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  1. Clair, un problème générationnel peut-être ? ? Ah oui avant il n'y avait que des jeunes déjà vieux cons?
    2 points
  2. A mon époque, quand le CDS demander un volontaire , la section entière effectuer un pas en avant ... ? Faut dire que l'on était bien roder , car on nous avait bien appris que de ne pas être volontaire et bien pire que de l'être ... ?
    2 points
  3. http://www.opex360.com/2019/11/30/avec-six-sauts-en-moyenne-par-an-lentrainement-des-troupes-aeroportees-est-insuffisant-previent-le-general-burkhard/ Avant de transmettre le glaive de commandement au général Thierry Burkhard en juillet dernier, le général Jean-Pierre Bosser, alors chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT] s’était plaint auprès des députés de l’insuffisance des capacités d’aérolargages, dues aux difficultés de l’armée de l’Air dans le domaine du transport aérien tactique. « Cette année, les chiffres en matière de capacités d’aérolargage seront sans doute les plus faibles des trois dernières années car nous sommes au point mort bas, entre la perte des Transall et l’attente de la montée en puissance de l’A400M », avait souligné le général Bosser. Lors de sa première audition à l’Assemblée nationale [le 2 octobre mais le compte-rendu vient seulement d’être mis en ligne], le général Burkhard est revenu sur cette difficulté, qui n’est pas sans conséquence sur la formation et l’entraînement des unités de la 11e Brigade Parachutiste [BP]. « C’est un vrai problème qui illustre à quel point l’armée de Terre ne peut pas faire la guerre toute seule et qui illustre à quel point nous avons besoin des autres armées », a en effet admis le général Burkhard. Or, a-t-il continué, il « n’est pas possible d’acquérir un savoir-faire technique tel que le parachutisme sans un entraînement soutenu. C’est d’autant plus important que ce type de missions ne se passe jamais comme prévu. » Et visiblement, les troupes aéroportées effectuent actuellement trois fois moins de sauts que par le passé. Pour illustrer son propos, le général Burkhard a pris l’exemple de l’opération aéroportée [OAP] Bonite, menée en mai 1978 par le 2e Régiment Étranger de Parachutistes [REP]. « Ce fut le cas à Kolwezi où les parachutistes étaient bien plus nombreux dans les avions qu’ils n’auraient dû l’être. L’inspection au sol et dans l’avion n’a donc pas été possible, les soldats étant trop serrés. Pour autant, il n’y a pas eu d’accident au moment du saut parce que les sections ne sautaient pas seulement 3 ou 6 fois dans l’année mais 10 ou 15 fois », a-t-il souligné. Et, justement, « c’est cet entraînement qui permet, lorsqu’une opération est déclenchée, d’aller un peu plus loin et de gagner », a-t-il fait valoir. Comme l’avait avancé le général Bosser, cette situation s’explique notamment par les difficultés de l’avion de transport A400M d’Airbus. Si c’est un appareil « en termes de transport logistique, il ne l’est pas du tout, à ce stade, en termes de transport tactique », avait-il dit. « L’arrivée trop lente de l’A400M nous met en difficulté », a également affirmé le général Burkhard, passé par le 2e REP. « J’estime que nous pouvons y faire face en raison de notre savoir-faire mais… pas longtemps » car « nous sommes descendus au seuil limite de six sauts par an lequel, selon moi, est à peine suffisant pour maintenir les qualifications », a-t-il expliqué aux députés. « Avec une moyenne de six sauts par an, nous sommes obligés de faire du chiffre et nous ne faisons pas de la qualité : soit les parachutistes sautent, non-équipés, à 70 dans l’avion, soit ils sont équipés et ils sautent à 40. Lorsqu’il faut faire passer un maximum de gens avec six sauts, ils sont non-équipés or, en mission, les parachutistes le sont forcément », a enchaîné le général Burkhard. Et donc, cela fait que « la qualification technique est donc maintenue au détriment de la formation tactique ». Aussi, a-t-il prévenu, il ne sera « pas possible de procéder ainsi indéfiniment. » Cela étant, le CEMAT se veut confiant. « Le bout du tunnel se profile, mais les difficultés ne sont pas encore terminées », a-t-il dit, avant d’évoquer une étude portant sur un contrat d’externalisation susceptible d’être attribué à une entreprise privée qui mettrait un avion CASA à disposition. Cela « redonnera un peu d’air à la qualification ‘Troupes aéroportées' », espère-t-il.
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  4. Faut bien en rire, parce que si je n'en ris pas je vais en pleurer ?. De toutes façons il n'y a pas de généralités, c'est l'évolution de la société qui naturellement crée des différences dans tous les domaines dont l'éducation est la partie visible de l'iceberg.
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  5. Par contre me vendez pas du rêve... Il doit pas y en avoir beaucoup qui se bouscule pour faire de L'OA...
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  6. Héhé, commencer pas a parler de ma génération, ca va pas le faire. Ca veut dire quoi ca que l on des boulets? Je rigole je ne peux que approuver ses dires, malheureusement. Est des boulets*
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