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  1. Aujourd’hui
  2. C'est amené à changer, du moins pour certains régiments. Le 6e RG dispose d'une compagnie de réserve spécialisée (franchissement). L'ensemble des pelotons du RICM sont spécialisés PRI (peloton de reconnaissance et d'intervention) depuis cette année. Il y en a sûrement d'autres, mais c'est progressif. Par ailleurs, des besoins ponctuels peuvent amener une personne titulaire du permis PL à faire des choses supplémentaires avec l'active, en renfort.
  3. Même moi qui n'est pas fait de PMT, PMS, etc. était "dispensé". Je pense qu'il s'agit soit d'un bug, soit d'une référence aux préparations militaires dans l'AAE (PMIP-DN) et/ou la Marine. Pour l'ADT, en effet, nous n'avons pas de telle préparation a effectuer et faisons directement la FMIR/FGI-R.
  4. Pour être dans la même région et avoir postulé à l'AAE puis à l'ADT (actuellement au RICM) : le 6e RHC te prendra sans souci malgré l'âge. Ils voulaient me recruter à mes 34 ans. il y a bien des régiments qui refusent les candidats selon certains critères. Même si légalement un réserviste peut avoir jusqu'à 72 ans, et ils le savent, les besoins de l'unité (combat ou non, etc.) et le nombre et la qualité des candidatures peut faire que les régiments posent des limites (basique loi de l'offre et de la demande). Ainsi, dans notre région, le 1er RIMa ne prend pas au-dessus de 30 ans (non-négociable), et le RICM au-delà de 35 ans (peut-être négociable, je n'avais pas encore 35 ans lors de ma candidature donc pas eu à le faire). pour l'AAE, il faut postuler à la BA 106 pour une FMIR-HN, qui est la FMIR dédiée aux titulaires d'un Bac+5 et qui est réalisée pour l'ensemble de la zone Sud-Ouest. La FMIR-HN ("Haut Niveau") t'amène à être aspirant sur des métiers plus "intellectuels" type renseignement, etc. La FMIR-HN est sur dossier, pas sur ROC. A contrario, la FMIR "normale" à laquelle on peut postuler sur ROC est pour faire partie d'un escadron de protection de réserve, donc ça ne me choque pas tant que ça qu'ils posent une limite à 30 ans s'ils croûlent sous les candidatures des étudiants bordelais et qu'ils veulent un niveau physique haut. Edit : je viens de me rappeler que le fonctionnement dans l'AAE est de faire d'abord une PMIP-DN, qui est limitée en effet à 30 ans. La FMIR est la seconde étape. Attention au délai pour la FMIR-HN : la BA 106 a mis à peu près un an à me répondre car ils accumulent les dossiers et font visiblement une seule commission de sélection par an (courant avril-mai de mémoire). Si tu vas à un CIRFA Air, tu devrais pouvoir récupérer le numéro de téléphone de la cellule recrutement réserve de la BA 106 pour plus d'infos sur la FMIR-HN.
  5. En astrophysique, un trou noir est un objet céleste si compact que l'intensité de son champ gravitationnel empêche toute forme de matière ou de rayonnement ... Il l'aura expérimenté
  6. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/01/08/le-tissu-bariole-multi-environnement-bme-24346.html Petit point d'étape sur le fameux Bariolé Multi-Environnement qui a été présenté en mai 2022. Les premières livraisons du tissu Bariolé Multi-Environnement (BME) ont commencé à la fin du second semestre 2023. A ce jour, 1 100 000 mètres linéaires de tissu (sur les 3 millions de mètres linéaires commandés) ont été réceptionnés par le Commissariat des Armées (SCA). Sur les trois millions de mètres linéaires de tissu F3, d'un montant estimé à 75 millions d'euros, la moitié sortira en deux ans de l'usine française de TDV (Laval, en Mayenne). Deux autres fournisseurs dont EUROPROTECT et une société belge fourniront aussi, mais à eux deux, le 1,5 million de mètres de tissu restant. La fin des livraisons devrait intervenir au 1er trimestre 2025. Ces livraisons permettront la confection de 400 000 tenues en BME. La confection des treillis F3 BME a démarré. Les trois sociétés titulaires du marché sont Transconfection (Bulgarie), Karo 06 (Bulgarie) et Seyntex (Belgique). Quand les premières tenues seront-elles livrées et à quelles unités ? Le calendrier et le plan d’équipement sont en cours d’arbitrage au niveau de l’état-major des armées. A lire cet article paru dans Ouest-France du 20 septembre 2023, avec la photo de Bruno Simon, directeur de production de TDV:
