512 Posté(e) 28 avril 2018 Signaler Partager Posté(e) 28 avril 2018 Bonjour, J'ai une question concernant le paquetage d'un réserviste ne renouvelant pas son contrat. J'ai quitté la réserve en 2014. A aucun moment le paquetage ne ma été réclamé. dans la foulé muté, j'ai déménagé et les effets ont finis dans un box entre deux meubles pour boucher les trous. Aujourd'hui, 4 ans après, on me le réclame. Je suis pour le rendre, mais je n'y ai pas accès (je ne compte pas vider mon box pour deux sac mili). 4 ans après, peuvent ils me réclamer ce paquetage ? Je n'ai pas encore pris contacte avec eux. C'est un cas un peu particulier et je suis en faute j'en conviens. Merci Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dani Posté(e) 28 avril 2018 Signaler Partager Posté(e) 28 avril 2018 S ils te le réclament et que tu bouges pas , ils vont te le facturer et transmettre au trésor public pour avoir l argent . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pegasus_Bridge Posté(e) 28 avril 2018 Signaler Partager Posté(e) 28 avril 2018 C'est vraiment chercher des problèmes inutiles. Tu fais en sorte de récupérer ton paquetage et vider ton "box", et basta. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
512 Posté(e) 28 avril 2018 Auteur Signaler Partager Posté(e) 28 avril 2018 Merci des réponses, je sais que je suis fautif. Mais ils se réveillent 4 ans plus tard. Pas de souci avec l'armée de l'air c'est l'armée de terre (réserve) qui me réclame cela. Aucun circuit départ, aucune réclamation du paquetage. Je vais m'arranger avec un copain pour me faire fournir le matériel et lui rendre lorsque j'aurais accès au mien. Merci PS Aegis j'imagine que tu étais pilote. Quel escadron ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
512 Posté(e) 29 avril 2018 Auteur Signaler Partager Posté(e) 29 avril 2018 La logique militaire. Oui je n'ai jamais perçus les treillis félin ou autre nouveauté. Que des vieillerie. Mdr, pour l'entrejambe. En désespoir, il fallait ouvrir la fermeture éclaire et libérer l'oiseau Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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