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Opex BARKHANE


BTX

Messages recommandés

Je me suis toujours demander la charge max des taxis ! Quand tu vois comment tu blinde le bordel dedans parfois entre les bidasses et les civils que tu ramasse :lol:!

Tu prends rien que le stick plus pareil en civils , le truc pour décoller il doit être a 80% du max rotor :E!!

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Bah j'ai déjà vue une trentaine de pax dans un pauvre taxi :( ! Du coup en vrai le pilote il prier que sa décolle et nous regarder avec le sourire :lol:!

Puis le mec nav qui n'as pas le choix de récupérer les bébés , dans sa tête il a du dire fu** la courbe , la t4 , :lol:!!

Oué donc c'est compliquer car c'est du cas par cas , donc voila pourquoi j'ai jamais eu de réponse précises ...

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Il y a 15 heures, Aegise a dit :

C'est complexe ça.

Cela dépend des paramètres de puissance de la machine... donc tu as des courbes de puissances à étudier en fonction de l'altitude, la température, de l'installation du filtre anti sable pour protéger le moteur, la quantité de carburant, la masse rajoutée (pax et équipement comme treuil), etc, qui décroit les performances. 

En gros les limitations c'est soit le moteur et donc là il y a des limitations en NG/N1 (quantité de carburant brûlée en fonction de l'altitude par exemple car la masse volumique de l'air est différente également la T1 donc la température de l'air joue et si tu fais le chiant tu peux également prendre le taux d'humidité) et la T4.5 donc la température des gaz brûlées dans le moteur...

Et tu es limité également par la B.T.P donc pour faire simple le gros boitier qui entraîne les pâles et là c'est le couple, car pareil là tu as des engrenages, la liaison entre les deux moteurs, etc, à protéger.

Les seuils sont déterminés par le constructeur et visible par l'équipage (MECNAV + PIL + CDB) pendant la préparation de la mission via le manuel de vol. En gros tu dois faire attention à 3 choses:  la T4 (T4.5 car c'est pris au niveau de la turbine libre donc en sortie de la chambre de combustion) surtout au démarrage, ensuite le reste et les tours rotors (survitesse) les limitations sont la puissance donc les contraintes mécaniques (engrenage, roulement, force centrifuge sur les ailettes du moteur...) et les contraintes thermiques ( chambre de combustion et turbine) et aussi les pressions et températures des liquides/pompes.... et des voyants de pannes... quelques trucs à surveiller donc.

Une fois ça en tête c'est facile de comprendre que en Afrique les perf sont diminuées, vu que tu charges l'appareil, il fait chaud, tu mets un filtre anti sable pour protéger le moteur, etc, (donc si trop lourd tu peux pas décoller car tu emplafonnes tout, surtout le couple vu qu'il croit en même temps que tu demandes de la puissance ) et parfois comme sur le caracal tu as des protections via le calculateur qui t'empêche d'exploser la BTP (qu'il est possible de shunter... avec un coup de bombe :ph34r:)

Après pour les gens à transporter, par convention tu expliques pas ça... tu comptes 100 kg par pax, parfois un peu plus comme le 1RPIMa vu qu'ils sont bien chargés, donc tu dis un stick de 3 et ensuite (une fois que la masse aura diminuée car moins de carburant) un stick de 2 en plus (tu comptes 220 litres heure par exemple de conso carburant, donc une heure 30 pour aller sur l'objectif donc là bas tu peux prendre 2 pax)... c'est une gymnastique à faire, c'est pourquoi tu peux voir les mecnav s'arracher les cheveux avec des tableaux, courbes... et ça c'est la partie vol, la partie mécanique au sol c'est aussi relou... avec les APRS et compagnie... :lol:

Au top Aegise ! Avec des posts aussi complets, on en apprend à chaque fois. Merci de partager ça avec nous autres terriens :m

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il y a 27 minutes, Aegise a dit :

Là je parle un langage que les marins peuvent comprendre parfaitement... :lol:

On se comprend parfaitement ! :lol:

Le 3 mars 2018 à 10:28, BTX a dit :

http://ainsi-va-le-monde.blogspot.fr/2018/03/le-colonel-carleton-remplace-au-mali-le.html

Le colonel CARLETON remplace au Mali le colonel HEON

Blessé le 21 février dans l'explosion d'une mine artisanale (IED) lors du passage du VBL (véhicule blindé léger) dans lequel il avait pris place, le colonel François-Xavier Héon, (commandant le 1er régiment de spahis), a été rapatrié en France.