  7. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/04/17/11-800-reservistes-operationnels-a-recruter-en-2024-24568.html Ce 17 avril a eu lieu la signature d’une convention de partenariat entre Renault Group et le secrétariat général de la Garde nationale pour le développement des réserves. Elle a été signée par le général de division (2s) Jean Maurin, directeur prévention et protection du groupe Renault (et ancien Père Légion), et le général de division Louis-Mathieu Gaspari, Secrétaire général de la Garde nationale. Depuis 2017, plus de mille partenariats ont été signés dont 170 en 2023. C'est l'occasion de revenir sur la question des réserves (voir mon récent post sur ce sujet). Le ministère des armées s'en tient à son objectif à atteindre, "vers 2035", d'un réserviste opérationnel pour deux soldats d'active (soit 100 00 RO pour 200 000 militaires). Actuellement, on dénombre 42 000 RO (ils/elles étaient 40 000 l'an dernier). L'âge moyen des RO est de 39 ans et 20% d'entre eux sont assignés à des missions intérieures (Sentinelle). En moyenne, ces RO effectuent 36,2 jours sous les drapeaux chaque année (les entreprises accordent en moyenne 19 jours). Mais beaucoup ne dépasse pas le seuil des 10 jours, du fait de contraintes professionnelles. Comment alors expliquer ces 19 jours. Deux raisons: la première, c'est que de nombreux réservistes prennent des congés pour effectuer leurs périodes de réserve; la seconde, c'est que de nombreux "anciens" effectuent des ESR (engagement à servir dans la réserve) d'assez longue durée. Pour 2024, les Armées vont devoir recruter 11 800 RO pour d'une part compenser les départ et d'autre part accroître les effectifs. Toujours en 2024, seront créés 6 bataillons de RO adossés aux brigades interarmes. En 2025, 6 autres bataillons seront aussi créés, adossés à des brigades spécialisées. A terme (vers 2030), 28 bataillon seront disponibles.
  8. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/04/17/la-grande-collecte-des-archives-relatives-a-la-liberation-de-24567.html A l’occasion des commémorations du 80e anniversaire de la Libération, le Président de la République, a invité, le 6 mars dernier, les Français à remettre à un service public d’archives, les documents qu’ils pourraient détenir sur cette page de l'Histoire de France. Le ministère des Armées participe pleinement à cette opération grâce au Service historique de la Défense (SHD), en charge des archives historiques du ministère. Les Français peuvent donc, à compter de ce 17 avril, déposer leurs archives personnelles et familiales de tout type (journaux intimes, correspondances, photographies, dessins, carnets de note, mémoires, enregistrements oraux ou audiovisuels, etc.) dans tous les sites du SHD : Vincennes, Caen, Châtellerault, Pau, Brest, Cherbourg, Lorient, Rochefort et Toulon. Voici l'adresse des sites pour les contacter par courriel: Site de Vincennes : shd-vincennes-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Châtellerault-Le Blanc : shd-chatellerault-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Brest : shd-brest-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Cherbourg : shd-cherbourg-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Lorient : shd-lorient-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Pau : shd-pau-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Rochefort : shd-rochefort-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Site de Toulon : shd-toulon-grande-collecte-liberation.contact.fct@intradef.gouv.fr Ces documents seront intégrés au patrimoine de la Nation. Ils seront transmis aux générations futures, sans risque de perte ou de destruction. Leur conservation, leur restauration, si nécessaire, et leur description seront assurées par des professionnels des archives. Toutes les informations sont à retrouver sur le site internet Mémoire des Hommes. NB. Perso, je vais leur refiler cette cuillère de la Werhmacht avec laquelle je démonte mes pneus
  9. https://www.forcesoperations.com/de-nouveaux-leviers-pour-accelerer-la-dronisation-des-armees-francaises/ PARTAGER Entre volonté d’accélération et évolution des logiques d’acquisition, la filière drone française dispose depuis peu de deux nouveaux leviers de soutien direct ou indirect devant contribuer à la « dronisation » des armées françaises. Référencer les opportunités Les drones, ce sont 5 Md€ potentiellement investis d’ici à 2030 pour équiper les armées françaises. C’est aussi un domaine dynamique, en constante mutation et pour lequel la demande explose, motivant certains acteurs à repenser leurs mécanismes d’acquisition pour gagner en agilité et s’assurer de capter l’innovation au moment opportun. « Pour suivre la vitesse d’évolution de ce marché, le Ministère des Armées s’adapte, en basculant d’un paradigme centré sur le développement de drones vers un paradigme d’achat de produit, disponible à la commande, permettant ainsi de rester dans le rythme des évolutions technologiques, tout en maintenant un soutien à la filière drone », indique . Cette bascule se matérialise par l’attribution, le 8 avril par la Direction de la maintenance aéronautique (DMAé) avec le soutien de la Direction générale de l’armement, d’un nouveau marché encadrant « la fourniture, à des fins de renseignement, de drones et de prestations de soutien associées ». Notifié au groupement formé par Survey Copter, EOS Technologie, Delair et Thales, ce marché doit favoriser l’acquisition « très réactive » de « drones de