BTX Posté(e) 25 octobre 2016 Signaler Partager Posté(e) 25 octobre 2016 http://www.opex360.com/2016/10/24/coup-de-sang-du-ministre-de-la-defense-au-sujet-de-lindisponibilite-des-helicopteres-de-latlantique-2/ image: http://www.opex360.com/wp-content/uploads/atl2-20150822.jpg La situation des avions de patrouille maritime Atlantique 2 est toujours préoccupante. Alors qu’ils sont sollicités pour des missions de renseignement au Sahel et au Levant (opérations Barkhane et Chammal), ces appareils sont aussi essentiels à la dissuasion nucléaire, en assurant la sécurité des approches de la base de l’Île-Longue, qui abrite les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la Force océanique stratégique (Fost). Or, les mois passent et le constat est toujours le même : le taux de disponibilité de ces avions est bas (25% seulement en juin 2015), en raison notamment d’un manque de pièces détachées, et la « rénovation » de 15 exemplaires (sur les 27 en dotation), confiée à l’Atelier industriel de l’aéronautique de Cuers-Pierrefeu, se trouve en grande difficulté. .........../.............. Et, visiblement, cela a fini par agacer Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense. Et il ne s’est pas privé d’en faire part lors de son audition devant les députés de la commission de la Défense, à l’occasion de l’examen du projet de loi de finances 2017. ............../.............. Mais la question des avions des patrouille maritime n’est pas la seule à agacer M. Le Drian. Celle du maintien en condition opérationnelle des hélicoptères également (a priori, celui des NH-90 car il a faut part des mêmes interrogations à son sujet). Pour ce qui est des hélicoptères, « j’ai lancé un plan comprenant plusieurs mesures » qui « portent principalement sur les modalités de gestions des stocks et sur le changement des règles de consommation des pièces », a d’abord fait valoir le ministre. Mais, s’est-il insurgé, « nous devons mettre fin à certaines situations ubuesques ». ............/............. Devant la même commission, le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Bosser, a aussi fait part de sa préoccupation au sujet de la disponibilité des hélicoptères de l’ALAT et dit vouloir revoir les contrats avec les industriels. « Est-ce que ces contrats prennent suffisamment en compte les retards que peut générer le passage d’un de nos hélicoptères dans leurs entreprises ? Lorsque l’immobilisation passe de six à neuf, voire à douze semaines, que prévoir? », s’est-il interrogé. Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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