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Je suis perdu, aidez moi les amis !!


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Bonjour les amis, comme vous le savez je me suis engagé tardivement ( j'ai fait mes 30 ans au moi d'Août ), j'ai signé mon contrat le 3 mai 2016. Malgré mon age j'ai fini cinquième de ma section, mon point fort ayant été ma note de gueule où j'ai eut 17/20. Depuis quelques temps quelque chose à changé, de plus j'ai des soucis personnels, pourtant faire 1 000km en train pour aller à mon régiment de me dérange pas. Mon médecin voudrais me mettre en arrêt de travail pour deux à trois semaines pour un état qu'il juge de dépressif. Du coup ma peur est la suivante, si je suis en arrêt trois semaines pour cette raison, est ce que je vais être sanctionner d'une façon ou d'une autre ? Répercutions possibles ?
J'en ai parlé avec quelques camarades, ils sont eux même étonnés car depuis toujours on dit que j'ai le profil type.
Pour vous anciens ou militaires actuellement, vous feriez quoi ?
Est ce que prendre l'arrêt ( car ça ne va pas du tout ) et en profiter pour réfléchir serait une bonne solution ?

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Sans entrer dans les détails, vos "soucis personnels" tiennent à quoi pour vous plonger dans un état dépressif ? Ils sont survenus brutalement sans signal avant coureur ?

L'éloignement géographique n'a pas du arranger les choses.

Vous pouvez parfaitement être placé par votre médecin référent en arrêt maladie. Le tout étant d'en rendre compte rapidement à votre hiérarchie.

Mais il est certain que si cet état dépressif pour lequel vous resteriez clouer dans votre lit à domicile perdurait, le commandement serait amené à réagir.

En vous convoquant pour vous faire faire un examen médical approfondi dans un service psychiatrique.

Des spécialistes complèteront.

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Merci de votre réponse.
C'est ma mère qui a un cancer, et j'ai perdu deux personnes de proches.
Pour mon médecin, qui me connaît depuis tout petit, c'est limite il veut m'imposer  l'arrêt justement. Là je suis en permission car je n'ai pas eut Noël ni nouvel an. Si j'écoute mon médecin je reste chez moi pendant trois bonnes semaines au minimum.

L'éloignement géographique n'a jamais vraiment été un soucis, je partais toujours avec le sourire. Mais depuis que tout ceci est arrivé je sais très bien que je partirais la boule au ventre.

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Il y a 2 heures, Lepetitlandais a dit :

Est ce que prendre l'arrêt ( car ça ne va pas du tout ) et en profiter pour réfléchir serait une bonne solution ?

On prend un arrêt quand on est malade, que ce soit physique ou psycho, la dépréssion étant une maladie. Pour le reste il y a les jours de perm et dans certains cas des jours exceptionnels en cas de cas grave mais pour ça j'y connais rien donc à voir avec tes cadres ou l'assistante sociale qui pourra sans doute te conseiller.

Si tes cadres ne sont pas trop borné et que tu es un bon élément ils devraient comprendre ta situation.

Et après ta perm ou ton arrêt que feras tu ? Tu souhaite réfléchir à tout ça mais réfléchir à quoi ?

J'ai connu des cas similaires où la aussi les personnes ont voulu partir (ou sont partis). C'est compréhensible de vouloir se rapprocher de sa famille dans des cas comme ça et à moins d'avoir connu la même situation difficile de se mettre à ta place, tout ce que je peux te dire c'est que si j'étais à la place de ta mère (même si difficile de prédire nos réactions dans ce cas) je dirais à mon fils de penser à son avenir, se rapprocher de moi me ferait sans doute du bien mais ça ne ferait pas forcément guérir plus vite, par contre ça gâcherais peut être son avenir... et ce que souhaite les parents c'est avant tout le bonheur de ses enfants.

Bonne chance :/

 

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Pour LEPETITLANDAIS,

Merci pour les précisions.

C'est donc le médecin de famille qui a décrété que vous étiez dans un état dépressif. Puisque vous même ne le ressentez pas ainsi : du chagrin et de la peine de laisser derrière vous votre mère malade et vos proches.

La balle est dans votre camp. Il serait bon une fois la période de congés achevée de demander à voir le médecin-chef et de lui expliquer votre situation. Celui qui a les leviers en main n'est certainement pas votre médecin de famille qui vous connaît trop bien.

Le mieux est de recueillir l'avis du MC confronté fréquemment à ce type de situation.