renseignement pouvant évoluer en catégorie spécifique » au profit de « nombreux utilisateurs des armées et au-delà ». Inscrite dans la logique d’ « économie de guerre », la démarche confie au groupement retenu le soin de référencer de manière évolutive « tout industriel ayant au préalable développé et fait certifier, pour un usage civil ou militaire, un drone pouvant servir à des fins de renseignement, et offrant des garanties suffisantes de sécurité et de souveraineté ». Une fois entrée dans cette base de données, la technologie pourra être achetée à des fins d’évaluation technico-opérationnelle et, en cas de succès, de déploiement opérationnel. L’intention de bousculer quelques codes semble bien là. Reste à la traduire en actes tangibles et utiles pour les forces, le raccourcissement envisagé de la boucle devant parfois encore se confronter à la surdose de normes et de démarches administratives régulièrement pointée du doigt mais que les armées travaillent à simplifier. Une culture de l’audace à construire ou à renforcer de chaque côté, la démarche demandant aussi « une certaine prise de risque des industriels, en développant des produits répondant à un marché s’étendant au-delà de l’équipement des armées françaises ». Un quatuor expérimenté Confier l’animation de ce dispositif à ce quatuor n’a rien d’étonnant. Tous équipent les forces françaises. Tous innovent, conçoivent et se démarquent régulièrement dans leurs segments respectifs. Filiale d’Airbus Defence and Space, Survey Copter est titulaire depuis 2021 du marché de « système de mini-drone aérien embarqué de la Marine » (SMDM). Visiblement satisfaite des 18 systèmes déjà fournis, la DGA a acté début février un contrat de 30 M€ pour l’acquisition de 15 exemplaires supplémentaires dont la livraison débutera dès la fin de l’année 2024. Survey Copter vise désormais la classe supérieure, un segment tactique léger (ou MAME) dans lequel l’entreprise prenait pied l’an dernier en dévoilant le drone Capa-X. Plus discret, EOS Technologie est l’un des chefs de file de Larinae, appel à projet visant à progresser sur les munitions téléopérées (MTO) pour lequel la start-up de Mérignac (Gironde) travaille en collaboration avec TRAAK et KNDS France. Des travaux dont l’avancement était démontré par une vidéo récemment publiée – mais depuis effacée – d’une MTO manoeuvrante dotée d’un petit réacteur. Tout comme Survey Copter, EOS Technologie capitalise désormais sur l’expérience acquise pour étendre sa gamme vers le haut grâce aux drones Endurance 900 et Endurance 1200 présentés l’an dernier. Candidat malheureux aux projets Larinae et Colbiri, Thales a cependant investi sur fonds propres pour proposer une MTO baptisée Toutatis, tout en continuant d’étoffer la gamme Spy’Ranger par de nouveaux modèles et charges utiles. Le groupe vient également de consolider sa position par l’acquisition d’Aeromapper, partenaire de longue date spécialisé et dont l’expertise est mise à profit, entre autres, pour TOUTATIS. Quant à Delair, il faut avoir vécu ces 12 derniers mois dans une autre dimension pour ne pas en avoir entendu parler. Entre les livraisons successives à l’Ukraine et l’implication dans le projet Colibri, le droniste toulousain marquait récemment de nouveaux points avec les armées françaises. D’une part, au travers de l’expérimentation concluante de son drone DT26 dans le désert djiboutien par le centre d’expertise aérienne militaire (CEAM) et le commando parachutiste de l’air n°20 (CPA20). D’autre part, par l’achat de deux drones DT46 au profit de la Section technique de l’armée de Terre (STAT), qui les testera en vue d’un déploiement dans les armées. Soutenir l’accélération Cité parmi les « bons élèves de l’économie guerre » par le ministre des Armées, Delair a su mettre le pied à l’étrier de l’accélération exigée par le contexte. Lancé de longue date, l’effort est désormais appuyé par l’ « Accélérateur Défense », un programme lancé la semaine dernière par la DGA et Bpifrance. Engagé dans « un contexte particulier de passage à une économie de guerre », l’Accélérateur défense entend appuyer les PME de la filière défense confrontées aux défis de renforcement de l’outil industriel, de constitution de stocks stratégiques, de simplification des normes et procédures, ou encore d’attractivité. « Ce programme d’accompagnement vise ainsi à aider les entreprises sélectionnées à maximiser leur performance opérationnelle et ainsi se mettre en capacité de produire de plus gros volumes, plus vite, à coûts maitrisés et dans la durée », explique la DGA. Durant 12 mois, les 28 lauréats de la première promotion bénéficieront de prestations de conseils personnalisés, de sensibilisations collectives aux enjeux actuels de la filière et de mises en relation avec des réseaux d’entrepreneurs. Delair y côtoie d’autres noms moins médiatisés mais indispensables aux forces armées, tels qu’OBSAM, spécialisé dans la gestion de l’obsolescence industrielle, et DIXI Microtechniques, concepteur et fabricant de fusées mécaniques de munition. Crédits image : EOS Technologie
