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  1. ( suppression du stage en corps de troupe et du CNEC si je ne m'abuse ). Ce n'est pas très malin surtout pour le stage en corps de troupe. J'apprécie de plus en plus le principe adopté à la Légion étrangère depuis des lustres de recruter et former ses futurs sergents. BTX
    5 points
  2. Bonjour, Il est décevant de constater que Mme Adaoust ait choisi de déformer le contenu de ce forum pour étayer sa thèse sur l'homophobie dans l'armée. En utilisant sélectivement un message isolé, elle ne présente pas une image juste de cette communauté. Il serait peut-être trop ambitieux de demander à Mme Adaoust de faire preuve de plus de rigueur dans son travail et de ne pas manipuler les propos des forums en ligne pour servir ses propres agendas. Le journalisme responsable exige de présenter une image fidèle et équilibrée des sujets abordés. Kaloume
    5 points
  3. https://www.obsalis.fr/actualite/contrat-dengagement-des-militairesnbsp-comment-resilier-son-contrat-durant-la-periode-probatoirenbsp tu n'es pas prisonnier mais réfléchi bien et n'agit pas sur un coup de tête mais déjà si le train te fait peur mon Dieu! j'ai connu des jeunes qui restaient 12 h en famille avant de se retaper x heures de train en priant pour être dans les rangs au rapport à l'autre bout de la France .Des appelés même pas des gens d'active ...eux oui ils avaient toutes les raisons du monde de vouloir que çà s'arrête le plus vite possible quand ils n'avaient pas perdu leur boulot en partant sous les drapeaux .ils avaient 18 berges aussi .
    4 points
  4. En Harley davidson on ne reconnait plus personne.
    4 points
  5. Bonjour à tous, Je poste ce sujet pour partager avec vous une plateforme d’entraînement, Exam Arena, que nous avons créé pour faciliter la préparation des candidats aux épreuves psychotechniques de l’armée. La plateforme comporte des entraînements pour ces 5 sous-tests: Arithmétique Raisonnement Spatial Vitesse de codage Attention La plateforme compte près de 1800 questions et nous avons fait en sorte de mettre les candidats dans des conditions les plus proches de celles qu’il rencontreront le jour j. Par ailleurs, les candidats peuvent générer leurs propres exercices qui s’adaptent à leur niveau. La plateforme est accessible gratuitement pour le moment. N’hésitez pas à faire un tour dessus et à me faire vos retours pour que nous puissions l’améliorer! Voici le lien d'accès à la plateforme: https://app.examarena.io/index/armee-francaise?m=signup Merci à tous et bonne préparation
    4 points
  6. Les médias sont depuis longtemps des porte-parole de parti politique. Depuis longues dates, les journalistes neutre sont extrêmement rare par simple problème de rémunération. Un article qui tend un peu trop contre une idée ne va pas être payé pour être diffusé dans le dit journal. Ce qui créait une sélection indirecte. Ce n'est pas vraiment de la corruption, c'est un regroupement d'idée similaire. Quand le patron demande un article sur un sujet et qu'il faut respecter certaines lignes de conduite ... On arrive à ce type de ''journalisme'' qui va s'accrocher à la première branche qui colle bien sans se soucier de la forêt. Rien de nouveau sous notre bon vieux soleil ! Lire plusieurs livres, recouper les informations, c'est le saint Graal de toute personne souhaitant avoir une vraie information.
    4 points
  7. Je comprends en effet votre réaction, car si la logique de l'EMHM est parfaitement compréhensible et marche depuis plus de 50 ans, je ne vois pas bien l'intérêt d'une école 9e BIMa, surtout qu'ils semblent l'axer sur le fait "Troupes de Marine" & "Amphibie" alors que des unités de la 9e BIMa ne sont pas colos, que des colos "oeuvrent" en dehors de la 9e BIMa, et qu'il n'y a pas que la 9e BIMa qui fait de l'amphibie ... Clairon
    4 points
  8. Bonsoir, Me voilà de retour après la fin de ma formation générale à la 27e BIM. Les deux premières semaines. Arrivé à Gap, Perception du paquetage, séance de vaccination au CMA, Test CCPM, cérémonie de la remise du HK (premier grand moment de la formation),beaucoup de paperasse, Marche à la tarte au pic de Charance, puis 2 semaines de permission de Noël. Début de la FGI. La formation débutent réellement, Apprentissage du combat, premier terrain, Apprentissage de la vie en bivouac, camouflage ect.. (Je ne rentre pas dans les mots techniques pour que tout le monde comprennent) et une petite marche de 7km en dénivelé. Les premiers tirs au HK, puis nous partons 3 semaines dans un camp sauvage au climat très spécial le fameux camp de Chambarant. Un mythe est construit autour de Chambarant, en arrivant les premiers jours les cadres comme les mecs de fts nous disait juste son nom mais pas ceux qui se passer là-bas, alors je ferai de même, Surprise et surtout bon courage en hiver ! Retour de chambarant Il y'avait clairement un avant et un après ce camp, les cadres nous considérer plus comme civils, nous avons laissé notre vie civile là-bas et nous sommes revenue avec une autre mentalité. Passage du module bravo, Perception de la tenue ZE ( zone enneigé), perception des skis, et nous partons 1 semaine à Chamrousse. Très bon moment, découverte du ski militaire, Apprentissage sur la montagne en hiver ect.. Les dernières semaines. Durant les dernières semaines nous avons accumulé beaucoup de terrains et beaucoup de marches, 7-10-15-20-25km toujours avec ce dénivelé qui détruit vos jambes. Le passage du module Charlie, puis nous enchaînons 3+3 jours en terrain pour préparer le rallye final et bien nous fatiguer avec 2-3 alerte par nuit, puis nous repassons les tests CCPM. le rallye final. Nous repartons pour 3 jours de terrain mais cette fois-ci c'est le dernier. Nous commençons le rallye final où 8 épreuves nous attendent, ces épreuves rassemblement tout ceux que nous avons appris depuis le début. Fin de formation. Pour la fin de notre formation nous partons direction Grenoble pour une dernière ascension, le mont Jala, Monument au mort des troupes de montagnes où nous attendent des anciens et des haut gradés pour notre cérémonie. Remise de l'insigne de promotion, découverte de notre parrain, et d'un merveilleux moment qui clôture cette formation. Mot de fin. Nous avons commencé à 42 et nous avons fini à 36, je garde que des bons moments de cette formation. J'ai essayé de faire le plus simple possible et condensé c'est 3 mois de formation en quelques lignes. Je reste disponible pour répondre à vos questions si besoin. Gaulois1.