Il sera remplacé à la tête du groupement tactique par le colonel Stève Carleton, chef de corps du 2e régiment étranger d'infanterie (2e REI, Nîmes).

col-carleton.jpg

Deux militaires du 1er spahis (Valence, Drôme) ont été tués dans cette explosion près de Gao, le maréchal des logis Emilien Mougin, 31 ans, et le brigadier-chef Thimothée Denoncourt, 32 ans.

Fais pas rire les mouettes le colon... Une connaissance à vous @BTX:wub:

Souhaitons lui du succès, et un bon rétablissement au Colonel Héon. 

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il y a 54 minutes, Aegise a dit :

Avec les hélicoptères c'est comme avec les femmes: c'est une histoire de compromis, tu peux tout faire avec mais faut choisir (quantité carburant, bidon de kéro, optionnels, nombre de pax, etc), parfois tu peux taper dedans genre en Afrique si besoin urgent pour te sortir d'une mauvaise situation, mais ensuite faut bien tout vérifier que rien cloche, et surtout pas de vidéo de toi en train de t'envoyer en l'air... ce qui se passe en opex reste en opex.

Et plus le temps passe, plus c'est compliqué (avec l’électronique). 

Là je parle un langage que les marins peuvent comprendre parfaitement... :lol:

 

Mon frère, étais dans un Puma crasher en mer du Nord ,îles Shetland (septembre 2013, je crois) ..releve équipage de platform pétrolier/Total et seul 4 survécu, lui et 3 autres. Secouru par un autre hélicoptère, sea King et helitreuil

Mauvais entretien de l Hélicoptère , résultat de l enquête 

Modifié par Le petit caporal
.
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  • 2 semaines plus tard...

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2018/03/16/le-gal-lecointre-sur-europe-1-barkhane-une-operation-de-long-19161.html

Barkhane, entre "longue durée" et "éternité".

Le CEMA était sur Europe 1 ce matin. Il a répondu aux questions de Patrick Cohen (l'entretien est à écouter ici).

Le général Lecointre y a abordé la question d'une intervention en Syrie (voir ici).

http://www.europe1.fr/politique/intervention-en-syrie-la-france-a-la-possibilite-dagir-en-autonomie-3600761#xtor=CS1-16

Il a abordé l'avenir de l'opération antiterroriste au Sahel et le soutien français apporté à la force militaire du G5 Sahel (Mali, Mauritanie, Burkina Faso, Niger et Tchad). 

"Ce que je pense moi, c'est que l'opération au Sahel est une opération de longue durée pour laquelle nous sommes engagés aujourd'hui dans un appui à la montée en puissance des forces de nos pays partenaires dans la zone", a-t-il déclaré. "L'idée, c'est qu'eux reprennent en charge la responsabilité de cette sécurité et que nous les aidions à lutter contre cet ennemi commun. Je ne vois pas qu'on puisse partir aujourd'hui en tout cas", a-t-il souligné.

Pas de divergence donc avec la position de Florence Parly. La ministre, le 31 décembre, à Tessalit, avait pour sa part déclaré que "le Sahel doit prendre sa sécurité en main et nous sommes là pour les aider". Elle avait précisé que "la France sera présente aussi longtemps que nécessaire, mais la présence de la France n'est pas éternelle." Des déclarations qui font écho à celles de Jean-Marc Châtaigner, envoyé spécial de la France pour le Sahel, en octobre 2017 sur TV5 Monde: "La force Barkhane n'a pas vocation à être pour l'éternité, et même pour une dizaine d'années, au Sahel. C'est aux pays sahéliens eux-même de prendre en charge leur sécurité". Avec des forces locales en éternelle reconstruction, l'avenir risque de traîner en longueur...

Ya Rab Yeshua.

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https://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/general-ferlet-drm-sahel-tendance-n-est-pas-bonne-145320

Général Ferlet (DRM) : Au Sahel, « la tendance n’est pas bonne »

Au cours d’une récente audition par les députés de la commission de la défense, le général Jean-François Ferlet, directeur du renseignement militaire (DRM) a été interrogé par Claude de Ganay (LR, Loiret) qui s’est déclaré « un peu surpris » par des propos du DRM. Interrogé par nos soins, le général Ferlet avait estimé début février qu’au Sahel, « la situation sécuritaire ne se dégrade pas ».

