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vinolien

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Tout ce qui a été posté par vinolien

  1. Pour les SNLE je crois qu'il y a une prime liée au fait qu'il y a la bombe atomique, d'une valeur de 15 euros par jours.
  2. bonjour,

    A priori, j'ai cru comprendre que certaines spécialités montaient plus vite que d'autres en grade, qu'en est il pour les mécaniciens naval ?

    merci

    1. doul59

      doul59

      Bonjour,

      tout va dépendre du côté déficitaire de certaines spé. Après je ne connais pas les mécanos.

  3. bonjour, Je sais trés bien que la formation est plus qu'intéressante, néanmoins le niveau en maths n'est peut être pas accessible a tout le monde, c'est ça en fait la vraie question.......
  4. bonjour, Difficile ? pas forcément, mais il faut réunir plusieurs conditions...... 1- qu'il y ai des places dans les sous-marins en affectation, quand tu sors de maistrance 2- que tu sois volontaire 3- que tu n'ai pas de problème médicaux particuliers Après s'il n'y a pas de place en sortie de maistrance, tu peux te porter volontaire auprès de ton bureau RH, ta demande seras prise en compte, et peut être exaucée lors de ta prochaine affectation, les volontaires ne courent pas les rues.....
  5. bonjour, Comment cela se passe en terme de déroulement de carrière pour un mécanicien, affecté dans un sous-marin, et qui refuse pour une raison X ou Y, de faire le cours d'atomicien ? merci
  6. bonjour, Avoir un diplome en relation avec les chiens est forcément un plus (dresseur canin, assistant vétérinaire), mais pas obligatoire. L'essentiel est de démontrer sa motivation a faire cette spécialité, et une bonne condition physique, car il faut courir avec le chien régulièrement.... Une bonne gestion du stress, aussi, car tu vas patrouiller en zone hostile (Mali), avec l'infanterie, et ton chien peux débusquer a tout moment un ennemi, ou une mine enterrée.... Pour avoir discuté avec des maitres chiens de l'armée de l'air, un chien sent un ennemi la nuit a 200 mètres....bon courage.
  7. bonjour,

    Quelle est la formation technique initiale idéale, pour devenir DASEM ou ILBS comme sous off. direct ?

    Est ce que un BAC pro ELEEC peut suffire ?

    merci.

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    2. vinolien

      vinolien

      bonjour,

      Merci pour la réponse, néanmoins j'ai une dernière question, durant la formation de spécialité est ce que le niveau en mathématiques et algèbre est élevé ?

      Cordialement

    3. Uffholtz

      Uffholtz

      Ah ça désolé je ne peux pas vous répondre je suis SIC ERM moi ^^ En ILBS je ne vois pas l'intérêt, peut-être en DASEM mais ils ont tellement de technologie qui doit le faire à leur place que bon!