    4 points
  9. Encore une fois, je ne vois pas ce qui autorise la Cour des Comptes à écrire ceci dans son rapport : " « Même si la notation fait l’objet d’une présentation détaillée aux élèves-officiers au début de la formation académique et même si, selon l’AMSCC, le règlement de la notation est disponible pour tous, le dispositif manque de transparence et d’intelligibilité pour les élèves-officiers. Ceux-ci ne savent pas vraiment comment fonctionne la notation, et considèrent qu’elle peut être source d’iniquité »." Ras-le-bol de ces "juges" qui s'octroient des droits démesurés (Conseil d'Etat, Conseil Constitutionnel, etc.) et nous balancent des jugements péremptoires sans connaître les rouages de l'institution militaire. Et je suis d'autant mieux placé pour émettre cet avis que je ne suis pas issu de la "Spéciale". Donc, pas de conflit d'intérêt. Je vous livre ce commentaire que je trouve pertinent. De la part d’un « dolo » issu » du système.. Beaucoup de bon sens et de vérités dans les propos du commandant de l’AMCC mais attention aux mauvaises conclusions et, surtout, attention à ne pas détruire ce qui fait justement la finalité des armées : « tuer pour la France en évitant autant que possible de mourir pour elle », ce qui implique une grande agilité intellectuelle, des ressorts d’audace, de détermination et d’exigence, tant personnelle que vis-à-vis de ses subordonnés. Si nos meilleurs officiers élèves choisissent la colo, la légion ou les chasseurs alpins, c’est simplement parce que le « mythe » est hérité de l’aventure coloniale, ou des conflits post 1945. Si le mythe du « chat maigre » l’image de Bigeard, Saint Marc ou Morel fait vibrer, peut-on le leur reprocher ? On peut aussi parler de Kieffer ou d’Estienne D’Orves, de Fonck ou de Guynemer, on parlera moins des transporteurs qui ont largué sur DBP, ou moins des marins des FNFL qui ont fait la Bataille de l’Atlantique. Simplement parce qu’à 20 ans on aime les héros incarnés. Aux oubliettes les poilus de 14-18 ou les tirailleurs de la 3eDIA ! Un peu pour la même raison que l’image du soldat allemand véhicule une image de modernité, alors que la moitié de l’armée allemande en 44 était encore hippomobile. On peut critiquer cet état d’esprit, c’est celui d’une jeunesse qui apprendra bien vite (les 10 premières années à peine) que la nuance est nécessaire. Oui, on peut croire que la note de gueule a fait des ravages. Je n’en suis pas si certain. D’abord parce qu’elle n’est pas le fait d’un seul prince mais d’un travail collectif de l’encadrement de contact qui partage sa vision de tel ou tel élève au gré des activités. Je n’ai jamais été instructeur à Coet mais je le fus en Ecole d’Armes et je sais ce que je dis : c’est fondamentalement subjectif mais cette capacité à identifier les potentiels est une exigence attendue d’un officier qui doit savoir tirer parti des qualités de chacun de ses subordonnés. Ce rapport de la cour des comptes m’invite à deux réflexions qui « remontent à la surface » à la lumière du conflit ukrainien : Pourquoi notre système ne permet pas aux armes savantes d’être choisies par les majors de promotion comme c’était le cas avant 1940 ? Si cela avait été le cas, peut-être que notre armée professionnelle compterait moins de régiments de mêlée et plus de rgts d’appuis… c’est oublier que le modèle d’armée a été construit en 1997 (et notre système de formation en 1963) en tenant compte de contraintes politiques fortes (réduction des budget) et dans un contexte post guerre du Golfe qui fut pertinent pendant un quart de siècle. On aurait certes pu anticiper une évolution du format mais quand on sait que l’entretien des 200 LECLERC et des 15 hélicoptères de l’ALAT hypothéquaient 85% du budget Maintenance de l’Armée de Terre, quand on proposait de conserver des unités d’infanterie, tout le monde s’en contentait, y compris et surtout Bercy. C’est aussi oublier que, pour paraphraser Michel Goya, les sections d’infanterie (et les pelotons de cavalerie dans une moindre mesure) sont une « ressource stratégique dans l’hypothèse d’un engagement sur le territoire national (Sentinelle puissance 10) …" La 2e réflexion porte sur le questionnement sur la charge de travail des officiers élèves engagés dans deux cycles parallèles, un master/diplôme d’ingénieur et le métier d’officier. Ce me semble spécieux car il traduit une fois encore -ce que l’ancien CEMA, le GA LECOINTRE regrettait-, à savoir la méconnaissance profonde de nos élites politiques, médiatiques et administratives du métier militaire. Oui, il est normal à Coet de « bosser » 50 heures par semaine, car cela fait partie de l’école de l’aguerrissement du commandement, en apprenant à réfléchir et à décider quand on est fatigué. Enfin, les critiques sur le déterminisme du système de formation des officiers semblent occulter quand même que rien n’est acquis, même pour des têtes supposées bien faites. Le temps de commandement de capitaine est une épreuve quasi sacralisée que peu de grands corps de l’Etat osent pratiquer. J’attends encore le « brillant » de l’ENA ou de HEC, ou des Mines ou de l’X qui n’a pas choisi le métier des armes, élaborer un ordre d’opération et engager en opérations ses 150 soldats. Comparaison n’est pas raison mais ce « filtre » reste malgré tout exceptionnel et n’appartient qu’aux institutions en uniforme. J’aimerais que les membres du corps judiciaire (c’est un exemple) qui commettent des erreurs gravissimes engageant l’avenir de leurs concitoyens soient aussi sévèrement sanctionnés. Enfin, je n’ai pas entendu que les autres administrations imposent à leur « pointes de diamant » de repasser à mi-parcours sous les fourches caudines d’un second concours (EMSST ou ESG). On a beau être major de promotion, si on ne franchit pas l’obstacle – ça arrive, comme il arrive que le fils de personne puisse réussir- et bien on finira sa carrière comme lieutenant-colonel (même s’il faut reconnaitre que, dans ces cas-là, ces élites déchues n’hésitent pas à quitter l’institution pour se relancer, ce qui démontre une ambition et une détermination déjà identifiées à Coet.) Alors certes, on peut et on doit toujours innover et remettre l’ouvrage sur le métier. On peut aussi se poser la question de la pertinence d’un bagage universitaire quand on vient de passer deux années de préparation de pure culture générale. Mais là aussi, n’est-ce pas justement pour cette « équivalence » universitaire que l’université peine toujours à attribuer aux élites militaires… simplement parce que ce sont des militaires.". BTX
    4 points
  10. Procédure normale , tu es en arrêt maladie de telle date à telle date .On ne rompt pas le contrat de quelqu'un qui est en arrêt maladie et qui n'est pas de plus déclaré inapte au service .Dans le civil c'est pareil .le licenciement est interdit .
    3 points
  11. Il est "d'humbles placards" qui valent toutes les étoiles...
    3 points
  12. BTX a raison mais en même temps si vous ne vous faites pas un peu mal aujourd'hui en coupant le cordon ombilical vous aurez encore plus de mal dans quelques années. Vous êtes passé du monde des bisounours au monde des hommes, tout le monde sait ici que ce n'est pas facile. Bien sûr que vous ne vous faites pas d'amis mais seulement des relations de travail, bien sûr que vous êtes d'un naturel renfermé et alors c'est pareil dans le civil. peut être je suis méchant, dur, sans pitié et autres mais bon sang de bois prenez vous en charge. ou alors démissionnez vite et ne revenez pas dire "ah si j'avais su" bien triste tout cela et tellement représentatif du monde d'aujourd'hui!!!!!