Voici ce que répond le DRM (souligné par nos soins) : «  Mes propos sur le Sahel m’ont valu beaucoup de coups de fil… J’ai passé un an dans cette région, et je sais parfaitement quelle était la situation sécuritaire entre 2014 et 2015. Les djihadistes nous harcèlent, mais cela s’inscrit dans la continuité. Si l’on regarde le nombre d’attaques sur trois ans, mois par mois, quel qu’en soit le type – attaques directes ou indirectes, usage de mortiers ou des Vehicle Borne Improvised Explosive Devices (VBIED), embuscades… –, le bruit de fond est le même. Ce n’est pas une situation satisfaisante, et je ne conseillerais à personne d’aller faire du trekking à Tessalit, mais on ne peut pas parler de dégradation sécuritaire, objectivement.

Certains éléments nous font penser, néanmoins, que la tendance n’est pas bonne. Si le nombre d’incidents sécuritaires n’augmente pas, nous constatons néanmoins un déplacement vers le Sud, dans une région beaucoup plus peuplée, notamment par les Peuls, où le potentiel de déstabilisation est plus important que celui causé par quelques Touaregs djihadistes en plein désert. La population peule n’a pas des revendications spécifiquement djihadistes : elle est davantage traversée par un sentiment de frustration ou par l’impression d’être maltraitée par le pouvoir central, à Bamako : s’il peut y avoir des ralliements à des groupes djihadistes, c’est plutôt par dépit ou pour d’autres motivations qui ne sont pas fondamentalement djihadistes.

Nous avons toujours dit que la menace sécuritaire, compte tenu de son niveau, serait à la portée de nos partenaires si l’on arrivait à les faire monter en puissance. Dans l’ensemble du Sahel, qui représente quand même neuf fois la superficie de la France, le noyau dur est compris entre 450 et 500 djihadistes – auxquels il faut ajouter des intermittents, si je puis dire, qui peuvent poser une mine contre un billet. C’est à la portée des forces locales, à condition qu’elles s’organisent en conséquence et qu’il y ait une volonté de travailler ensemble. »

Ya Rab Yeshua.

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C'est le début ,  c'est normal que la zone soit pas stable pour le moment .

Mais il faudra environ encore 4 ans pour instruire les militaires sur place au technique contre-terrorisme donc il faut juste attendre qu'il soit autonome et là seulement nous pourrons partir c'est pas gagné! Haha

D'ici 2 ans nous verrons mieux le point de situation sur le Sahel.

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http://www.opex360.com/2018/03/22/mali-cinq-militaires-francais-ont-ete-blesses-a-kidal/

Mali : Cinq militaires français ont été blessés à Kidal

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L’État-major des armées [EMA] a indiqué que cinq militaires français ont été blessés par des tirs contre le camp de la force Barkhane et des Casques bleus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation du Mali [MINUSMA], à Kidal, où le Premier ministre malien, Soumeylou Boubeye Maïga était attendu, ce 22 mars.

« Ce matin à Kidal, sur la plateforme où sont co-localisées la Minusma et des unités de Barkhane, à 08h00 heure de Paris, cinq à six coups ont été observés, vraisemblablement venant de tirs de mortier déclenchés à distance », a en effet indiqué le colonel Patrick Steiger, le porte-parole de l’EMA. Cette nouvelle attaque aurait par ailleurs fait d’importants dégâts matériels.

L’intervention immédiate de la force Barkhane a permis d’interpeller quatre individus, « en lien plus que probable avec ces tirs », a précisé le colonel Steiger.

Cette attaque rappelle celle qui avait été commise en juin 2017 contre le camp de la MINUSMA à Tombouctou. Plusieurs militaires français, appartenant alors au Détachement de Liaison et d’appui opérationnel n°4 affecté auprès du 51e régiment des forces armées maliennes (FAMa), furent blessés.

La MINUSMA et la force Barkhane sont régulièrement la cible d’attaques à Kidal, où elles ne sont pas forcément les bienvenues pour certains notables locaux, dont ceux proches du Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA), une formation touareg ayant « recyclé » les militants du groupe jihadiste Ansar Dine en 2013.

PS. Bon courage au colonel Steeve CARLETON.

Ya Rab Yeshua.

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  • 2 semaines plus tard...

http://www.opex360.com/2018/04/05/barkhane-30-jihadistes-elimines-lors-dun-accrochage-commandos-parachustistes-francais-forces-maliennes/

30 jihadistes éliminés lors d’un accrochage avec les commandos parachustistes français et les forces maliennes
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Un communiqué publié par le Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA) et le Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia) a fait état, le 2 avril, de deux accrochages sérieux avec des « malfrats » dans la région de Menaka, dont un dans les environs d’Akabar, près de la frontière avec le Niger. Et ces deux organisations pro-gouvernementales ont donné le bilan d’une vingtaine de tués parmi leurs assaillants.

