Unies. Elle constitue un formidable atout de nos systèmes politiques, indispensable élément d’ouverture et de connaissance, condition essentielle des choix démocratiques, et inestimable garantie contre les abus et le retour des dictatures. Autant dire qu’elle doit être protégée contre vents et marées. Mais cette liberté d’informer a un prix. Ceux qui ont la charge et le privilège de la mettre en œuvre ont en effet la responsabilité éthique et morale d’en faire bon usage. C’est d’autant plus vrai que le pays est confronté à la menace d’une crise économique et sociale majeure et que ses forces armées sont engagées dans une guerre difficile en Afghanistan et au Sahel, contre un ennemi dont les repères moraux, religieux, politiques et sociaux sont à des années lumière des nôtres. En d’autres termes, aujourd’hui plus que jamais, il est important de résister à la dictature du tirage ou de l’audimat qui privilégie d’abord l’émotion, le sensationnel, la démagogie ou le voyeurisme et donne une image biaisée des enjeux et de la réalité. Sans compter que l’obsession du scoop contribue parfois à mettre nos forces en difficulté, faisant la part belle à leurs adversaires, dont il arrive qu’on brosse un tableau scandaleusement positif. Cette tendance est vécue comme une véritable trahison par un nombre croissant de Français. Tout le monde garde en mémoire le sordide reportage de Paris Match, réalisé peu après le combat d’Uzbin, qui coûta la vie à 10 militaires français. Nos concitoyens l’ont unanimement condamné tant il était insultant pour nos soldats. Les terroristes, dont on connaît pourtant la cruauté et qui tiennent lâchement en otage leur population, étaient présentés sous un jour honteusement flatteur. De retour en France, les militaires du 8e R.P.I.Ma, durement éprouvés par la mort au champ d’honneur de huit de leurs jeunes frères d’armes, avaient mal vécu l’insidieuse polémique lancée par de faux experts convoqués par les médias qui glosaient à perte de vue sur la jeunesse des paras, leur insuffisante préparation, la faiblesse de leurs protections et la responsabilité de leurs chefs. Récemment encore, nombre de médias ont relayé une polémique sournoise, sur les conditions exactes de la mort d’un des deux jeunes Français pris en otages au Sahel, allant jusqu’à mettre en cause non seulement la décision prise par la France, mais également les forces qui ont mené l’opération. Preuve d’une approche démagogique de ces affaires d’otages, certains médias laissent parfois croire que les terroristes pourraient généreusement libérer nos deux journalistes retenus en Afghanistan ou qu’ils épargneront les touristes capturés au Sahel, alors que ces prisonniers constituent à la fois une monnaie d’échange politique (les dernières menaces d’Al Qaïda le montrent) et l’instrument d’une formidable propagande à laquelle se prêtent complaisamment les médias français. Ce travail de sape quotidien, sous couvert de libre information, mine l’opinion publique en instillant le doute et la lassitude. A terme, cette complicité pourrait même être de nature à infléchir la politique française pour un coût dérisoire. En définitive, ce que l’on entend et voit dans nos médias sur ces conflits ne sert-il pas davantage nos adversaires que nos forces ? Est-il acceptable que les communiqués d’AQMI, entreprise criminelle par excellence, soient diffusés au même titre que ceux des responsables de la nation? N’est-il pas consternant de voir que certains médias ne mettent pas en cause les preneurs d’otages assassins des deux jeunes, mais plutôt les soldats français qui ont risqué leur vie pour les libérer ? On pourrait même aller plus loin et s’interroger s’il est légitime qu’au nom de la libre information et de l’objectivité on se laisse aller à traiter sur le même plan, nos forces et les meurtriers de l’organisation terroriste d’AQMI. Toute la nation doit participer à cette nouvelle guerre de 30 ans : il en va de sa liberté, de sa sécurité et de son honneur. Affichons donc clairement notre détermination en honorant comme il se doit les soldats tombés pour nous dans ces guerres qui ne veulent pas dire leur nom. Au passage, les professionnels de l’information seraient également bien inspirés de résister au corporatisme qui semble faire de leurs collègues journalistes victimes des terroristes ou des Talibans, une caste à part, digne de la compassion particulière de la nation. Alors que les soldats français, pourtant envoyés en Afghanistan par la République, où ils sont engagés pour notre sécurité, n’ont droit, quand ils sont tués au combat ou blessés, qu’à quelques maigres entrefilets dans les journaux et à d’éphémères et laconiques brèves aux informations télévisées, y compris sur celles des chaînes de l’Etat. Commémorer les soldats sacrifiés dans un combat pour notre sécurité avec au moins autant de constance et de recueillement que les journalistes chargés de l’information et victimes de leur métier ou que des touristes surpris au cours de leurs vacances, voilà qui serait la preuve que notre esprit de défense se porte bien, et que tous ensemble, nous sommes déterminés à ne pas subir la loi de la terreur. Mais nous pourrions faire plus pour ceux qui sont morts pour notre sécurité. Pourquoi ne pas projeter la nuit, sur les piliers de l’Arc de Triomphe, le visage de ces soldats? Ils doivent être connus, reconnus et fièrement honorés par l’ensemble des Français ; leur mort n’est pas un fait divers, c’est un sacrifice accepté par et pour la France." (ASAF : 18 rue de Vézelay-75008 Paris – secretariat@asafrance.fr - site :www.asafrance.fr)
  14. Ne pas avoir d'info, ca ne veut pas dire ne rien faire ... Tu n'as meme pas idée (et moi en l'occurence non plus, il manquerait plus que ca), de la somme des efforts réalisés pour trouver une issue convenable. Je l'ai vécu ailleurs, je peux donc imaginer les risques pris en ce moment par certaines unités, et je peux t'assurer que ce n'est plus aujourd'hui que la vie de deux journalistes qui est en jeu ... Le président avait eu une réaction malheureuse à ce sujet au début, je comprends parfaitement pourquoi. Sans compter bien sur le couts que ca engendre.... les journalistes ont beau dos de rabacher les jours qui s'écoulent, et ils le font dans le but de garder la pression sur le haut de l'état en prenant les spectateurs comme témoin, c'est la règle du jeu, et ca marche, ton message en est l'exemple meme. La population doit avoir une confiance pleine envers nos forces armées qui se démènent par là bas pour résoudre la situation. J'aimerais parfois que les journalistes n'oublient pas non plus ces hommes qui tombent parfois pour plus que la défense de la nation : la défense de ceux qui vont à la chasse au scoop.
  15. BTX bonjour et merci ! je vais regarder cela dès demain, si j'ai une question, je n'hésite pas une seconde. Ah oui, je suis marié et j'ai 3 enfants.:)

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