  10. https://www.forcesoperations.com/grand-duc-2024-decollage-reussi-pour-le-commandement-des-actions-dans-la-profondeur-et-du-renseignement/ À peine créé, le Commandement des actions dans la profondeur et du renseignement (CAPR) s’est confronté pour la première fois à la réalité du terrain à l’occasion de l’exercice Grand Duc. Un exercice autant qu’une expérimentation source de premiers résultats encourageants en matière de construction des synergies et d’accélération de la boucle renseignement-feux. Une édition inédite Inhabituel, Grand Duc l’aura été à plus d’un titre. De par son ampleur, premièrement. Conduit du 15 au 29 mars dans le quart nord-est de la France, cet exercice annuel des unités du renseignement de l’armée de Terre a cette fois été joué entre Amiens et Belfort. Inspiré de l’exercice d’hypothèse d’engagement majeur ORION 2023, son scénario voyait l’ennemi symétrique Mercure et sa milice Tantale envahir la nation voisine Arnland. Un allié fictif de l’OTAN opposé à des ennemis tout aussi fictifs et dont l’agression entraînait la formation d’une vaste coalition, déploiement de divisions française, britannique et américaine à la clef. Trois divisions formant un corps d’armée au profit duquel oeuvrait un groupement de recherche multicapteurs (GRM) déployé dans la profondeur avec l’ensemble de ses moyens. Ses quelques 400 combattants provenaient essentiellement du 2e régiment de hussards, spécialiste du renseignement de source humaine et de l’infiltration à travers les lignes ennemies. Des éléments des 54e, 61e et 1er régiments d’artillerie, du 28e groupe géographique, des 54e et 44e régiments de transmissions ainsi qu’un sous-groupement aéromobile armé par le 5e régiment d’hélicoptères de combat sont venus s’y agréger. Ce GRM intégrait un détachement belge du bataillon ISTAR, signe parmi d’autres des liens grandissants entre forces terrestres des deux pays. Cette unité de chasseurs à cheval a pour l’occasion envoyé son escadron A renforcé d’une section radar Squire, d’une équipe drones et d’une section de génie (EARS). Une « belle unité » dont les membres « apportent une certaine philosophie et une certaine approche de la planification d’une opération. Nous avons beaucoup à apprendre de nos camarades belges tout comme, je l’espère, ils ont beaucoup de choses à apprendre de nous », soulignait le colonel Nicolas Louis, chef de corps du 2e RH et commandant du GRM. La mission de ce GRM à l’accent belge ? Trouver l’ennemi, comprendre ses modes d’action, déterminer des cibles et faire remonter ces informations jusqu’au corps d’armée. Par le lien direct qu’il crée avec les feux et les moyens de guerre électronique, le GRM contribue ainsi au grignotage, à l’affaiblissement de l’ennemi au profit des divisions et brigades de la ligne de contact. Dans un espace de jeu grand comme la Bulgarie, impossible de se la jouer « big brother ». Bien que dédoublée fictivement, l’envergure du GRM impliquait « de manoeuvrer, de faire des choix en utilisant au mieux les compétences de chacun », relève le colonel Louis. Surtout, Grand Duc constituait un premier essai grandeur nature pour le CAPR, mis en place le 1er janvier 2024 pour succéder au Commandement du renseignement (COM RENS). Organisé autour d’un état-major implanté à Strasbourg, ce nouveau commandement Alpha rassemble le centre de renseignement Terre (CRT) ainsi que trois brigades : la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC) et les futures 19e brigade d’artillerie (19e B.ART) et brigade de renseignement et de cyber électronique (BRCE). Ces unités opérant au profit de la division et du corps d’armée, focalisent leur action sur un compartiment profond de 50 à 500 km, tant au sol que dans la 3e dimension. Ce CAPR est commandé par le général de division Guillaume Danès, dont la carrière a démarré au 13e régiment de dragons parachutistes avant de se poursuivre au 2e RH puis à la tête de l’ex-COM RENS. Derrière l’entraînement et l’évaluation Antarès du PC du GRM, cette édition devait « mettre en synergies toutes ces compétences » qui évoluaient auparavant dans leur couloir de nage et de « tester une nouvelle organisation, de nouvelles procédures pour aller toujours plus vite et être toujours plus efficaces face à ces défis qui prennent une importance beaucoup plus grande par rapport à ce que les armées françaises ont connue ces 15-20 dernières années », résume le commandant du 2e RH. Un séminaire organisé en janvier dernier avec tous les acteurs du CAPR avait débouché sur de premières réflexions communes d’amélioration. Des idées pour la première fois mises en pratique lors de Grand Duc. Un militaire du bataillon ISTAR belge survolé par un Tigre HAD du 5e RHC, illustration de la volonté