Ce 5 avril, l’État-major des armées (EMA) a donné des précisions au sujet des évènements du congé pascal. Ainsi, son porte-parole, le colonel Patrick Steiger, a parlé d’un accrochage sérieux ayant eu lieu dans la région d’Akabar, dans le cadre d’une « opération de reconnaissance et de contrôle de zone » menée depuis le 28 mars par un détachement de commandos parachutistes de la force Barkhane et les Forces armée maliennes (FAMa), en liaison avec les militaires nigériens et un « groupe d’autodéfense local ».

« Le 1er avril, ils ont été confrontés à un GAT [Groupe armé terroriste, ndr] estimé à une soixantaine d’individus, à environ 90 km au sud de Ménaka et à 3 km de la frontière nigérienne », a ensuite précisé le colonel Steiger. La zone où ont eu lieu les combats est connue pour abriter les combattants de l’État islamique au grand Sahara (EIGS), le groupe responsable de l’embuscade ayant coûté la vie à 4 militaires des forces spéciales américaines au Niger, en octobre dernier. Au cours des combats, deux hélicoptères d’attaque Gazelle et deux Mirage 2000 ont été sollicités. Mais aucune frappe aérienne n’a été réalisée. Au total, 30 jihadistes ont été éliminés par les forces françaises et maliennes. Des « pertes » sont à déplorer « côté malien », a précisé le colonel Steiger, sans donner plus de détails. Cela étant, le communiqué du MSA et du GATIA parlait de 3 tués et de 5 blessés dans leurs rangs.

Cet accrochage s’est produit alors que, trois jours plus tôt, une autre opération, menée cette fois dans la région de Tombouctou, visait Saïd Dagdag (alias Abdourahmane Al Maghrebi), un jihadiste d’origine marocaine présenté comme étant un « redoutable formateur dans le maniement d’armes lourdes et des explosifs. » Ce dernier a été tué par, d’après la presse malienne, lors de « violents échanges de tirs » avec les militaires français.

Good job kids !

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Ya Rab Yeshua.

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http://www.opex360.com/2018/04/07/missile-moyenne-portee-va-bientot-connaitre-bapteme-feu-sahel/

Le Missile Moyenne Portée va bientôt connaître le baptême du feu au Sahel
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En novembre dernier, la Direction générale de l’armement (DGA) a annoncé la livraison d’un premier lot de 50 Missiles Moyenne Portée (MMP) et de 20 postes de tir, afin de former les « primo-utilisateurs ». Et de préciser qu’il était question de déployer ce nouveau missile antichar en opération en 2018.

Selon Janes, qui cite le major Jean-Luc Dietler, de la Section technique de l’armée de Terre (STAT), le MMP devrait être déployé en juin, voire en septembre, au Sahel, dans le cadre de l’opération Barkhane. Quatre unités en seront dotées, dont le 2e Régiment Étranger d’Infanterie (REI), le 2e Régiment Étranger de Parachutistes (REP), le 1er Régiment de Hussards Parachutistes (RHP) et le 3e Régiment de Hussards. De même qu’un régiment des forces spéciales qui n’a pas été précisé (1er RPIMa ou 13e RDP).

Lancé en 2011 dans le cadre d’un contrat notifié à MBDA, le MMP doit remplacer les missiles Milan, Javelin, HOT et ERYX. Dit de 5e génération, ce missile est d’une très grande précision, laquelle « autorise des frappes à plus de 4.000 mètres en minimisant les risques de dommages collatéraux », avait expliqué la DGA. Doté d’un d’une charge militaire polyvalente et d’un autodirecteur bi-bande visible/infrarouge non refroidi qui lui permet de viser des cibles « chaudes » ou « froides » (véhicule blindé, abris durcis, casemates, etc), le MMP utilise plusieurs technologies, dont la charge multi-effets, la liaison de données haute performance par fibre optique, le traitement d’image, les interfaces homme-machine, etc. À tout moment, le tireur peut intervenir sur sa trajectoire afin d’éviter tout dommage collatéral. Détail important : conçu avec des matériaux légers, il ne pèse que 15 kg (contre 11 kg pour le poste de tir).

Le projet de Loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025 a revu à la hausse le nombre de MMP devant être livrés à l’armée de Terre d’ici 2025, en le portant à 1.950 exemplaires (au lieu de 1.550).

Le MMP armera également les Engins blindés de reconnaissance et de combat (EBRC) Jaguar ainsi que les drones tactiques Patroller.http://www.opex360.com/2017/11/11/les-futurs-drones-tactiques-de-larmee-de-terre-seront-aussi-armes/

Ya Rab Yeshua.