    4. vinolien
  8. Bonjour, Quelle spécialité pourrait ètre proposé a un jeune possédant un Bac ST2S (anciennement SMS), et un diplome d'état d'infirmier obtenu dans le civil (en dehors d'infirmier en HIA)? Merci
  9. Pour étayer mes propos au dessus, cet article de la "lettre patriote"...... J’avais expliqué il y a quelques semaines à quel point l’Allemagne jouait un jeu trouble qui aurait nécessité une riposte française musclée. J’ignorais alors à quel point j’avais mis dans le mille. L’Allemagne est en fait en train de trahir purement et simplement la France. L’Allemagne est en train de détricoter l’ensemble des coopérations avec la France et joue un jeu très inquiétant sur le projet de modernisation de l’hélicoptère de combat Tigre, le Tigre Mk3, qui reste un équipement critique pour l’armée française, et sur le projet du futur avion de patrouille maritime (programme MAWS). Selon nos confrères de La Tribune, sur ces deux programmes, l’armée allemande lorgne sans état d’âme du côté des Etats-Unis, plus particulièrement du côté de Boeing : des Apache AH-64E à la place des Tigre et des P-8A Poseidon à la place du programme MAWS. Si elle confirmait ses choix américains, l’Allemagne n’en sera pas à sa première déloyauté vis-à-vis de la France (missile MAST-F, observation spatiale…) Emmanuel Macron, qui aura eu le mérite de vouloir lancer des coopérations tous azimuts dans le domaine de l’armement avec l’Allemagne, doit désormais reprendre la main avant de subir de plein fouet les décisions allemandes, ce qui serait pour la France une catastrophe.
  10. bonjour, Comment sont gérés les couples de marins (pacsés ou mariés) par la DPMM pour leur affectation embarquée ? Sont ils mis systématiquement ensemble sur le même navire, ou a contrario systématiquement séparés ?
  11. bonjour, Sans vouloir faire de politique, je crois qu'il faut cesser toute collaboration technique et militaire avec les Allemands, car eux, ils n'en ont pas envie..... Le fameux couple Franco-allemand n'existe que dans la tête des politiques Français, les Allemands sont du point de vue militaire tournés vers les USA.
  12. bonjour, Vous tapez dans la barre de recherche " SIGYCOP armée de terre tireur engin blindé " et vous aurez la réponse...
  13. J'ai la réponse (un peu tardive, mais bon), les gens du Train faisant partis de la BFA, sont en fait du BCS (bataillon de commandement et de soutien)..... Pour la petite histoire, lorsque j'étais appelé en 1977, j'étais au 1 er RIMa a Dinan, a coté du 11 ème RAMA, mais dans la caserne du 325 ème BCS, que nous appelions communément le Bataillon " choucroute-saucisses "......les relations entre nous n'étaient pas toujours au beau fixe, mais c'était une autre époque....
  14. Attention aux effets d'annonces, deux jours après la 5 ème ne part déja plus au Mali comme prévue.....le même coup que l'année dernière avec la Guyane, la 5 ème compagnie devra se contenter d'une opération sentinelle et d'un probable séjour dans le triangle des Bermudes hexagonal ( Suippes - Mourmelon - Mailly le camp ). L'exotisme n'est pas forcément au rendez vous, et beaucoup on perdus le sourire, ce qui peux se comprendre....
  15. L'armée française a testé le 21 janvier un missile guidé par un drone. Objectif: atteindre de jour comme de nuit des cibles hors de vue. LinkEUs. C'est le nom de cette nouvelle arme créée par le fabricant français MBDA. Il s'agit de l'association d'un missile de moyenne portée (MMP) et d'un mini drone afin d'atteindre de jour comme de nuit des cibles hors de vue à une distance de 5 km. Le projet, dévoilé en juillet dernier, a été testé avec succès comme le rapporte le site Opex360. L'essai effectué avec la Direction générale de l’armement [DGA] et l’armée de Terre s'est déroulé le 21 janvier au camp de Canjuers. "Le drone a permis la détection et l'identification d'un réservoir situé en dehors du champ de vision de l'opérateur MMP. Le transfert des coordonnées de la cible vers le poste de tir MMP a illustré la possibilité d'engager une cible non directement vue par l'opérateur", explique MBDA dans un communiqué. Déjà utilisé au Sahel par les militaires français (terre, marine et forces spéciales), le mini-drone utilisé est un Novadem NX70. D'un poids de seulement un kilo, il supporte la pluie et des rafales de vent jusqu'à 65 km/h. Son autonomie est de 45 minutes. Il est équipé de trois caméras. Deux sont des modèles HD pour le jour, la troisième est une caméra thermique pour la nuit. L'opérateur peut suivre une cible jusqu'à trois kilomètres de distance grâce à une liaison sécurisée. Le MMP est un missile antichar de 15 kg et d'une portée de 5 km. Il suit le drone à la trace grâce à une connexion. Le projet LinkEUs est conduit en partenariat avec les directions de l’armement et les forces armées françaises, belges et chypriotes.
  16. Information a confirmer, mais a priori, les Allemands de la société Rheinmétal, auraient réussis la même prouesse que Nexter avec des obus guidés, mais une allonge encore plus grande ce qui donnerait une portée de 80 km......