du CAPR d’inclure dans ses réflexions tout acteur susceptible d’agir dans la profondeur, en ce y compris les unités alliées, la 11e brigade parachutiste, les forces spéciales ou encore les observateurs d’artillerie (Crédits image : Bn ISTAR) Accélérer face à un ennemi à parité À l’instar de l’ensemble des armées, les unités du CAPR ont définitivement pris le tournant de la « haute intensité », cette volonté de durcissement de la préparation opérationnelle face à l’hypothèse d’un engagement majeur. Essentiel au bon déroulé d’un exercice, le réalisme de l’animation est l’une des spécialités de la major Stéphanie. « On nous demande depuis 2-3 ans de basculer vers la haute intensité », explique cette équipière « recherche au contact » (RAC) du 2e RH rattachée à la section entraînement-exercice du CAPR. Grand Duc n’y a pas coupé et prolongeait quelques grandes idées d’ORION 2023. C’est ainsi que la milice Tantale aura généré des actions de harcèlement et de sabotage les arrières de la force alliée pour déstabiliser celle-ci et faciliter l’avancée des divisions Mercure. Réalisme oblige, 23 « sources » ont été créées parmi la population arnlandaise, pour moitié réellement jouées. Des joueurs auxquels l’animatrice « fait dire des choses plus ou moins intéressantes à creuser ensuite ». Ces sources, additionnées aux événements conçus de toute pièce, auront atteint un volume inédit. « J’adore faire vivre l’exercice », se réjouit la major Stéphanie. Celle-ci a imaginé un monde artificiel d’associations, de médias, de réseaux sociaux alimentés à l’occasion par la petite force adverse présente sur le terrain. Jusqu’à l’écriture d’un journal quotidien : « Le Roseau », canal d’information exploitable jusque dans ses encarts publicitaires. Étendue d’Amiens à Belfort, la zone d’action profonde de plus de 400 km se voulait la plus représentative possible des élongations dans lesquelles les unités du CAPR sont appelées à opérer. Des distances sources de challenges, dont celui de l’accélération. « Notre objectif, c’est de réduire la boucle renseignement-feu, le délai entre la détection d’une cible et sa neutralisation quel que soit l’effecteur retenu », relève le GDI Danès. Pourquoi ? « Parce que, face à un ennemi à parité, il faut savoir saisir les opportunités. Nous n’avons pas toujours l’initiative, nous sommes contraints par les combats contrairement aux opérations extérieures conduites ces 20 dernières années ». Ces fenêtres d’action peuvent être très courtes, « d’où cette nécessité d’accélérer ». Le CAPR a en effet cela d’utile qu’il permet de « faire des choix un peu innovants en matière d’équipements » grâce au dialogue renforcé entre acteurs d’un même monde. Durant Grand Duc, la focale aura surtout porté sur les transmissions. L’acquisition rapide de systèmes disponibles sur le marché et en partie civils est ainsi venu soutenir le concept d’hybridation, cette combinaison de moyens civils et militaires privilégiée pour éviter les ruptures de communication et compenser les éventuelles perturbations adverses. « Comment j’utilise internet, le réseau GSM, les satellites à orbite basse en complément des satellites et liaisons radios militaires, c’est un sujet que l’on travaille à l’occasion de l’exercice Grand Duc », pointe le GDI Danès. L’armée de Terre a, entre autres, acheté des boîtiers GSM sur lesquels elle intègre un chiffrement « maison » pour pouvoir les relier à ses propres systèmes d’information. « Nous avons mis en oeuvre des passerelles automatiques et intelligentes qui nous permettent de faire basculer une information d’un niveau de classification à l’autre tout en en interdisant la redescente vers le niveau inférieur », confie le colonel Louis. Les transmetteurs auront par ailleurs réussi à pallier à l’absence de liaison 16 sur les cinq hélicoptères du SGAM, facilitant par là le positionnement ami et la coordination dans la 3e dimension. Résultat parmi d’autres des expérimentations, la patrouille de recherche opérant à Vesoul a pu transmettre ses informations en moins de deux minutes au poste de commandement du GRM installé à Mourmelon-le-Petit. Soit près de 300 km parcourus sans anicroches ni intervention technique. Certes, le processus n’est pas encore instantané, mais « gagner deux minutes, c’est déjà énorme », assure le GDI Danès. Ce petit gain de temps devient effectivement précieux lorsqu’il s’agit d’avoir un impact sur la manoeuvre ennemie. « Nous sommes sur une très bonne voie, car nous réussissons à prendre des décisions de tirs en quelques minutes », constate le colonel Louis. « Le pari de création de ce CAPR incubateur et laboratoire est donc gagné », estime pour sa part le GDI Danès. Crédits image : armée de Terre Des pistes organisationnelles et matérielles Face à un ennemi puissant et protéiforme, la réduction des délais de la boucle renseignement-feux n’est pas le seul enjeu. Repenser certains