    3 points
  13. Le mieux serait de recueillir l'avis de vos parents qui, ils sont si proches de vous, ira dans votre sens. Il est rare dans ce contexte que des parents aillent à l'encontre du souhait de leur progéniture. En clair, dénoncer votre contrat et laisser tomber la réserve. Vous n'êtes pas fait pour le métier des armes. Et remettez vous sans perte de temps aux études. BTX
    3 points
  14. Vu en Alabama sur un parking "horses only " japanese not allowed 😁
    3 points
  15. Le doute risque de subsister longtemps ! Avec une présentation aussi dense, on est bien avancé. Avertissement gratuit en attendant les réponses aux qui, quoi, pour quoi, quand et par où, dans quel but ? BTX
    3 points
  16. Bonjour à tous, Comme annoncé dans mon dernier post, voici le Retex complet de ma PMP (Préparation Militaire Parachutiste). En espérant que cela soit utile ! N'hésitez pas à me corriger si vous remarquez une erreur ou si vous souhaitez apporter une précision. Si vous avez des questions j'y répondrai avec plaisir. CONTEXTE GLOBAL La PMP est un stage de 12 jours proposé par l'armée de Terre s'adressant aux civils souhaitant avoir une première approche des TAP (Troupes AéroPortées). Elle permet d'avoir à la fois une instruction initiale des fondamentaux militaires communs à toutes les armes et un volet orienté entièrement vers les TAP. En théorie (et comme nous allons le voir plus bas, c'est bien seulement en théorie), 2 sauts en parachute sont prévus durant celle-ci, sous réserve de la validation des conditions que je vais détailler ensuite. A l'issue, une PMP réussie débouche sur l'obtention du "Brevet PRÉmilitaire de parachutiste", aussi appelé "Brevet de PMP". Ce dernier ne doit pas être confondu avec le BPM (Brevet de Parachutiste Militaire), qui est quant à lui délivré aux personnels engagés dans un régiment TAP ou les officiers de toute arme lors de leur formation et qui consiste en 6 sauts dont 1 de nuit et 1 avec armement. Il est important de savoir ceci car de nombreux conseillers CIRFA ont une idée assez vague du contenu de la PMP, notamment concernant le nombre et la nature des sauts. Cela débouche sur le fait qu'au sein de ma PMP, certains pensaient que nous allions faire 0 saut, d'autres 1, 2 voire 6. Le nombre prévu officiellement est bien de 2 durant une PMP, réalisés de jour avec uniquement parachute dorsal et ventral (sans armement). Dans le cas de ma PMP (et j'imagine que c'est le cas pour toutes), la première semaine se fait au régiment et la deuxième à l'ETAP (École des Troupes Aéroportées) située à Pau afin d'y réaliser les 2 sauts. Le nombre de PMP est assez limité chaque année. Dans un mail reçu en novembre 2023, seule 2 étaient alors prévues en 2024 : l'une au 1er RCP (régiment de chasseurs parachutistes) de Pamiers du 3 au 15 mars 2024, l'autre au 1er RTP (régiment du train parachutiste) à Cugnaux (près de Toulouse) en avril 2024. Le mail précisait qu'aucune PMP n'était prévue durant l'été (sûrement en raison des JO). Cela étant, j'ai entendu un cadre s'occupant des sauts à l'ETAP dire qu'ils recevaient 4 PMP par an. A voir donc si certains sont prévues durant l'automne 2024. Il convient donc de s'y prendre en amont. Enfin, il faut bien différencier la PMP de la PMP FS (Forces Spéciales) qui dure également 12 jours mais qui s'adresse à des candidats triés sur le volet et qui diffère sur de nombreux points dans son organisation (à vous de vous renseigner si cela vous intéresse, je n'ai pas plus d'information et ce n'est pas notre sujet ici). COMMENT S'INSCRIRE À UNE PMP Je tiens en premier lieu à contredire l'affirmation que j'ai souvent lue selon laquelle les PMP sont réservées aux élèves des lycées militaires. Dans ma PMP, moins du tiers de la section (30 stagiaires) était issu de ce type d'établissement. La plupart n'avait aucune expérience militaire. Vous pouvez donc tout à fait postuler pour ce type de PM en étant un pur civil, malgré ce que peuvent dire certains conseillers CIRFA. La première étape va logiquement consister à prendre rendez-vous en CIRFA. Le nombre de places étant tout de même limité (pas de stress là-dessus, il s'agit d'une formation qui reste largement accessible) et la tenue d'une telle PM engendrant un coût significatif pour le budget de l'armée de Terre (et donc pour nos finances publiques), à vous de montrer votre motivation, votre connaissance de l'institution, des TAP et d'inscrire cette opportunité de PMP dans votre parcours. Ceci est valable selon moi pour tous les types de PM : ne pas donner l'impression qu'on vient pour une colonie de vacances. Ensuite, il faut réaliser la visite médicale au CSO, en précisant bien au médecin de préciser l'aptitude médicale TAP (voir les autres Retex sur la médicale). Une fois validé, il faut fournir votre dossier médical à votre conseiller CIRFA pour qu'il puisse l'envoyer à son tour. Dans mon cas, j'ai parlé de mon intérêt à participer à une PMP à mon conseiller CIRFA fin octobre 2023, il m'a ensuite dit qu'il se renseignerait. Il m'est revenu quelques jours plus tard pour m'informer que deux PMP étaient prévues comme mentionné plus haut. J'ai déposé ma candidature pour celle organisée par le 1er RCP en mars 2024 (les dates m'arrangeaient parfaitement et mon grand-père habite à Pamiers). J'ai fait ma visite médicale le 23 novembre 2023, l'ai envoyé le soir même à mon CIRFA et j'ai reçu la confirmation que j'étais retenu pour la PMP le 8 décembre 2023. Il faudra ensuite obligatoirement réaliser une radio complète du rachis (la colonne vertébrale en gros) dans une clinique civile avec les commentaires (pas d'anomalies de telle ou telle partie) du radiologiste. Il faudra envoyer le tout à votre CIRFA qui le transmettra au régiment de la PMP ou le présenter au format papier lors de votre arrivée à la PMP. Pas de radio, pas de saut et le stage s'arrête immédiatement ! Il faudra ultérieurement convenir de votre horaire d'arrivée à la gare avec le régiment une fois que le CIRFA vous aura envoyer les billets de train. Des navettes sont organisées pour vous conduire au régiment depuis la gare. Idem pour le retour à la fin du stage. DÉROULEMENT DE LA PMP: A partir d'ici, il s'agit de mon expérience propre. Aussi, les éléments peuvent varier d'une PMP à l'autre (notamment sur la question centrales des sauts...) bien qu'un tronc commun existe entre elles. Ma PMP a donc été organisée par le 1er RCP du 3 au 15 mars, voici son déroulé: 1ère semaine : la vie au régiment Arrivé le dimanche 3 mars au régiment depuis la gare, en attendant que tout le monde soit là (les premiers sont arrivés en milieu d'après-midi, les derniers en fin de soirée), installation dans les chambres, on fait connaissance entre nous, un dîner sous sachet froid est offert par le régiment. Nous sommes au début 30 stagiaires, moyenne d'âge 18 ans (les plus jeunes avaient 16 ans, les plus âgés étaient dans leur vingtaine), que des garçons sauf une féminine qui a arrêté au bout de quelques jours (mais de ce que j'ai entendu en général il y a au moins 3 ou 4 féminines dans ce type de PM). Sans faire un exposé jour par jour de la semaine du lundi 4 au dimanche 10 mars, voici les éléments qui ont constitué nos premiers pas chez les paras du 1er RCP: - Instruction lit au carré / lit en batterie (la base de la base) - Perception effets militaires (treillis, chapeau de brousse, musette, rangers, etc.) - Instruction OS (Ordre Serré, donc apprendre à se mettre en rang, à se déplacer en formation, marcher au pas en chantant) - Présentation armement (HK 416 F, FN Minimi, SCAR H-PR, 12.7) - Instruction en salle de cours (grades, topographie, organisation régiment, parcours