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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 20/09/2020 dans toutes les zones

  1. Marié à 19 ans, mazette comme on le dit dans certaines langues germaniques "vous n'avez pas laissé pousser de gazon" ......
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  2. Lire le TTA 150 ? Non pas besoin xD Tout est fait pour la réussite si tu t'en donne les moyens, à commencer par être un minimum au niveau en sport avant d'y rentrer Je t'invite à lire mon RETEX au passage et je suis globalement dispo pour répondre aux questions des futurs EVSO
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  3. tu aurais voulu être employé comment ?
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  4. @Levy Pierre L'acte de naissance est dans la liste des papiers qu'on demande pour les incorpos ^^ il permet de vérifier certains éléments. le RIB c'est surement le papier le plus important. Tu prends tes papiers d'identité, tes diplômes originaux et ta carte vitale. En gros tous les papiers qu'un jeune de 18 ans doit avoir, c'est un peu comme prendre ta vie administrative (la phrase n'est pas de moi mais d'un capitaine xD )
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  5. pour être passée il n'y a pas très longtemps par St Maixent oui il y a des échecs, pour plusieurs raisons: -blessures qui rendent inapte -Échec sur certaines épreuves (parcours d'obstacle, combat par exemple) ou pour une moyenne général inférieure à 10. Du coup là c'est conseil école, et soit ils proposent un contrat de militaire du rang comme caporal dans un régiment que vous êtes libre d'accepter ou non soit ils rien et c'est retour à la vie civile. Ce n'est pas si exceptionnel quand même. -échec au permis de conduire non, je connais le cas, ça veut juste dire obligation de le passer ultérieurement pour être BSAT mais ça n'est en rien lié à un échec à l'ENSOA vu que l'obtention du permis se fait à l'issu. Par contre si échec au CT1 (formation de spécialité après l'ENSOA), ils peuvent proposer un rattrapage, un changement de spécialité ou rompre le contrat.
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  6. @Malina à titre informatif il existe un motif à ma connaissance qui rend caduque le lien au service pour un motif dû au personnel, ce sont les concours avec changements de position. Le concours est bien du fait du personnel, et si réussite le lien au service ne tient plus. Ce n'est pas ma spécialité mais je le tiens de la DRHAT.
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  7. Non absolument pas, je suis en pleine forme!^^ Si je suis silencieuse c'est uniquement parce que je n'ai plus de retours, donc j'attends le prochain rendez vous avec ma CeR pour signer mon contrat je poserais mes question à ce moment là.
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  8. Pour CHACHA09 Je prends le train de votre échange en tentant de vous apporter qqs précisions = Q1 : après avoir incorporé l'ENSOA ou l'ESM, sommes nous forcément "diplômés" (désolé du terme peut-être pas adapté) à l'issue de nos classes ou pouvons nous être recalés pendant cette formation militaire ? R1. Que ce soit l'ENSOA (8 mois de scolarité) et a fortiori l'ESM (3 ans de scolarité), si vous ne travaillez pas régulièrement, vous serez recalé. A titre d'exemple, pour l'ENSOA, l'obtention du permis de conduire (pour ceux qui ne le détenaient pas à l'incorporation) conditionne l'obtention du grade de sergent. Si vous ratez l'examen final à l'ENSOA, vous serez nommé caporal et affecté dans un régiment de votre domaine de spécialités. L'échec n'est pas courant mais il existe. Q2. J'ai des tatouages sur les bras intérieurs/ extérieurs, qui représentent des éléments relatifs à des dessins animés/ manga (DBZ..). Ces tatouages seront forcément vus par le médecin militaire au CSO. Le militaire qui me fera ensuite passer un entretien de motivation sera t-il au courant du fait que je soit tatouée ? J'ai peur que ceux-ci soient considérés comme immatures et que le militaire ne me prenne pas au sérieux. R2. Tant que ces tatouages n'ont pas de caractère politique, raciste ou trop appuyé au plan religieux, ça passera. Mais attendez vous à faire éventuellement l'objet de réflexions peu amènes de votre encadrement. Au début, vous serez vexée et avec le temps, n'y ferez plus attention. BTX PS. Je complète pour ce qui est des échecs à la formation à l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr en vous donnant le lien du décret. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000029265177&dateTexte=20180510
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  9. Tu prends rib. ci. tout tes diplômes Attestation secu Permis
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  10. Les chasseurs alpins reutilisent des mulets. L'armee de lair et de l'espace des rapaces pour chasser les oiseaux des pistes , l'armee de terre a encore un service de pigeons voyageurs .la gendarmerie 150000 poulets ( pardonnez moi la blague ..je suis ancien de l'arme, je me permet ) Jai pas vu Brigitte Bardot venir nous casser les pieds, car tous nos animaux sont bien traités et bien logés .Je vais enfoncer le clou: debut des annees 80 le capitaine Barril , cdt du gign , sur une intervention face à un forcené a envoyé les deux chiens dispos . Ils ont été abattus. Il a été vivement critiqué pour cela . Bah je dis que dans l'ordre des priorités il a fait ce qu'il fallait faire. Ca aurait pu être deux gendarmes de tués à leur place. Bien plus tard le gendarme Prianon , maitre chien du groupe, décède d 'une balle qui avait trouvé la faille sur son gilet par balle...Alors oui ils avaient rien demandé ces animaux , tout comme ceux qui sont adoptés à la spa puis abandonnés ou qui servent de punching ball à leur soi-disant maîtres. Jai moi même eté au contact de forcenés divers et variés et quand on peut reussir la mission sans bomber systématiquement la poitrine devant les baïonnettes on tente tout pour revenir avec ses deux baloches ( du moins on observe une graduation des moyens avec pour objectif d'éxécuter la mission)