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Pour avoir visité le 3ème régiment de hussards, un capitaine très aimable m'a  dit que les missiles de ce type étaient guidés au jumelles en mode "missiles prédators horizontales" ce qui m'a fait rêver. Seulement, il m'a aussi dit que des brouilleurs empêchaient le guidage de ces derniers et qu'ils étaient donc inutiles contre des armées modernes. Est-ce une des raisons pour avoir de nouveaux missiles et ceux-ci permettront-ils de passer outre le brouillage ?

Modifié par Laurent57410

Fais de ta vie un rêve et d'un rêve une réalité

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http://www.opex360.com/2018/04/09/mali-force-barkhane-a-mis-de-combat-cinq-jihadistes-lors-dune-operation-dopportunite/

Barkhane a mis « hors de combat » cinq jihadistes lors d’une opération d’opportunité

Dans son dernier compte-rendu des opérations, l’État-major des armées (EMA) a confirmé le raid mené par la force Barkhane contre un cadre appartenant à la katiba al-Furqan [d’al-Qaïda au maghreb islamique – AQMI] dans la région de Tombouctou, dans la nuit du 29 au 30 mars. Toutefois, l’identité de l’individu visé n’a pas été précisée. Mais selon toute vraisemblance, il s’agirait de Saïd Dagdag dit Abdourahmane Al Maghrebi.

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Le 6 avril, et alors qu’une base de la Mission des Nations unies au Mali [MINUSMA] venait de se faire attaquer à Aguelhoc, au nord de Kidal, une autre « opération d’opportunité » a été conduite par la force Barkhane à 120 km au nord de Tombouctou, c’est à dire dans le même secteur où, une semaine plus tôt, la katiba al-Furqan avait été visée.

« Barkhane a mené une opération d’opportunité vendredi à environ 120 km au nord de Tombouctou », a en effet affirmé, le 8 avril, le colonel Patrick Steiger, le porte-parole de l’EMA. Et « cinq jihadistes ont été mis ‘hors de combat’, a-t-il ajouté, sans donner plus de précisions. Ce qui signifie que les terroristes ont été soit tués, blessés ou capturés.

La même semaine, dans la région de Menaka, près de la frontière nigérienne, au moins 30 jihadistes, appartenant à l’État islamique dans le grand Sahara [EIGS] ont été éliminés par un groupe commando parachutiste [GCP] de Barkhane, avec des éléments des forces armées maliennes [FAMa] et d’un groupe d’autodéfense.

Cela étant, alors que la force Barkhane venait de neutraliser cinq jihadistes dans le secteur de Tombouctou, la MINUSMA a une nouvelle fois été visée à Gao, où deux hommes ont ouvert le feu sur un véhicule conduit par un Casque bleu nigérien. Gravement touché, ce dernier est décédé lors de son transfert à l’hôpital.

Cette attaque « porte à 102 le nombre de Casques bleus ayant été victimes d’actes hostiles depuis leur déploiement au Mali en juillet 2013 », a précisé la mission des Nations unies, via un communiqué.

Par ailleurs, l’armée malienne, déjà suspectée de violation des droits de l’Homme par l’ONG Amnesty International, a affirmé avoir tué 14 « suspects terroristes » lors d’une « présumée tentative d’évasion », à Dioura. « Face à cette situation, est-il affirmé dans le communiqué diffusé par la Direction de l’information et des relations publiques des armées [maliennes], le commandement a pris toutes les mesures pour faire toute la lumière sur cette question, conformément aux dispositions en la matière. »

Ya Rab Yeshua.

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Le Niger au cœur des opérations américaines

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Si Africom vient de neutraliser un rouage critique de la logistique d’AQMI, en la personne de Moussa Abou Daouh, dans la zone grise du sud-ouest libyen (près d’Ubari), c’est bien le Niger qui devient peu à peu l’épicentre de la guerre contre le terrorisme à laquelle se livrent les forces spéciales américaines sur le continent africain.

Présents depuis 2013, les bérets verts entraînent les commandos nigériens aux opérations de capture depuis Ouallam, près de la frontière malienne, Aguelal, près de l’Algérie, Dirkou, sur la route vers la Libye, et Diffa, à la frontière tchadienne. Au moins 800 militaires américains et contractors y séjournent aujourd’hui, et de nouveaux renforts devraient arriver prochainement avec la construction de la base destinée à accueillir des drones Reaper à Agadez, à l’intersection de la zone des quatre frontières. Une base qui complète celle de Garoua installée au Cameroun, à 30 km du Niger.