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Il y a 22 heures, Sco a dit :

On prend un arrêt quand on est malade, que ce soit physique ou psycho, la dépréssion étant une maladie. Pour le reste il y a les jours de perm et dans certains cas des jours exceptionnels en cas de cas grave mais pour ça j'y connais rien donc à voir avec tes cadres ou l'assistante sociale qui pourra sans doute te conseiller.

Si tes cadres ne sont pas trop borné et que tu es un bon élément ils devraient comprendre ta situation.

Et après ta perm ou ton arrêt que feras tu ? Tu souhaite réfléchir à tout ça mais réfléchir à quoi ?

J'ai connu des cas similaires où la aussi les personnes ont voulu partir (ou sont partis). C'est compréhensible de vouloir se rapprocher de sa famille dans des cas comme ça et à moins d'avoir connu la même situation difficile de se mettre à ta place, tout ce que je peux te dire c'est que si j'étais à la place de ta mère (même si difficile de prédire nos réactions dans ce cas) je dirais à mon fils de penser à son avenir, se rapprocher de moi me ferait sans doute du bien mais ça ne ferait pas forcément guérir plus vite, par contre ça gâcherais peut être son avenir... et ce que souhaite les parents c'est avant tout le bonheur de ses enfants.

Bonne chance :/

 

Ma mère ne veux pas trop que je reste en effet car comme vous dites elle veut mon bonheur.
Mon chef de peloton, est au courant de la situation, et devait faire en sorte que j'ai Noël pour le passer avec ma maman, et il devait aussi ce baser sur la distance pour la garde, mais du coup j'ai été désigné au GIS la semaine de Noël, et 1000 km du régiment à chez moi. Du coup j'ai assuré sans soucis, mais j'ai le lieutenant en travers.
Je ne pense pas quitter l'institution, mis à part mon chef de peloton je pourrais en parler avec qui ?

Il y a 21 heures, BTX a dit :

Pour LEPETITLANDAIS,

Merci pour les précisions.

C'est donc le médecin de famille qui a décrété que vous étiez dans un état dépressif. Puisque vous même ne le ressentez pas ainsi : du chagrin et de la peine de laisser derrière vous votre mère malade et vos proches.

La balle est dans votre camp. Il serait bon une fois la période de congés achevée de demander à voir le médecin-chef et de lui expliquer votre situation. Celui qui a les leviers en main n'est certainement pas votre médecin de famille qui vous connaît trop bien.

Le mieux est de recueillir l'avis du MC confronté fréquemment à ce type de situation.

BTX

Oui c'est le médecin de famille qui ne me juge pas en état et ça fait 30 ans qu'il me connaît; trop bien comme vous le dites.
Donc d'après vous je n'accepte pas l'arrêt ?
Vu que nous sommes en base arrière, pour consulter, c'est galère. Il faut qu'on passe devant le capitaine le matin, et il refuse toutes consultations si rien de casser vous comprenez ? Sinon j'y serais allé depuis un moment pour suivre les règles. C'est donc pour ça que je ne sais pas quoi faire pour l'arrêt de travail.

 

Il y a 21 heures, Dani a dit :

Je veux le nom de ton médecin car à chaque  perm il te fou en arrêt il est bon celui ci . Garde le 

Je m'en serais bien passé, avant l'armée j'ai toujours bossé et jamais d'arrêt pour autant.
Petite précision les arrêts que j'ai eut c'est car dans ma famille il y a beaucoup de cancer, et j'avais quelques pseudos symptômes au niveau abdominal.

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Pour PETITLANDAIS,

Vous souhaitez poursuivre votre parcours professionnel dans l'institution ? Vous pensez bien qu'à 30 ans, le plat ne repassera plus.

Pensez vous que votre état mental soit de nature à nuire à la poursuite de votre formation ? Si oui alors suivez les bons conseils du médecin de famille qui n'en a rien à foutre de l'armée et de ce que vous y faites.

Si non, alors prenez RDV avec le MC fissa et expliquez lui votre situation = à 30 ans, vous devriez être capable de prendre une décision.

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Pour être honnête l'armée me plaît.
J'ai tout quitté pour m'engager, boulot à 10 minutes de chez moi, .. pas mal de chose dont j'ai dû faire une croix dessus. Là il faut avouer qu'il y a un enchainement de choses qui ne sont pas facile à vivre et de plus la distance n'aide pas du tout. C'est donc pour ça que j'ai le cul entre deux chaises.
A l'heure actuelle je ne pense pas que cela peut nuire mais je ne vais pas vous cacher que ma maman est en fin de vie, je viens de perdre deux proches comme dit précédemment, donc ça ne pèse pas en bon dans la balance.
Qu'entendez-vous par " le plat ne repassera plus " ?