possibles dans l'armée, actes élémentaires du combattant) - Présentation du VBMR-L Serval (nouveau véhicule blindé récemment perçu par le régiment) - Atelier démontage/remontage FAMAS FÉLIN - Terrain (marche de 5km, atelier bivouac, poste de combat, dégustation des rations de combat) - SITTAL (Système d'Instruction Technique du Tir aux Armes), un simulateur de tir sur FAMAS F1 - Visite du musée du régiment - Course d'orientation avec 20 balises à poinçonner dans tout le régiment, il faut revenir voir le cadre pour validation à chaque balise donc on court pas mal (les meilleurs ont fini en 35 minutes environ). Très sympa pour découvrir tous les recoins du régiment. - Sport (une à deux fois par jour, je conseille logiquement de bien se préparer pour ne pas subir tout le stage car le niveau est assez élevé) : course à pied, pompes, gainage, tractions, montée de corde, jumping jack (on en a fait littéralement 750 une fois... ceux qui arrêtaient avant devaient aller directement faire des pompes avec le caporal), exercices divers de renforcement musculaire, parcours du combattant, toute une matinée à crapahuter dans la boue en portant des poids comme des poutres, des tubes ou des camarades sur des brancards improvisés avec des branches en marchant sur des pneus et en passant dans des tunnels. Nous avons aussi fait un volley (avec gages pour les perdants) et une séance d'initiation à la boxe anglaise. Ceci avec bien entendu chaque matin durant tout le stage : habillement, rasage, lits en batterie (puis au carré après le déjeuner) et TIG A la fin de la première semaine, réalisation des tests physiques pour pouvoir sauter la semaine d'après. Il ne s'agit pas des vrais tests TAP, on vous demandera uniquement de valider les épreuves suivantes : - Courir 4 km en moins de 24 min (6:00/km, honnêtement à la portée de tout le monde) - Faire 8 pompes (idem) - Faire 20 flexions (squats) - Faire 30 abdos (type crunch) - Se maintenir 15 secondes sur la barre de traction avec menton au dessus de la barre - Monter 3 mètres de corde (si bien effectué, en 2 mouvements avec les pieds c'est plié) Tout le monde a validé ces tests, malheureusement un stagiaire s'est luxé le bras à la boxe (qui avait lieu juste après les tests physiques) et a dû arrêter le stage. Je dis ça pour bien montrer qu'il est primordial de ne pas se blesser et de se ménager sur les activités secondaires : vous êtes là pour sauter. Le samedi après-midi nous avons été en quartier libre, le dimanche nous avons faits tous nos sacs, les TIG de la compagnie et avons embarqué dans le bus pour nous rendre à l'ETAP située à Pau (3h30 de route en bus environ). 2ème semaine : immersion à l'ETAP Nous arrivons donc à l'ETAP en fin de journée. Installation dans les chambres. Il faut savoir que toutes les unités qui doivent faire valider le brevet militaire parachutiste à leur personnel passent par l'ETAP. Nous avons donc pu voir durant notre séjour le 8ème RPIMA, le 17RGP, les officiers de gendarmerie et même les FS du 1er RPIMA ! Les deux premiers jours (lundi et mardi) sont dédiés intégralement à l'instruction sur les sauts: - Amphithéâtre d'accueil avec toutes les unités venant passer leur brevet, vidéo de présentation sur le saut (parachute dorsal, ventral, incidents de sauts possibles et comment y réagir, procédure de sortie de l'avion et d'atterrissage). L'adjudant de l'ETAP en charge de la PMP nous annonce qu'ils vont essayer de nous faire sauter 2 fois comme prévu dans les textes, mais que logiquement nous sommes en dernier ordre de priorité vis-à-vis des autres unités pour sauter. Ce sera donc plutôt 1 saut, et il précise également qu'il est possible que nous ne puissions pas sauter si imprévu. Le saut est alors prévu pour mercredi en fin de matinée. - Multiples ateliers au sol avec un moniteur : comment vérifier son parachute dorsal et son ventral, comment les ranger après le saut, apprendre le roulé boulé pour bien atterrir, simulation dans des maquettes d'avion grandeur nature de l'entrée de l'appareil à la sortie, apprendre à se diriger une fois dans les airs, différentes procédures à suivre une fois sorti de l'avion (vérifier la coupole de la toile, les harnais, la vitesse de chute, la zone de ralliement, se mettre dos au vent, se préparer à l'atterrissage), comment réagir aux incidents de sauts, se placer maintenu en l'air à 2 mètres du sol pour simuler la sensation une fois dans les air. Beaucoup d'informations à retenir en peu de temps, mais le sommeil permet de digérer le tout et on se réveille plus à l'aise chaque jour. Une fois l'instruction terminée, il faut valider une dernière étape avant de prétendre pouvoir sauter : réussir l'agrée de synthèse (je vous laisse chercher sur internet, une image vaut mille mots) ou la tour de saut si ce dernier n'est pas fonctionnel. Il s'agit de simuler l'atterrissage en conditions proches du réel. Nous avons fait la tour de saut : suspendu à 15 mètres du sol, on vous suspend dans les air, vous chutez en diagonale comme si vous aviez le vent dans le dos et les instructeurs doivent valider votre atterrissage. 3 essais maximum, la plupart réussissent au premier coup. Seulement, arrivé le mardi en milieu d'après-midi, une fois la dernière instruction accomplie (simulation dans maquette d'avion au sol), l'instructeur nous dit "profitez bien car je crois que ça sera sûrement votre dernier saut". Il venait d'apprendre que l'avion (un CASA CN-235) qui devait nous faire sauter le lendemain devait finalement partir plus tôt que prévu (12h00 au lieu de 17h00 le mercredi), que la programmation des vols avait pris du retard et que donc des unités devaient encore sauter pour valider leur brevet, ce qui faisait que nous ne pouvions plus sauter...Le moral de la section s'est effondré. On nous a dit que nous ferions malgré tout la tour de saut mercredi matin au lieu de mardi en fin d'après-midi, pour que nous ayons suivi la formation dans son ensemble. Les cadres étaient tout aussi déçus que nous car ils voulaient vraiment nous voir sauter. Le sergent (ici notre chef de section) nous emmène faire un footing pour nous changer les idées et il a bien fait. Nous nous réveillons donc le mercredi dans une profonde amertume. Le matin nous faisons ainsi la tour de saut et nous partons déjeuner en se demandant même si nous n'allons pas rentrer à Pamiers directement. Symbolique implacable, nous rendons nos casques de saut. Les cadres nous conduisent néanmoins sur l'aérodrome pour que nous puissions voir les unités s'équiper, puis nous partons sur la zone de saut de Wright voir les parachutistes atterrir et rejoindre la zone de rassemblement. Rarement été autant frustré de ma vie que de devoir s'arrêter aux barrières sans monter dans l'avion alors que nous étions préparés pour cela. Nous sommes ensuite allé visiter le musée de l'ETAP, très intéressant. Nous avons même rencontré un ancien colonel de 90 ans qui a sauté sur Suez en 1956 !! Un monument de l'Histoire et une personne très sympathique. Le sergent nous rassemble à la sortie du musée, et nous dit "Je vous avais expliqué que la vie d'un para est faite d'imprévus, et bien c'est encore le cas pour vous. Finalement, l'avion ne part plus, vous allez donc pouvoir réaliser le saut qui était prévu aujourd'hui dès demain matin à la première heure et vous allez pouvoir en faire un deuxième l'après-midi". Comme vous pouvez l'imaginer, j'ai rarement connu et vu un déchainement de joie de 28 personnes aussi intense. La section est gonflée à bloc, nous savons que rien n'est fait et que tout peut encore changer (pluie, vent, disponibilité de l'appareil), mais nous voulons y croire. On repart percevoir nos