Depuis 2016, près de 46 attaques ont eu lieu à proximité d’Ouallam, la plupart revendiquées par le groupe GSIM affilié à AQMI et non par l’Etat islamique dans le Grand Sahara, malgré les affirmations du Pentagone.

Les opérations antiterroristes qui se sont multipliées depuis l’attaque des bérets verts le 4 octobre ont crispé les relations entres tribus, en disputes récurrentes autour des troupeaux, des points d’eau et des terres allouées. Ainsi, les répressions visant les Peuls à Tahoua et Tilabéri n’auraient fait qu’alimenter la stratégie de pénétration d’AQMI ciblant cette ethnie dont les couloirs de transhumance sont utilisés par les réseaux logistiques djihadistes.

Depuis, l’Ussocom concentre ses opérations autour du Lac Tchad et ce n’est que le 15 mars que le Pentagone a déclaré que des bérets verts avaient essuyé une seconde attaque d’envergure, peu avant Noël, dans laquelle onze djihadistes de l’EI auraient été neutralisés.

Depuis cet automne, la zone est en effet devenue un sanctuaire pour les militants de retour d’Irak et de Syrie. Pourtant, une campagne commence à se structurer dans la presse américaine et dans certains cercles du Congrès, qui craignent que l’armée américaine ne devienne la force de police du continent et de là, prisonnière d’une dérive à l’ «afghane». Ces opérations seraient en effet menées dans la plus grande opacité, et toujours dans le cadre de plus en plus fragile de l’Authorization for Use of Military Force de 2001 qui a précédé l’invasion en Afghanistan.

Si l’Ussocom a désormais renforcé ses opérations dans 49 des 53 pays africains, il va lui falloir désormais démontrer que les groupes djihadistes pourchassés sont en mesure d’attaquer le sol américain.

https://www.ttu.fr/le-niger-au-coeur-des-operations-americaines/

Ya Rab Yeshua.

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http://www.opex360.com/2018/04/13/mali-vingtaine-de-jihadistes-mis-de-combat-region-trois-frontieres/

Encore une vingtaine de jihadistes mis hors de combat dans la région des trois frontières

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Le 1er avril, les commandos parachutistes de la force françaises Barkhane, aux côtés des troupes maliennes et des combattants d’un groupe d’autodéfense (MSA-GATIA) pro-Bamako, infligèrent de lourdes pertes à l’État islamique au Grand Sahara (EIGS), lors d’une opération menée à Akabar, dans la zone dite des trois frontières. Selon le bilan donné par l’État-major des armées (EMA), trente jihadistes furent éliminés.

Cette opération de « contrôle de zone », menée plus précisément dans les régions de Menaka et d’In Delimane, s’est poursuivie les jours suivants. Et, là encore, l’EIGS a subi de nouvelles pertes conséquentes à Akabar.

En effet, lors de « patrouilles de sécurisation effectuées entre le 6 et le 10 avril, rapporte l’EMA, une vingtaine de jihadistes ont été mis hors de combat. Ce qui signifie qu’ils ont été tués ou faits prisonniers avant d’être remis « aux autorités compétentes en fonction du côté de la frontière où ils ont été capturés ».

De son côté, le Mouvement pour le Salut de l’Azawad (MSA) et le groupe d’autodéfense GATIA a fait état, en début de semaine, de la neutralisation de « 24 malfaiteurs » dont « 9 à l’issue de rudes combat » et récupéré « des engins roulants et des armes de guerre ».

En outre, la force Barkhane maintient également la pression sur la katiba al-Furqan d’al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), associée au Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin [ou Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans, GSIM] lors d’opérations d’opportunité menées dans la région de Tombouctou. Le 6 avril, cinq jihadistes ont ainsi été neutralisés et des « armements individuels et collectifs » ont été saisis.

Par ailleurs, l’activité aérienne de Barkhane reste soutenue, avec en moyenne une centaine de sorties par semaine. Entre le 4 et le 10 avril, 37 missions « chasse » ont été réalisées, de même que 23 missions « RAV ISR » (ravitaillement/renseignement) et 34 missions « transport ».

Au niveau politique, la France a de nouveau mis la pression sur les signataires de l’accord de paix pour le Nord-Mali qui, négocié à Alger en 2015, tarde à entrer dans les faits. « Nous n’avons plus le temps d’attendre », a dit François Delattre, l’ambassadeur français auprès des Nations unies, soutenu, au Conseil de sécurité, par les États-Unis, le Royaume-Uni, les Pays-Bas l’Éthiopie et la Côte d’Ivoire.