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  11. http://www.opex360.com/2020/09/20/le-general-lecointre-deplore-la-meconnaissance-profonde-du-monde-civil-de-la-realite-du-metier-militaire/ S’il y a une chose qui exaspère le général François Lecointre, le chef d’état-major des armées [CEMA], c’est qu’on l’appelle « monsieur » et non « mon général ». « Je suis très heureux d’être appelé par mon grade. C’est une belle reconnaissance, car on ne devient pas général ou amiral d’un claquement de doigts. En quarante ans de carrière, j’ai énormément travaillé pour devenir officier général, j’ai assumé et assume encore des responsabilités lourdes », a ainsi dit le CEMA, lors d’une audition à l’Assemblée nationale [et dont le compte-rendu vient d’être publié, ndlr]. « Je suis exaspéré lorsqu’un journaliste s’adresse à moi en disant ‘monsieur’ alors qu’il donnera spontanément à tout avocat du ‘maître' », a-t-il insisté. Cela pourrait être anecdotique… Mais, sans aller jusqu’à connaître certaines subtilités propres à certaines armes [la couleur du galon d’un adjudant dans l’infanterie est la même que celui d’un adjudant-chef dans l’arme blindée cavalerie, par exemple], ce fait révèle en réalité une certaine ignorance de plus en plus grande du monde militaire chez les civils, probablement en raison de la fin de la conscription et/ou à un manque de curiosité… chez les médias généralistes Certes, il ne s’agit pas non plus de demander à ces derniers d’être des experts en identification de blindés, d’avions et de navire [encore que… cela éviterait de voir parfois des photos de Mirage 2000 illustrer des articles sur le Rafale, ce qui est déjà arrivé…]. Mais le général Lecointre a donné un exemple évocateur au sujet du porte-avions Charles de Gaulle, qui a pourtant fait l’objet de maints reportages et documentaires. « Je suis intervenu sur le plateau de TF1 au moment de cette actualité brûlante, quand les gens essayaient de polémiquer sur cette affaire [celle de la contamination de l’équipage par la covid-19, ndlr] », a commencé par raconter le CEMA. « Avant d’entrer sur le plateau, je discutais avec le chroniqueur médical de la chaîne TF1 qui me demandait comment il se faisait que nous n’avions pas réussi, comme on le fait sur les paquebots de croisière, à isoler les gens dans leurs chambres. Je lui ai répondu qu’il ne s’agissait pas d’un paquebot de croisière mais d’un porte-avions nucléaire », a-t-il continué. Or, pour le général Lecointre, « au-delà de l’anecdote, c’est révélateur de la méconnaissance profonde de nos concitoyens de la réalité du métier militaire et de la guerre. » Mais pas seulement. Car cette ignorance [ou indifférence?] affecte immanquablement la compréhension d’autres enjeux majeurs concernant la défense, que ce soit sur les plans budgétaire, stratégique, industriel et technologique. « Heureusement qu’il existe ces occasions de contact entre vous, représentants de la nation, et les armées, pour que vous puissiez ensuite convaincre nos concitoyens que les armées sont radicalement différentes de par leur fonction singulière dans l’État et que, devant assumer les contraintes qui sont les leurs, elles ne peuvent être soumises aux mêmes lois que les administrations de l’Etat ou les entreprises », a dit ensuite le CEMA aux parlementaires. Cela étant, cette méconnaissance du monde militaire fut également dénoncée par les députés Pierre Venteau et Joaquim Pueyo dans un récent rapport. Selon eux, lors de la crise sanitaire, cette ignorance a même « pu porter atteinte à la réactivité des administrations civiles, peu habituées à travailler avec des militaires. » « La culture militaire tend à disparaître de nos esprits si nous n’y prenons pas garde. […] La crise de la Covid-19 nous fait prendre conscience qu’il faut réarmer tous les dispositifs qui permettent de renforcer le lien armées-nation. […] Peut-être qu’il faudrait avoir recours à la contrainte pour ce faire, et par ailleurs, le service national universel permettra sûrement de répondre en partie à ces problématiques », avait fait valoir M. Pueyo. En 2017, le Haut Comité d’évaluation de la condition militaire [HCECM] s’était également « étonné » que les « les futurs cadres supérieurs et dirigeants de l’État recrutés par l’École nationale d’administration [ENA] et l’École nationale supérieure de la police [ENSP] n’aient, depuis la suspension du service national et sauf exception, plus aucune expérience militaire. » Et d’insister : « Alors que la conception globale de la défense et de la sécurité nationale forme depuis le Livre blanc de 2008 le marqueur majeur de notre politique en ces domaines, alors que les futurs hauts fonctionnaires de l’État et les futurs hauts responsables de la police nationale en seront demain parmi les principaux acteurs, une telle lacune est plus qu’un paradoxe : c’est une anomalie. » Photo : général Lecointre © EMA
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