casques, le premier saut est prévu le lendemain à 8h00. Retour au bâtiment vie, nous faisons nos sacs et les TIG pour être prêts à rentrer à Pamiers jeudi en fin de journée. Ce changement de programme fait que nous nous couchons en sachant qu'une grosse journée nous attend le lendemain. Nous voilà donc arrivé en ce jeudi 14 mars 2024. Petit déjeuner, puis direction l'aérodrome. Quelle satisfaction d'y revenir dans un contexte opposé à celui de la veille. Nous nous équipons (le parachute dorsal pèse 15 kg, le ventral 7), 4 moniteurs différents vérifient notre équipement. Une fois cela fait, nous nous dirigeons en colonne vers le tarmac. Entrée dans l'appareil, nous nous asseyons, les moteurs vrombissent de plus en plus fort, les visages se font plus silencieux, chacun a sa réaction. L'avion s'élance enfin sur la piste, c'est le décollage (certains petit gars de ma section n'avaient jamais pris l'avion avant ça). Au bout d'un petit moment, détachement et rangement des ceintures, tout le monde debout, attachement du harnais avec une main le saisissant et l'autre en protection du ventral. Premier passage sur la zone de saut, ouverture des portes, largage d'un mannequin (pour évaluer la vitesse du vent entre autre). Lumière rouge, saut dans 30 secondes à 400 mètres d'altitude. Un camarade avait sa montre connectée sur lui, 188 battement par minute ! Lumière verte, l'alarme retentit, cette fois c'est parti pour de bon. Pour ce saut, j'étais l'avant-dernier du premier câble. Impressionnant de voir ses amis se faire happés par la porte, qui se rapproche de plus en plus et très vite ! C'est mon tour, il s'agit d'un saut dit "en position", donc je donne mon harnais au largeur, je me mets en position à la porte en la saisissant des deux mains, le regard vers l'horizon comme on nous a appris. Je reçois au bout de 1.5 seconde la tape du largeur dans le dos, je m'élance dans les airs en m'éjectant le plus loin possible de l'avion. Je souhaite à tout le monde de pouvoir vivre cet instant précis une fois dans une vie, car c'est réellement indescriptible. Contraste saisissant entre le bruit sourd de l'avion et le silence des cieux une fois sorti. Le parachute dorsal s'ouvre automatiquement en 3 secondes (on vous apprend à compter 331, 332, 333 dans la tête pour marquer ces 3 secondes, une fois passé ce délai il faut commencer à regarder s'il y a un problème et potentiellement déclencher le parachute de secours ventral à la main, mais ce cas reste très rare). Bref vous l'aurez compris, sacré moment de soulagement une fois que le dorsal s'ouvre. Je fais les vérifications qu'on m'a apprises, et je profite un instant de la vue (les Pyrénées sont magnifiques depuis Pau) et de la sensation fabuleuse. Arrivé à environ 50 mètres du sol, position d'atterrissage (pensez à bien serrer les jambes). La terre ferme atteinte, on réalise à peine ce qu'il vient de se passer. Vient ensuite le moment de plier et ranger sa toile, de rejoindre un camarade pour aller à la zone de ralliement en binôme en trottinant (sympa quand vous avez les 23kg à porter et que vous avez été largués au début ou à la fin du câble, vous pouvez en avoir pour presque 1.5km, les plus chanceux du milieu sont à 300m). Une fois la zone atteinte, compte rendu oral du saut à l'instructeur qui vous accueille (nom, unité, numéro de câble, état sanitaire). Vous devrez alors ranger votre équipement en position de réhabilitation (vu pendant l'instruction comme tout le reste bien sûr) et faire le compte rendu du saut par écrit sur une petite fiche. Ensuite, rendre votre matériel à l'instructeur avec nouveau compte rendu oral. Le deuxième saut a eu lieu à 14h00, cette fois-ci j'étais le deuxième à sortir et nous sautions "au numéro" : quand c'est à votre tour de sauter, au lieu de donner directement votre harnais au largeur et de vous placer devant la porte en attendant sa tape dans le dos, vous attendez face à lui, dès qu'il appelle votre numéro (l'ordre de votre sortie) vous lui donnez le harnais et vous sauter directement sans marquer de pause à la porte ! Si le premier saut est mémorable car vous découvrez plein de sensations nouvelles en moins d'une minute, le deuxième est génial aussi car on a le temps de se poser et d'appliquer correctement ce que l'on nous a appris (par exemple je n'ai presque rien senti à l'atterrissage du deuxième saut car j'avais fait ce qu'il fallait alors que pour le premier je me suis bien ramassé sur la jambe gauche, heureusement sans conséquence). On m'a souvent dit que le deuxième saut faisait plus peur que le premier car on savait ce qui nous attendait cette fois et que donc le cerveau avait un réflexe d'anticipation, mais personnellement je n'ai pas eu cette sensation. Peu importe le saut, on a toujours la pression et c'est normal. A l'issue du deuxième saut, cérémonie directement sur la zone de ralliement où l'on nous remet l'insigne de la PMP, un moment très fort surtout pour nous qui avions bien failli ne pas sauter. Vous obtenez également le brevet de PMP, document officiel à conserver. Nous avons rendu tout le matériel à l'aérodrome puis nous sommes ensuite revenu à l'ETAP (située à 10 minutes de l'aérodrome), dernier TIG dans les bâtiments puis départ en bus direction Pamiers. Arrivés au 1er RCP, nettoyage du bus, rangement des chambres, cirage des rangers, la PMP se finit le lendemain en fin de matinée. Avant d'aller dormir, notre chef de section nous rassemble et nous annonce que la capitaine de notre compagnie a exceptionnellement proposé que nous puissions participer à la montée des couleurs du lendemain avec tout le régiment sur la place d'arme. Vendredi matin, nous sommes donc les seuls à nous présenter avec nos chapeaux de brousse face à plusieurs centaines de bérets rouges, nous avons d'ailleurs été mélangés dans les rangs avec les paras de notre compagnie, geste qui m'a beaucoup touché. Cérémonie poignante, les compagnies défilent sur la place les unes après les autres en chantant, le colonel du régiment prononce un discours dans lequel il mentionne notre PMP et le fait qu'il était ravi que nous ayons pu sauter deux fois. Il a poursuivi avec un volet historique : le 13 mars 1954, débutait la bataille de Diên Biên Phu, soit quasiment 70 ans jour pour jour, événement primordial dans l'histoire des régiments paras et du 1er RCP. J'ai eu des frissons lors de la levée des couleurs lorsque tout le régiment à entonné La Marseillaise, poignant. Nous avons ensuite rendu tous nos effets militaires et de literie (draps, alèse, couettes, traversin, taies), passé un dernier coup de TIG, puis les départs vers la gare se sont échelonnés selon chacun, pour ma part mon grand-père est venu me chercher directement au régiment, ce fut un beau moment familial. Voilà donc mon témoignage sur la PMP. Je m'estime extrêmement privilégié d'avoir pu y participer et d'avoir réalisé 2 sauts. J'ai eu énormément de chance et cela m'a permis de vivre l'un des moments les plus merveilleux de ma vie. Je conseille à tous les intéressés de postuler pour réaliser une PMP, tout en sachant que oui, il y a plus de chances de ne pas sauter que de sauter (j'ai entendu dire que sur les 8 dernières PMP, 2 dont la notre avaient sauté 2 fois, 1 n'a effectué qu'un saut et les 5 autres n'ont pas pu sauter, voilà pour vous donner un ordre de grandeur). Merci de m'avoir lu jusqu'ici pour les plus courageux, ce Retex est particulièrement long mais je voulais vous proposer une vision exhaustive de mon expérience. N'hésitez pas si vous avez des questions, j'y répondrai avec plaisir. Je vous donne rendez-vous le mois prochain pour le Retex de ma FMIR au 24ème RI ! Bon dimanche à tous, Raphaël