Aussi, des sanctions visant ceux qui font obstacles à l’application de ce texte pourraient être prises. Dans un premier temps, elles concerneraient les responsables d’organisations [en particulier, celles de la Coordination des mouvements de l’Azawad – CMA] entretenant des liens avec les groupes terroristes et/ou se livrant à divers trafics. Sur ce point, la Russie a fait part de ses « réserves ».

Ya Rab Yeshua.

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http://www.opex360.com/2018/04/15/sept-militaires-francais-blesses-quinzaine-dassaillants-tues-lors-de-lattaque-a-tombouctou/

Sept militaires français blessés et une « quinzaine » d’assaillants tués lors de l’attaque à Tombouctou

Ce 15 avril, l’État-major des armées (EMA) a donné des précisions sur l’attaque « complexe » contre les camps de la force Barkhane et de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies (MINUSMA) qui a eu lieu la veille à Tombouctou.

Cette attaque, qui a commencé à 14H00 (locales) a été « menée par des terroristes, déguisés pour certains en Casques bleus et utilisant des véhicules maquillés aux codes de l’ONU ou des forces armées maliennes », a affirmé l’EMA, via un communiqué.

Elle « visait à prendre le contrôle » du « Super Camp » [là où sont installés des éléments de Barkhane et de la MINUSMA, à l’aéroport de Tombouctou, ndlr] et à occasionner le plus grand nombre de dégâts et elle « a compris notamment des tirs indirects, vraisemblablement de mortiers, et l’explosion de trois véhicules piégés dans le but de créer une brèche dans l’enceinte », a continué l’EMA.

« Les militaires de la Minusma et ceux de la force Barkhane ont repoussé les attaques menées à l’intérieur de l’enceinte, neutralisant les assaillants. Certains terroristes étaient munis de ceinture d’explosifs », a expliqué l’état-major. Et de préciser que « au moins 15 terroristes ont été mis hors de combat » au cours de cette attaque « sournoise ». Mais on ignore toujours le nombre de jihadistes impliqués.

Deux patrouilles de deux Mirage 2000 chacune ont décollé de Niamey (Niger) pour fournir un appui. Ces appareils n’ont pas eu à délivrer de l’armement mais leur présence a permis d’assurer une couverture pour l’intervention de commandos français, transportés à bord de trois NH-90 Caïman TTH, lesquels ont été escortés par deux hélicoptères d’attaque Tigre.

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Les commandos de Barkhane ont ainsi contribué « à la reprise complète du contrôle » du camp et à « sécuriser la piste de l’aéroport » de Tombouctou. Cela a permis à un Casa 235 « Nurse » et à un NH-90 médicalisé d’évacuer les blessés vers les structures médicales françaises de Gao, à 320 km à l’est de Tombouctou.

Cette attaque, vraisemblablement menée par le Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin (ou GSIM pour  « Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans ») a fait un tué (un casque bleu burkinabè) et plusieurs blessés dans les rangs de la MINUSMA. La force Barkhane déplore quant à elle 7 blessés.

Ya Rab Yeshua.

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C'est pas très nouveau , avant c'était avec les femmes voilées , ou encore les colonnes de gamins !

Il s'adapte au fur et à mesure que l'on connais leurs combines ... façon ce ne sont pas des cons , juste des fou :lol:!

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Attaque de Tombouctou: un modus operandi inquiétant

Les attaques lancées contre le complexe de la mission de l'Onu et la base de l'armée française à Tombouctou témoignent d'une évolution inquiétante: outre le fait qu'il s'agisse d'une attaque multiple/complexe (bombardement, véhicules piégées fusillade etc), les assaillants se sont fait passer pour des militaires maliens et onusiens.

"Des terroristes portant des casques bleus et circulant à bord de deux véhicules chargés d'explosifs, l'un aux couleurs de l'armée malienne, l'autre portant les lettres 'UN' ont tenté de s'infiltrer dans ces camps", a précisé le gouvernement malien dans un communiqué.

La mission de stabilisation de l'Onu du Mali (Minusma) a confirmé un bilan d'un mort (le 103e dans des actions violentes) et d'une dizaine de blessés. Le Casque bleu venait du Burkina.

Côté français, l'EMA reste silencieux mais des sources au Mali font état de dix blessés dont plusieurs graves.

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2018/04/15/attaque-de-tombouctou-un-modus-operandi-inquietant-19264.html

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Ya Rab Yeshua.