modes d’action, en concevoir de nouveaux et faire évoluer les matériels en sont d’autres. Hormis l’écriture doctrinale, il s’agira par exemple de déterminer quel sera le meilleur « pion multicapteurs » à déployer selon le contexte. Une compagnie de recherche humaine ? Une compagnie de guerre électronique ? Une section, voire une patrouille ? L’intégration de plusieurs capteurs est-elle nécessaire ? Quel est la combinaison offrant le meilleur équilibre en termes d’efficacité et de discrétion ? Bref, où placer les différents curseurs pour obtenir « un renseignement précis, fiable » ? Laboratoire à ciel ouvert, Grand Duc offrait le terrain idéal pour tester de nouveaux équipements. « Nous avons mis en oeuvre un certain nombre de matériels assez innovants dans le domaine du renseignement électromagnétique », explique le colonel Louis. Des systèmes de guerre électronique qui auront conduit à la capture anticipée d’un chef de la milice Tantale infiltré à proximité du PC du GRM. Un fait inattendu mais sans réelle conséquence pour le travail de la major Stéphanie, car le cadre scénaristique de Grand Duc n’a rien de figé et évolue tout au long de l’exercice. Le conflit russo-ukrainien influence certainement ce travail d’écriture mais « je me sers du monde entier », assure celle qui, à l’heure où nous la rencontrons, planche déjà sur la prochaine action de Tantale : l’attaque d’un aéroport à coup d’engins explosifs improvisés et de drones. Si la porosité d’un front – ou son absence dans le cas sahélien – facilite l’infiltration, celle-ci se trouve complexifiée lorsque ce front s’avère dense, parsemé de capteurs, de champs de mines, fortifications et autres obstacles présents dans les trois dimensions. La relative stabilité du front russo-ukrainien et les difficultés éprouvées par les belligérants pour le franchir en sont des rappels quotidiens. Traverser la ligne pour s’enfoncer dans le dispositif adverse, c’était déjà la préoccupation principale de Chamborant quand le GDI Danès était à sa tête, il y a plus d’une décennie. Pour ce dernier, « il y a toujours des moyens de passer, il faut être audacieux » et « chercher les espaces lacunaires, en espérant qu’ils existent ». Quitte à remettre au goût du jour des savoir-faire passés au second plan au cours des dernières décennies afin de « faire très mal, dès ce soir, à un ennemi disposant de capacités équivalentes », indique le colonel Louis. Grâce à Grand Duc, « nous avons pu mettre en oeuvre des savoir-faire spécifiques dans les conditions les plus réelles possibles », poursuit-il. Exemple avec ces VB2L engagés dans une phase de franchissement d’ « un cours d’eau assez profond qui allait contraindre notre manoeuvre », un procédé exceptionnellement joué de nuit. Le défi est tout aussi prégnant pour les hélicoptères de la 4e BAC, vecteurs de mobilité, de reconnaissance, de destruction d’objectif et d’escorte par excellence mais confrontés aux capacités d’interdiction de l’adversaire. Aux équipages d’à leur tour chercher et exploiter le trou dans la raquette adverse tout en comptant sur leur maîtrise du vol tactique et sur le renouvellement progressif des parcs d’hélicoptères. De là à agir jusqu’à 500 km ? « Nous pourrions, car nous sommes capables de réaliser des FARP [Forward Arming and Refueling Point] pour pouvoir aller plus loin. C’est ce que nous avons fait durant cet exercice », précise le lieutenant François, officier contrôleur de circulation aérienne au sein du 5e RHC. Couramment déployés lors des opérations au Sahel, ces FARP sont autant de points de ravitaillement avancés permettant d’accroître l’élongation des machines, au prix d’une exposition accrue. Plus encore, la transparence du champ de bataille qu’amène la combinaison de satellites, drones et autres capteurs suppose un risque d’érosion de la discrétion chère au 2e RH. « D’ores et déjà, on voit les Russes comme les Ukrainiens s’adapter à cette situation. On le voyait sur les autres théâtres d’opération aussi, les gens s’enterrent », remarque le GDI Danès. Mais chez les hussards, l’effort relève plutôt du camouflage, à l’instar de cette bâche en aluminium à mémoire de forme « remontée » du 13e RDP et de solutions atténuants le rayonnement infrarouge. Faute de pouvoir traverser, d’autres voies subsistent pour le renseignement d’origine humaine, à l’image des sources disséminées sur les arrières par l’équipe animation de Grand Duc et susceptibles d’être en lien avec les populations situées au-delà du front. Le retour d’un ennemi à parité pose, enfin, la question de la maîtrise du ciel. Le défi est surtout prégnant pour les hélicoptères de la 4e BAC, vecteurs de mobilité, de reconnaissance, de destruction d’objectif et d’escorte par excellence mais confrontés aux capacités d’interdiction de l’adversaire. Aux équipages d’à leur tour chercher et exploiter le trou dans la raquette adverse tout en comptant sur leur