 

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Vous pensez qu'à 30 ans et plus, l'institution militaire vous accueillerait de nouveau. Vous tenez votre chance. Ne la laissez pas filer.

Ou bien alors, demander à quitter l'institution en étant parfaitement conscient qu'il vous faudra chercher un job ailleurs.

Clair ?

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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D'accord.

En effet à 30 ans ce n'est pas possible, et pour avoir déjà demandé au PEVAT un rapprochement familiale n'est pas possible non plus.

Du boulot j'en ai d'assuré c'est sûr, mais si je me suis engager et laissé pas mal de chose derrière moi c'était pour changer de vie mais je ne pensais pas que tout cela allé arriver d'un coup.

Pour les arrêts de travail, si besoin est, ce serait mieux que ce soit un médecin militaire qui juge et qui le fasse ?

Je compte parler à mon chef de peloton, vous pensez qu'il faut que je rentre dans les détails entièrement et lui faire part de mes doutes ?

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Je viens de relire tout vos propos, et en effet je vais voir pour consulter après mes permissions, puis le médecin décidera. J'irais voir mon lieutenant et je lui expliquerais ma situation actuelle, même s'il ne peut rien faire au moins il sera au courant, chose qui est normal.
Petite question, car beaucoup de militaires me disent que j'ai fait une erreur de m'engager à 30 ans, car par la suite difficile de retrouver du boulot vu mon age, quel est votre avis là-dessus ?

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il y a 52 minutes, Lepetitlandais a dit :

e compte parler à mon chef de peloton, vous pensez qu'il faut que je rentre dans les détails entièrement et lui faire part de mes doutes ?

Oui.

il y a 2 minutes, Lepetitlandais a dit :

J'irais voir mon lieutenant et je lui expliquerais ma situation actuelle, même s'il ne peut rien faire au moins il sera au courant, chose qui est normal.

Si tu a peur qu'il te prenne pour un "cassos" et crois que tu lui raconte des salades, tu peux aussi amener un quelconque justificatif (certificat médical etc ...).

il y a 3 minutes, Lepetitlandais a dit :

Petite question, car beaucoup de militaires me disent que j'ai fait une erreur de m'engager à 30 ans, car par la suite difficile de retrouver du boulot vu mon age, quel est votre avis là-dessus ?

Que ça dépends de beaucoup de chose, certains ne partent pas trop tard de l'armée pour se relancer dans le civil tout en ayant une pension (17/19 ans de temps de service). Toi forcément ca t’amène dans les 50 ans si tu pars à 20 ans de service et dans ce cas ça rentre dans le même cadre que n'importe quel civil qui cherche du travail, un patron préférera parfois quelqu'un de plus jeune qu'un autre plus proche de la retraite qu'autre chose. C'est pas non plus rédhibitoire, un patron préféra peut être un vieux compétant qu'un jeune sans expérience...

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Merci pour vos précisions.
J'ai déjà fourni un certificat médical de mon médecin ainsi que de l'hôpital par rapport à ma mère, malgré ça rien du tout. Il ne veut pas comprendre.
Mais je compte bien le voir et lui redire tout ainsi que le doute que j'ai concernant le fait de rester ou non. En ce moment on a pas de boulot, mais je ne voudrais pas abuser de permissions, je dis ça car ma maman à deux rendez-vous important, je souhaiterais y assister; vu la distance, en comptant le temps de rentrer, de revenir au régiment, ça me fait claquer pas mal de jours de permissions.
Mais le médecin militaire peut décider quoi exactement ? Il peut prendre une décision qui sera non contestable par mon lieutenant ?

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Oui le médecin chef a toujours le dernier mots . Peut importe le grade de celui qui râle 

mais c'est le râleur qui te donnera plus tard l'addition . Et oui tout ce paie surtout quand on va à l'encontre de celui ci 

Modifié par Dani
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Il y a 6 heures, Dani a dit :

Oui le médecin chef a toujours le dernier mots . Peut importe le grade de celui qui râle 

mais c'est le râleur qui te donnera plus tard l'addition . Et oui tout ce paie surtout quand on va à l'encontre de celui ci 

Merci du renseignement.
Je suis certain que le lieutenant ne sera pas d'accord de toute façon.
Quand vous parlez d'addition, vous pensez à quoi comme genre de chose ?