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http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2018/04/22/violent-accrochage-pres-de-goudam-mali-entre-forces-francais-19283.html

Violent accrochage près de Goundam (Mali) entre forces françaises et un groupe armé

Des combats violents ont opposé des militaires français de Barkhane et de Sabre, samedi dans l'après-midi, à l'ouest de la ville de Tombouctou, près de la localité de Goundam et en particulier près de Tin Aicha. La première information est remontée via des sources locales, faisant état d'une opération impliquant des hélicoptères:

Hier soir, alors que les opérations se poursuivaient, on faisait état de plusieurs blessés parmi les commandos français.  Par ailleurs, on a appris qu'une roquette est tombée samedi soir à 1,5 km du camp de Tessalit (nord). Enfin, l'armée malienne a annoncé la mort de quinze "terroristes" lors d'une "opération de ratissage" menée vendredi dans la forêt de Tina, dans la région de Mopti (centre). Les FAMA déplorent un mort et deux blessés, dans leurs rangs.

Ya Rab Yeshua.

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Oui en ce moment c'est assez violent , il y a un regain de puissance de l'EI . Plusieurs facteurs influe sur leurs montées en puissance ... :(

 

http://www.jeuneafrique.com/552759/politique/mali-moussa-ag-acharatoumane-msa-letat-islamique-au-grand-sahara-ne-sera-pas-vaincu-par-des-forces-etrangeres/

Modifié par Invité
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Au passage, "Le Mamouth" indique dans son blog à propos de l'attaque de Tombouctou que (je cite) "sept des huit blessés sont des légionnaires de la 13e DBLE, unité déployée dans le cadre de l'opération Barkhane".

BTX

 

Ya Rab Yeshua.

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http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2018/04/24/tombouctou-attaque-le-14-qui-etaient-les-assaillants-19291.html

Tombouctou attaqué le 14 avril: qui étaient les assaillants aux brassards rouges? (actualisé)

D'où venaient les attaquants du 14 avril à Tombouctou?

Les hommes tués par les Casques bleus et les Français de Barkhane portaient tous un signe de reconnaissance à l'épaule : un morceau de tissu (type brassard) de couleur rouge. Et l'examen de certains corps, même très abimés, a montré que des assaillants pourraient être originaires d'Afrique de l'est. Faut-il en conclure que des Somaliens ou des soudanais opèrent désormais dans la BSS ?

Beaucoup de questions et peu de certitudes sur cette attaque complexe qui a bien failli très mal tourner pour les occupants du camp. Petit point de situation.

Revendication:
Rappelons que le Groupe soutien aux musulmans et à l’islam (GSIM ou JNIM en anglais) a revendiqué l'attaque de Tombouctou du 14 avril. L'objectif était de venger la mort de Haidar Al Maghribi, Qouteiba Al Ansari et Abou Abdallah Ahmed Alchinguiti, tués respectivement fin mars et début avril par Barkhane :

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Court rappel de la chronologie de cette attaque:
12h15: infiltration dans l’enceinte du camp; un véhicule aux couleurs des forces maliennes (FAMA) et un petit groupe de futurs assaillants en tenue militaire pénètrent dans le site sans être inquiétés. Le véhicule repart.
14h50: tir d’une douzaine d'obus de mortier (de calibre 81 mm) sur le camp MINUSMA. Deux  Nigériens sont blessés.
15h15: un convoi de quatre véhicules dont un maquillé aux couleurs de l'Onu et deux autres aux couleurs des FAMA force l'entrée du camp. Ces deux véhicules explosent dont l'un au niveau du camp français. L'autre a sauté près d'un blindé burkinabé. Les assaillants arrivés à 12h15 ouvrent le feu mais sont rapidement tués.
Le quatrième véhicule était équipé d’une arme lourde avec deux éléments à bord selon des témoins; il a pris position à 800 m sur la route au nord de la ville et il ouvrira le feu sur les hélicoptères salvadoriens.
18h30: destruction du véhicule aux couleurs de l'Onu qui stationnait à l’entrée du camp.
19h: sécurisation du camp par les Burkinabés, les Suédois et Barkhane et de l'aéroport par les Ivoiriens.

Bilan:
1 Casque bleu burkinabé tué et 24 blessés dont 6 civils maliens, 9 Casques bleus et 9 soldats français.

Actualisation:
Le GSIM a commencé son opération médiatique en contredisant le général Guibert, patron de Barkhane (sur la présence d'une femme parmi les terroristes du 14 avril) et en publiant des photos des assaillants.

Ya Rab Yeshua.

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