maîtrise du vol tactique et sur le renouvellement progressif des parcs d’hélicoptères. De là à agir jusqu’à 500 km ? « Nous pourrions, car nous sommes capables de réaliser des FARP [Forward Arming and Refueling Point] pour pouvoir aller plus loin. C’est ce que nous avons fait durant cet exercice », précise le lieutenant François, officier contrôleur de circulation aérienne au sein du 5e RHC. Couramment déployés lors des opérations au Sahel, ces FARP sont autant de points de ravitaillement avancés permettant d’accroître l’élongation des machines, au prix d’une exposition accrue. Surveiller et protéger l’espace aérien, c’est justement la mission principale du lieutenant Philippe. Grand Duc « permet de travailler avec tous les acteurs des brigades de la 3e dimension et, parce que nous sommes plus hauts dans la chaîne de commandement, la qualité d’information est beaucoup plus claire et précise tandis que les interlocuteurs sont moins nombreux », explique ce chef de centre de management de la défense dans la 3e dimension (CMD3D) au sein du 54e régiment d’artillerie. Son compartiment de travail s’étendait sur environ 100 km2, « ce qui est quand même assez conséquent et contient énormément de nouveaux acteurs car c’est la première fois que l’on se déploie avec le GRM du 2e RH », continue-t-il. La manoeuvre exige donc une vigilance de tous les instants. Gagner du muscle et traiter les menaces actuelles et futures demandera à la fois de la multiplicité et de nouvelles technologies. « Nous nous adapterons, et l’armée s’adapte déjà », souligne-t-il. En témoigne le rattrapage engagé sur la défense sol-air grâce à la loi de programmation militaire 2024-2030, un effort qui se traduira notamment par l’arrivée au 54e RA de véhicules Serval de lutte anti-drones (LAD) et de Serval équipés de missiles MISTRAL. Le CAPR tel qu’il s’organisera à compter de l’automne prochain (Crédits image : armée de Terre) Pari gagné À quelques jours de la fin de l’exercice, le colonel Louis se disait « plus que satisfait et même fier de ce qui a été réalisé », ce dernier relevant « des résultats remarquables, ne serait-ce que dans le délai de transmission ». Un sentiment partagé par son supérieur, le GDI Danès. « C’est très concluant. La réorganisation autour de ces commandements Alpha, c’est déjà un pari gagnant pour le CAPR ». Si les premières impressions sont positives, Grand Duc 2024 n’était qu’une étape préliminaire dans un vaste chantier soutenu par une LPM de « transformation ». Son enveloppe de 413 Md€ sur sept ans « apporte pas mal de choses en ce qui concerne le triptyque majeur de la défense sol-air, des feux dans la profondeur et de la guerre électronique ». Derrière les Serval LAD et MISTRAL, le CAPR bénéficiera du renouvellement des lance-roquettes unitaires (LRU), un projet pour lequel « il est bien dans les intentions des armées d’augmenter la portée au-delà des 70-80 km autorisés aujourd’hui pour aller bien au-delà, et pourquoi pas jusqu’à 500 km ». L’hélicoptère interarmées léger (HIL), le (re)décollage du drone Patroller, les moyens radars intégrés avec l’armée de l’Air et de l’Espace seront d’autre axes d’effort à matérialiser. Sans oublier cet essai à transformer dans le champ de la guerre électronique, car « le conflit ukrainien nous montre bien que c’est un sujet d’importance face à un adversaire à parité ». Qu’importe le domaine, « nous allons essayer de tirer le maximum de la LPM en cours. Et tout ce qu’on aura pas réussi à faire, il faudra, si la situation internationale ne change pas, que ce le soit dans la prochaine », indique le patron du CAPR. De niveau divisionnaire, le CAPR rassemblera à terme quelque 9000 militaires. Si la 4e BAC a été créée en 2016, les deux autres brigades le seront au 1er août prochain. Le CAPR sera officiellement mis sur pied début septembre, cérémonie suivie de quelques bascules internes d’unités actées le 1er novembre. Les 1er, 61e et 54e régiments d’artillerie, de même que l’École des drones (EDD) rejoindront la 19e B.ART, par exemple. Quelques éléments de commandement seront sensiblement renforcés, notamment au profit de la 4e BAC. Après petite année de transformation, « la réorganisation sera alors terminée », annonce le GDI Danès. Plusieurs rendez-vous sont déjà au programme. Après l’exercice préfigurateur réalisé le mois dernier, le CAPR contribuera aux exercices des brigades qu’il englobe, à commencer par l’exercice BACCARAT que la 4e BAC conduira à l’automne prochain. Autant de jalons qui mèneront au franchissement d’un nouveau pas, celui d’un exercice de corps d’armée baptisé DIODORE. Attendue pour l’automne 2025, la première édition visera à continuer les travaux engagés sur la coordination 3D et l’accélération de la boucle renseignement-feux. « Quand je vois les résultats de Grand Duc, je sais que nous continuerons à avancer à toute vitesse d’ici-là », se félicite le GDI Danès.