 

Il y a 3 heures, Sco a dit :

Tu fais quoi actuelement, tu es pas dans un atelier ?

J'ai été mis en optique, on fait un peu de tout là bas mais principalement du VBL et VAB, mais aussi jumelles et autres. Tout nos VBL sont passés, on était vraiment en avance, nous sommes que trois là bas, et depuis mi novembre on ne fais plus rien du tout et ce n'est pas près de s'arranger.
De plus j'ai ma FTS prévu à Bourges moi de mai, mais en attendant on ne fait rien du tout, autant vous dire que les journées sont longues.

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Très simple tu vas faire tout les merde , tu peux casi dire adieu a ta FTS de mai , tu peux dire casi adieu à une Bonne notation annuelle

Mais vive les wk de garde pour toi et les perm annulé

quand tu auras décidé de revenir après ton arrêt ,bien sûr et si tu passes au dessus de ton Ltn 

Modifié par Dani
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Je pense voir le lieutenant en premier ce qui serait normal, et après voir. Mais je ne vais pas prendre l'arrêt, je vais voir avec lui en lui expliquant que j'aurais juste deux rendez-vous pour ma mère et que je prendrais des permissions si possible.
Le pire c'est qu'il donne l'impression de s'en foutre, il dit rien, et depuis le début de la situation, mais en décembre j'ai eut ma notation qui est très bonne.
C'est une personne que j'ai du mal à comprendre.
Avant il était dans la sécurité civil en tant que caporal chef et il a passé le concours officier armée de terre. Vous pensez que ça peut jouer sur son comportement non autoritaire par exemple ?

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Si tu n'as aucune contrainte lié au travail que ce soit sur le travail ou les services et que tu as tes jours de permissions a écouler je ne comprendrais pas qu'il te refuse de poser vu le contexte.

Si tu es en atelier tu as un chef d'atelier , c'est d'abord à lui qu'il faut en parler, et c'est aussi à lui de juger si ton absence peut être gênante pour le boulot (hors service) et je dirais même que c'est aussi à lui de se battre pour défendre ta situation, c'est aussi ça être un "chef". Bien entendu cela dépends du contexte, on ne défends pas un bon à rien de la même façon qu'on défendra un bon soldat qui le mérite, et ça il y a que toi qui peut savoir de quel coté tu te trouve.

Modifié par Sco
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Il y a 13 heures, Sco a dit :

Si tu n'as aucune contrainte lié au travail que ce soit sur le travail ou les services et que tu as tes jours de permissions a écouler je ne comprendrais pas qu'il te refuse de poser vu le contexte.

Si tu es en atelier tu as un chef d'atelier , c'est d'abord à lui qu'il faut en parler, et c'est aussi à lui de juger si ton absence peut être gênante pour le boulot (hors service) et je dirais même que c'est aussi à lui de se battre pour défendre ta situation, c'est aussi ça être un "chef". Bien entendu cela dépends du contexte, on ne défends pas un bon à rien de la même façon qu'on défendra un bon soldat qui le mérite, et ça il y a que toi qui peut savoir de quel coté tu te trouve.

J'ai eut l'adjudant chef ( mon chef d'atelier ), je lui ai dis absolument tout, il m'a dit que vu le contexte actuel, pour lui le mieux serait que je prenne des jours de permissions, car il tient vraiment à ce que je fasse ma FTS, de plus j'aurais un sentinel de prévu également après ma FTS. Donc il m'a fait comprendre que prendre les permissions ne dérangeait pas car entre la FTS et le sentinel je n'aurais pas le temps de les prendre. Pour le moment pas de garde ni de GIS de prévu pour mon escadron.
Il parlera lui même au lieutenant, et m'a dit que ça passerait sans soucis.

Par contre j'ai oublié de lui demander, vu mon état actuel, je vais consulter un médecin militaire quand même ?

Et je prend rendez-vous avec le PEVAT je suppose ?

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Pourquoi allez voir un medecin si tu as tes jours de perm ??

Si tu te met en arrêt au lieu de te mettre en perm la c'est clair qu'il ne va apprécier...

Tu vas voir un medecin quand tu es malade point, dans ton cas tu as besoin d'être proche de ta mère donc une perm suffira non ? 

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