    3 points
  17. Cas typique de "brouteur"... Bannissez illico ce parasite.
    3 points
  18. Au même moment la DRHAT lance une mini-série sur l'ENSOA ... Généralement on fait un film de ce qu'on va dissoudre Clairon
    3 points
  19. J'ajouterai également que l'engagement des réservistes dans les troupes de Montagne permet de vivre également l'engagement militaire et la montagne. Les spé montagne sont aussi demandées pour les réservistes (Ils passent également quelques qualif' montagne : BASM, CEHM, voire BQTM à la marge). D'autant que certains profils plus âgés sont recrutés voire même recherchés en priorité pour la réserve compte tenu de la stabilité familiale et/ou professionnelle et des postes vacants au sein de l'unité car c'est un "investissement" sur un personnel qui sera rentable et pourront même prendre des responsabilités s'ils le désirent.
    3 points
  20. Bon cela semble se confirmer, depuis 4h sur X, la 9e BIMa informe : Exclu ! La 9e BIMa recrute, sélectionne et forme ses futurs sergents ! Tu es jeune (moins de 30 ans), tu as le bac en poche et surtout l’envie de te dépasser : rejoins nos rangs, la 9 t’attend ! Nous ferons de toi un sergent d’élite, rompu au commandement d’un groupe de combat. Affaire à suivre Clairon
    3 points
  21. Je rebondis sur la discussion et confirme ou infirme ce qui a été dit plus haut > Actuellement pour un EVAT de l'ADT (je parle pas des autres armées car il y a des fluctuations), la solde d'un soldat affecté en province est de 2084€ brut soit 1657€ net (366 points x 0.22). A cela peuvent s'ajouter les différentes primes de la NPRM (combattant para, démineurs, terrestre dont certaines se cumulent ...); dans mon exemple prenons un chasseur para de 1ère classe affecté à Tarbes (Zone 2) qui bénéficie de la prime du combattant para, sa solde sera de 2038€ net. Donc oui les armées ont fait un énorme effort de rémunération particulièrement visible sur les tranches inférieures non qualifiées; les autres grands gagnants ont été les sous-off qui bénéficient de primes spécifiques (primes pro jusqu'à 6%) cumulables avec les primes de compétences, et ... les généraux 😮 Après mef, ces primes sont imposables et peuvent rapidement devenir un cadeau empoisonné en faisant basculer dans une tranche supérieure d'impôt (et là je pense aux séjours etc).
    3 points
  22. Si le sac semble "lourd" c'est qu'il y a défaut.. Soit il a été mal rempli. Soit son porteur n'est pas à niveau. => Un sac doit toujours être adapté à la mission : tout le nécessaire, et rien de plus. Sac "d'assaut" : 6Kgs. (Munitions, eau, trousse de secours, vivres pour 24h) Sac de "vie en campagne" : 14kgs (Munitions, eau, trousse de secours, vivres pour 48h, linge de rechange, duvet, poncho, petits accessoires de vie en campagne) Sac de "patrouille profonde" : jusqu'à 45Kgs et ++. (Munitions, eau, trousse de secours, vivres à haute capacité nutritionnelle pour 1 à 15 jours/1 à 15Kgs ; ghillie, rechange minimal, duvet, outils et accessoires de cache, matériels divers d'observation et transmission..) §§§ Auxquels s'ajoute bien évidemment la répartition, au sein de la patrouille, du stick, du groupe ou de la section, les éléments d'armes collectives, leurs munitions, et tous les matériels spécifiques à certaines unités... (Dans ce registre, Hussards, Dragons, Chasseurs Alpins, Artilleurs Parachutistes et de Montagne, et Sapeurs d'Assaut sont "les mieux lestés" ! ... §§§ Bref : à chaque sac son porteur, et chaque porteur son sac !
    3 points
  23. Oui c'est birmal. Il faut vérifier que vous êtes apte à la blessure. Pour la date qui ne vous arrange pas vous pouvez appeler l'antenne médicale pour voir s'il est possible de décaler le RDV mais bon les RDV sont donnés en fonction de ce qui arrange le médecin, non de ce qui vous arrange vous, et c'est normal.
    3 points
  24. Dans ce cas là dites-vous que votre conjoint a sans doute signé un contrat comme militaire d'active pour une période d'au moins 7 ans ... Perso, c'est le genre de trucs que je discuterais avec ma femme, car en effet je pars alors pour St Cyr et puis Saumur, et après ces deux ans je peux me retrouver à Valence, Carpiagne, Tarbes ou Verdun pour au moins 3 à 4 ans avec obligation d'habiter dans le coin ... Si avant ça j'habite Dunkerque avec ma moitié, je crois qu'elle apprécierais qu'on le lui dise .... Sinon pour les 2 premières années (St Cyr & Saumur) rentrer le soir : non, le week-end : quelques'uns, du style 1 sur 2 ou 3, et parfois pas là pendant 3 ou 4 week-end d'affilé ... Avec quelques congés l'été et autour des fêtes classiques (Noël et Paques) ... Après en unité, il pourra assez vite partir en Opex pour 4 à 6 mois selon les cas ... A votre place, je crois qu'une petite conversation s'impose ... Clairon
    3 points
  25. Bonjour à tous. Le 93 RAM m'a répondu hier après-midi, voici leur réponse : Bonjour, Je vous remercie de l’intérêt que vous portez au 93 RAM. Vous semblez avoir pris en compte plusieurs aspects importants, notamment la nécessité de terminer votre formation actuelle. Quant à votre question sur la candidature à la réserve opérationnelle et les FGI-R, le plus simple est de consulter le site Internet de la réserve. Votre motivation et votre préparation devraient être des atouts pour votre parcours futur. Bonne chance dans vos démarches ! Cordialement. Ça ne répond pas vraiment à mes questions mais ça ne me met pas de frein non plus. Je vais donc candidater ce soir et je verrai où le vent m'emporte.