  11. https://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2024/04/le-mystere-legionnaire.html Que vous serviez à la Légion, ou que vous soyez un ancien, un (e) proche, que vous manifestiez de l'intérêt pour les képis blancs, une question : connaissez-vous l’appel de Canudo ? Lancé dans la presse les 31 juillet et 1er août 1914 par l’écrivain italien Ricciotto Canudo (1877-1923) cet appel "aux étrangers amis de la France [qui] ont appris à l’aimer et à la chérir comme une seconde patrie [et] sentent le besoin impérieux de lui offrir leurs bras" en s’engageant dans la Légion au début de la Première Guerre mondiale. Voilà l’une des 53 questions et réponses contenues dans le "Petit Quizz de la Légion étrangère" qui permet de rafraîchir ses connaissances sur cette exception française. A une dizaine de jours de Camerone, rappelons donc la sortie, en février dernier, de ce nouveau titre qui présente en 116 pages et 53 questions, l’institution, son histoire et ses représentations. Editions Pierre de Taillac, 10 €
  12. Ce brevet militaire de conduite PL vous l'avez passé dans un CIEC ? Si tel est le cas, pourquoi ne pas écrire à ce CIEC pour obtenir le dit-papier ? Vous avez du visiter ce site https://www.service-public.fr › particuliers › vosdroits BTX
  13. S'il y a lien c'est entre deux choses : la spécialité qu'il occupe et la qualification qu'il a obtenue. En clair, "je vous paie ce type de formation sous condition............". Si non, ce serait trop facile. MALINA experte RH AAE vous expliquera cela. BTX
  14. Bienvenue Dommage d'avoir quitté si tôt une bien belle boutique. M'enfin. BTX
  15. Bonjour, Voilà mon mari est militaire dans l'armée de l'air depuis 9 ans, dernièrement il a passé son permis poids lourd et a donc un lien en service de 3 ans qui va avec. Ayant fait une demande de changement d'armée qu'il s'est vu refusé par la DRHAA pour motif qu'il a un lien en service à cause du permis poids lourd. La question est : Est-ce que le lien en service doit il être fait uniquement dans la spécialité qui a fait passer le permis poids lourd ou bien est-ce un lien en service pour l'armée en générale (toute armée confondu) et dans ce cas ils peuvent pas l'obliger à le faire dans sa spécialité. Car il souhaite refuser son renouvellement de contrat qui doit se terminer début d'année prochaine et demander à faire son lien en service dans une autre armée (celle pour laquelle sa demande de changement a été refusé, sachant que l'autre armée a accepter sa candidature car c'était sur un recrutement interarmées). Lui il que des sons de cloches différents de son côté et dans les textes on ne trouve rien à ce sujet. Il y en a t'il parmi vous qui auraient une idée ? Merci.
  16. Bonjour à tous, J'avais cherché longtemps le serveur discord pour l'ALAT et je l'ai enfin trouvé : https://discord.gg/Gv6RecxCVc Il permet de discuter sur les commissions et de se répertorier, la majorité des candidats est dessus ! Bonne journée à tous.
  17. le "iron dome" est géré par des techniciennes chacun sa place ..
  18. Les spécialistes remarqueront la présence du véhicule de l'antenne médicale en arrière plan , moi il y avait une P4 voiture balai et basta ! Tant mieux ...
  19. Bonjour, j'ai voulu faire validé mon bmc poids lourd dans le civile pour obtenir la catégorie C hors on me demande en plus de mon bmc la demande de conversion. Hors je n'ai jamais reçu ce document au régiment et je ne suis plus au régiment à l'heure actuelle car radié pour inaptitude et suite à des échanges avec la personne qui gère tout cela , il m'informe qu'il n'est plus possible de me transmettre ce document comme je suis radié d'après le TTA 303 , j'ai lu ce TTA et je ne vois nul part ou il est indiqué cela. Est ce vrai et n'ai je donc aucun recours ? Merci d'avance !
  20. Bonjour, Adrien 25 ans de Pau , ancien militaire du du 17 rgp pendant 3 ans .
  21. On dit chez moi: "Faut choisir le fiancee des gabarits inferieur a votres - cela permet avoir tranquilite dans la vie". Mais dans votre cas ca doit etre en peu le conseil tardive... "C'est pas la faute de loup - que il mange de viande." Et si vous passez loup en vegan - il meurt. Si simple. De plus, une petite observation - de ce que je vois, les unitees de premiers lignes combattants en theatre ukrainienne sont composee de 99.9% des hommes, des deux cotes. Etrange, n'est ce pas?
  22. Sur ce sujet, la polémique se nourrit du terreau du silence. Le monde militaire étant un monde de procédures plus que de ressentis, il me souvient de différentes mesures généralisés pour justement éviter harcélements, violences et brimades. J'ai le souvenir de ma capitaine toute à fait féminine, de la division de la partie de caserne affectée à nous réservistes divisée entre PAX féminins et masculins, de la précaution lors des moments de convivialité. D'un couple illégitime qui a été sanctionné. Comme il n'y a pas eu beaucoup de comm', une députée ex-officier peut très bien généraliser des rumeurs ou exagérer des propos pour vendre du clic. Et le schéma du mâle guerrier patriarcal et harceleur se prête à merveille à ces révélations.
  23. le temps administratif militaire est long mais les décisions tombent toujours , la notion de patience est cruciale car on attend pour tout et tout le temps .Surtout ne jamais exécuter un ordre trop vite car le contre-ordre va arriver 😁
  24. https://www.facebook.com/21erima Croche et tient
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