    3 points
  26. Ca c'est un contrat Jeux Olympiques, car on a besoin de bétail pas cher ... C'est à la limite de l'esclavage ... Clairon
    3 points
  27. Questions élémentaires, soumises à tout postulant candidat au concours du Quai d'Orsay, concernant les zones de conflit : - quelle est la situation économique des "parties en présence" ? - quel est leur situation politique interne et internationale ? - quelles "crises" ont-elles traversé ces deux/quatre/dix/vingt dernières années ? - quels sont les supposés intérêts respectifs des belligérants ? - quelle est la légitimité des leaders impliqués dans le conflit ? - quelles factions/organisations/entreprises/états, apparaissent impliqués, ouvertement ou non ? Parmi ceux-ci : - pour lesquels la voie diplomatique pourrait sembler favorable ? - pour lesquels la prolongation voire l'extension du conflit est "bénéfique" ? §§§ Canevas de base de toute formation aux Relations Internationales... Quelles sont les parties en présence ? Quelle est l'histoire ? A qui profite la crise ? ... "Vous avez deux heures"...
    3 points
  28. Elle a beaucoup d'allure ! C'est pas François ALLAIN qui la proposerait dans Vintage Mécanic ! BTX
    3 points
  29. Je ne suis pas d'avis que poutine ne comprennent que la force. Il ne faut pas oublier que les US tout particulièrement sous protection des pays de l'europe, n'ont cesser de s'approcher des frontières russes. Frontières qui était tout plein d'élément d'ultimatum de Poutine que nous avons franchis. C'est surtout le fait d'ingérence US, mais nous sommes complices de ne pas avoir cherché à entretenir de saines relations avec la Russie. Je persiste et signe, qu'avec un peu plus de compréhension et de dialogue, cette guerre n'aurai eu lieu. D'autant que les territoires de l'est sont sujet à des massacres depuis de nombreuses années, ce qui n'aide pas à résoudre ce conflit. Massacre commis de tout camp. Les fautes sont multiples et la guerre ne résoudra pas le problème de fond. Une guerre de toute façon, ne ferait que des perdants. Voilà pourquoi je suis pour une autre voie, la guerre ne peut être la solution. Pour ce qui est de Poutine, le tuer ou mettre hors de secteur ne changera rien, car il n'est pas seul aux commandes.
    3 points
  30. Bonjour, reconnaissait. Intelligence naturelle
    3 points
  31. Bonjour, dans le Forum vôtre expansivité est, peut-être, apprecié, mais faites attention à l’etaler à la Légion; les camarades qui avaient passé un’experience judiciaire on les reconnaissez pour leur silence. Bienvenu.
    3 points
  32. Ca commence bien ! Merci KALOUME ! Bienvenue à "DAGON" Comme vous l'a recommandé YANN PYROMANE, soyez vous-même si vous allez à Aubagne. Les usurpateurs, les "grandes gueules" et les affabulateurs, la Légion étrangère a le chic et l'expérience pour les détecter. Vous ne serez pas recruté au titre de cette institution pour votre simple maîtrise du français ou vos belles phrases. Le vernis va très vite sauter à Castelnaudary quand vous partagerez la chambre de 8 à la Jasse (une ferme aérée) avec Akim, Berossegavian, Borzov, Padelomar et Osotogaraï. A côté de Christian, un prêtre défroqué, et Bernard, drag queen du Marais repenti. C'est l'ONU avec les cris et la couleur. Faudra tout serrer : les dents, les poings, le ceinturon et le reste.............. BTX
    3 points
  33. Bonjour, Je vous souhaite bonne chance pour votre projet. Cependant, je trouve dommage que vous utilisiez une IA pour rédiger vos messages sur ce forum. Je pense qu'il y a une réelle richesse dans les échanges humains. Je vous encourage à mener votre projet avec détermination et authenticité. Bonne continuation, Kaloum. (PS : Avec Google comme navigateur, n'importe qui peut détecter du contenu généré par une IA. Faites-en bon usage.)
    3 points
  34. Je confirme. Je n'arrive toujours pas à savoir si vous êtes un troll ou pas, à donner tant de renseignements personnels sur un forum public, tout en prétendant vouloir travailler ... dans le renseignement. Si vraiment c'est le cas, sachez que ce n'est pas seulement votre future épouse - ou beau-papa travaillant avec la DGA - qui risquent de poser problème désormais.
    3 points
  35. Bonjour, Papamili le sait bien, parmi les troupes d’occupation les americains etaient les plus riches, les anglais les plus snob, les sovietiques les plus haïs et les français: französisches sind wunderbaren. Bienvenu.
    3 points
  36. Calvi et sa "rade"................... Les commandements à la Légion étrangère se font au clairon ou à la trompette. Le quotidien au quartier est réglé par des sonneries au milieu de la place d'armes. Le réveil, le lever des couleurs, le courrier, le rapport des punis, le déjeuner, etc. jusqu'à l'extinction des feux. Ca a l'avantage, lorsqu'on a oublié sa montre, d'éviter d'être en retard. BTX
    3 points
  37. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'en savoir plus. Avoir plus d'éléments servirait à quoi à part se faire mal? Attendre 2 ans pour divorcer c'est laisser pourrir la situation, maltraiter votre santé mentale pour un type qui n'en vaut pas la peine. Rien ne ressortira de ce séjour si ce n'est de la souffrance et les enfants sont loin d'être bêtes. Ce n'est pas en voyant leur mère en souffrance qu'ils seront heureux. Bref, quittez le et qu'il parte seul. Point barre.
    3 points
  38. Pas besoin de commenter ...
    2 points
  39. A Monsieur le général directeur des ressources humaines de l'armée de terre 14 rue Saint-Dominique 75700 Paris SP 07 Objet : candidature au recrutement en qualité d’engagé volontaire sous-officier (EVSO) de l’armée de terre. J’ai l’honneur de vous présenter ma candidature en qualité d’engagé volontaire sous-officier de l’armée de terre. Âgé de 19 ans et titulaire d’un baccalauréat général scientifique, j’ai par la suite décidé de m’orienter vers une classe préparatoire aux grandes écoles militaires au lycée militaire d’Autun en section économique. J'achève à l'été 2024 ma première année. La voie des armes représente pour moi la plus noble façon de servir mon pays. La camaraderie, l’esprit de corps et le goût de l’effort sont des valeurs que j’affectionne particulièrement et qui sont primordiales dans l’armée de terre. Elles ont pu être cultivées pendant mes années de lycée où j’ai participé à une option dite « montagne », qui m’a permis d’effectuer divers trails, randonnées et courses d’orientation dans l’espace albertvillois. La Préparation Militaire Défense effectuée avec le LMA m’a fait découvrir la rusticité et les bases de la vie de soldat. Afin de conforter ce choix, je suivrai également une Préparation Militaire Supérieure en juillet à ?????. Animé dès mon plus jeune âge par la volonté de servir mon pays, cette année passée en lycée militaire m’a permis d’approfondir mes recherches sur les métiers de l’armée de terre. J’ai pu ainsi confirmer ma volonté de m’engager. Durant ma première année, la devise du lycée « Pour la Patrie, Toujours présent » a pris tout son sens. Ce serait un honneur d'intégrer l’École Nationale des Sous-officier d’Active de Saint Maixent et de pouvoir moi aussi « m’élever par l’effort ». Je souhaite rejoindre un des deux domaines de spécialités suivants : 1. "combat de l'infanterie" 2. "génie combat". Le métier de sous-officier m’attire du fait des responsabilités qu'il endosse au quartier, sur le terrain et en OPEX, mais aussi compte tenu du lien particulier qui se créé entre le chef et son groupe. De plus, la fonction de sous-officier permet d’être au plus proche de ses hommes au combat, c’est pour moi la véritable place du chef. L'infanterie m’attire, car elle associe rusticité et technologie, et ce, dans tous les types de combat dans lesquels elle est engagée. L’aspect multitechnique du génie combat, et surtout sa mission d'appui au profit des troupes déployées au plus proche de la ligne de contact, me séduisent. Rigoureux, déterminé, enthousiaste et volontaire, je saurai me donner pleinement dans mon apprentissage des compétences indispensables à l'exercice du métier de sous-officier. Souhaitant que cette lettre retienne votre attention, je vous prie, mon général, de bien vouloir agréer l'expression de mes sentiments respectueux. Signature
    2 points
  40. Bienvenue, Avant toute chose : veillez à ce que votre "pseudo" ne reflète pas trop précisément votre véritable identité... Si c'est le cas : - copiez éventuellement votre message de présentation - supprimez votre compte - recréez un nouveau compte avec un pseudo "neutre/abscons/ésotérique/etc.." - refaites votre présentation, en restant concret mais en excluant tout indice permettant de vous identifier... §§§ Il ne s'agit pas là de"parano", mais des mesures élémentaires de discrétion qui s'imposent à tout militaire, ou aspirant à le devenir.. En toute bienveillance.
    2 points
  41. Du FEYDEAU à l'état pur ............. BTX
    2 points
  42. Oui ils te donnent une feuille de brouillon pour les problemes de maths
    2 points
  43. 10/12km par semaine ou par séance ? si c'est par semaine c'est beaucoup trop peu et si c'est par séance c'est surement trop selon ton allure. Je te suggère de faire 4 séances par semaine : 2 séances de 45-50min en endurance fondamentale (BPM en dessous de 75% de ta FCM), 1 sortie longue de 1h15-20 dont 45-50min en endurance fondamentale 15min sur une allure soutenue en finissant avec 15min recup allure légère, puis 1 séance de fractionnée celle que tu veux tant que tu la fait à fond. Apres comme Mathis a dit en 1 mois c'est compliqué de beaucoup progresser sauf en partant de zéro.
    2 points
  44. Enquête franceinfo "C'est un milieu hostile" : dans l'armée, insultes et brimades homophobes sont légion Article rédigé par Camille Adaoust France Télévisions Publié le 17/05/2018 Alexandre*, jeune militaire de l'armée de l'air interrogé par franceinfo, tente d'expliquer cette réticence à accepter la différence... "J'aimerais savoir si l'homosexualité visible peut empêcher un recrutement ou lui être un inconvénient", peut-on lire sur le forum Aumilitaire.com, qui se présente comme le "portail militaire n°1". Les réponses à l'inquiétude de ce militaire en herbe sont éloquentes. "Tu risques soit d'être mis de côté du fait de cette 'différence', soit de te faire marcher dessus", écrit un anonyme. "Je ne te cache pas que tu devras faire deux fois plus tes preuves", ajoute un autre internaute. "Pour ma part, tant que la personne ne rechigne pas à la tâche (...) et qu'elle ne me lance pas des regards vicieux dans les douches ou la chambre, il n'y a pas de soucis", conclut-il. Bonjour, je ne m’étonne pas du manque d’éthique de la presse, mais je n’arrive pas à accepter que M.me Adaoust se sert de nôtre Forum pour démontrer sa thèse sur la méchanceté de l’ambiant militaire à l’égard de l’homosexualité. Chacun de nous sait bien que dans n’emporte quel agglomérat humain-ècole,sport, militaire, travail, club de pétanque- y seront des moqueries envers les: grands, petits, minces, adipeux, bégayeux, méridionaux, septentrionaux etc. mais tout ça ne porte forcément pas les “victimes” au canapé du psychanalyste; parmi tous les “divers” l’homosexuel n’est pas le seul divers qui a besoin de tutelle. Même dans la Légion de mon époque y avait des homosexuels, mais faisaient leur boulot comme tous, n’importunaient personne et personne les importunait.
    2 points
  45. Retex de haute tenue ,bravo pour avoir franchi la porte ! debout accrochez .....😁
    2 points
  46. Fopafèrpeur... !! Sac de patrouille guyanaise en dorsal - Stihl 64 en contrepoids ventral = 0 ! ...? (Arf, peut-être pas en définitive... La physique, çà va, çà vient... )
    2 points
  47. Merci à vous, Je prends note de tout ça ! Effectivement, j'ai postulé à "Villa" car on m'a conseillé de "mettre un pied" dans le milieu pour commencer, même en commençant MDR/R et qu'ensuite à force de rencontres et d'engagement je pourrais diverses évolutions pourraient s'ouvrir. Tom
    2 points
  48. Bonjour Monsieur, Étant moi-même actuellement en seconde au PNM, je me permets de vous répondre. Tout d'abord, il n'y a pas de moyennes précises, en effet elles vont de 14-15 pour certains et jusqu'à 19-19,5 en 3ème. La priorité de la famille joue beaucoup, je n'étais pas très prioritaire mais en donnant tout j'ai été pris. Le plus dure est de subir la différence de note avec le collège, en effet j'avais moi même 18,5 au collège et je suis descendu à 16,5, pour quelques-uns cela est pire et pour d'autres rien ne change. En conclusion tout dépend de la notation du collège et des avis des professeurs ainsi que de la priorité mais avoir 16-16,5 minimum en étant du groupe 1 garanti de bonnes chances d'intégrer, l'objectif des lycées militaires n'est pas forcément d'avoir les élèves les plus intelligents mais les plus travailleurs possible.
    2 points
  49. Tatata... Voir beaucoup de nos jeunes (et moins jeunes...) ne sembler exister qu'à travers ce que leur smartphone leur délivre est certes inquiétant autant que pitoyable... Mais "Tibo in shape", et "le Major Gerald", chacun dans leur registre, alimentent sans nul doute autant de candidatures au Cirfa que toutes les campagnes de recrutement du MinArm au sein des médias... §§§ Comme le dit fort justement Clairon : nos cadets ne sont pas moins aptes à s'engager que leurs aînés, pour autant que la cause à défendre soit noble, et que leur engagement soit reconnu à sa juste valeur..
    2 points

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