  17. Le retour d’expérience [RETEX] des actions conduites contre l’État islamique [EI ou Daesh] en Irak par le détachement française d’artillerie Wagram, doté de CAESAr [Camions équipés d’un système d’artillerie de 155 mm] a mis en évidence la nécessité de disposer d’obus guidés, afin notamment de pouvoir effectuer des tirs de contre-batterie avec une meilleure précision. En outre, de telles munitions permettent de réduire l’empreinte logistique et d’économiser le potentiel des canons. Ainsi, durant les premiers jours de l’opération visant à reprendre Mossoul, en octobre 2016, Daesh avait été capable de tirer jusqu’à 250 coups par jour avec des pièces d’artillerie récupérées dans les arsenaux irakiens et syriens, des mortiers de conception artisanale et des canons montés sur des véhicules. Aussi, faute de disposer de munitions guidées, les tirs de contre-batterie ont-ils été effectués par les forces américaines. « C’est un enseignement majeur et ça nous rapelle que nous avons le devoir d’entretenir notre capacité de contre-batterie, que nous avons, comme les Américains. Si ce n’est qu’il nous manque des munitions de précision », avait expliqué colonel Olivier Coquet, alors chef de corps du 11e Régiment d’Artillerie de Marine [RAMa], à l’époque. Et même si le CAESAr ne manque cependant pas de précision, « nous nous considérons comme une artillerie pratiquant des feux classiques alors que les Américains ont une artillerie de précision que nous n’avons pas aujourd’hui. C’est en cours de développement mais ce sont des munitions que nous attendons impatiemment », avait ajouté l’officier, lors d’une conférence donnée en 2018. De telles munitions sont en cours de développement, comme l’obus Katana, de Nexter. En juillet, les essais de cette munitions, réalisés à la soufflerie S3MA de l’Office national d’études et de recherches aérospatiales [ONERA], avaient permis d’affiner les modèles numériques, de valider sa fonction de guidage et son comportement balistique en testant différentes configurations « dans l’ensemble de vol envisagé. » Il restait donc à passer à la phase suivante, c’est à dire à des « tirs pilotés ». Ce qui a été fait le mois dernier en Suède, fait savoir Nexter, via un communiqué publié ce 19 janvier. « La munition intelligente d’artillerie KATANA a démontré avec succès sa capacité de pilotage en vol à l’occasion d’une campagne d’essais qui s’est déroulée en Suède du 7 au 11 décembre 2020. Cette réussite marque le franchissement d’un jalon décisif « , indique en effet le groupe français. « Ces tirs d’essais, réalisés depuis un canon de 155mm CAESAR sur affût, ont confirmé la manœuvrabilité de la munition. Le CAS [Canard Actuation System}, autrement dit l’ensemble des gouvernes de contrôle, s’est déployé conformément aux simulations », poursuit-il. Ce qui fait que l’obus Katana a pu « être tiré selon une trajectoire permettant d’augmenter la portée du tir par rapport à une trajectoire purement balistique. » Pour rappel, le guidage de l’obus est assuré par une hybridation entre un récepteur de signaux de géolocalisation par satellite et une unité de mesures inertielles. « La précision métrique sera ultérieurement accessible par l’ajout d’un écartomètre semi-actif laser optionnel », explique Nexter. En outre, le Katana est doté d’une fusée multi-mode programmable « pour fonctionner en proximétrie, à l’impact, ou avec un retard permettant la pénétration de la tête militaire ». Enfin, ctte munition va accroître la portée du CAESAr à 60 km. Cette campagne d’essais a donc permis de confirmer la « maîtrise de ce dispositif de pilotage de la trajectoire de l’obus, dans les conditions physiques extrêmes du tir d’artillerie de 155mm. » « Nous sommes très fiers d’avoir tenu nos ambitieux objectifs calendaires et financiers concernant le développement de KATANA. Nous envisageons l’avenir avec confiance et continuons de fournir des efforts exceptionnels pour que cette munition de 155mm – qui sera souveraine, intelligente et très précise – puisse être commercialisée dès 2023 », a commenté Dominique Guillet, directeur des Munitions du groupe Nexter. La prochaine étape consistera conduire une autre campagne d’essais, portant cette fois sur les « tirs guidés-pilotés sur coordonnées ». Elle doit avoir lieu dans le courant de l’année 2021.
  18. Deux internautes, visiblement bien informés, me font part de leurs réflexions sur le VBCI à la suite du post précédent. Elles méritent toute notre attention (souligné par nos soins) : « Jaguar » nous explique ainsi que « pendant de longues années, on a demandé aux armées de limiter les frais en opérations afin de limiter les surcoûts des opex. L’utilisation du VAB participe à cela, maintenir le VBCI nécessite des moyens supplémentaires et des infrastructures plus lourde que pour le VAB (pour la maintenance, le dépannage etc...), c’est une réalité, même si on peut remettre en question la disponibilité plus faible du VAB qui pousse à engager plus de véhicules que nécessaire pour comparer les coûts finaux. Autre réalité, le VBCI n’est pas un véhicule lambda et multi-rôle, il est un véhicule qui n’existe qu’en deux versions (avec un canon de 25mm et l’autre en poste de commandement) dédié a des unités d’infanterie.Vous n’avez pas de VBCI sanitaire, vous ne faîtes pas de la reco avec, ni de génie (d’ou les aravis) vous n’allez pas mettre des unités des régiments du train dessus pour escorter des convois. Le VBCI reste le véhicule de la compagnie d’infanterie (des régiments qui le possède et non des régiments sur VAB) engagé sur place et ne peut pas se substituer à des missions vouées au VAB et VBL (même si moins bien blindé) en utilisation dans d’autres unités. Alors le renforcement VBCI sur Barkhane, ne se fera que sur les unités d’infanterie.A part transformer un peu Barkhane en choisissant par exemple de remplacer des unités comme celle du 1er régiment de spahis qui sont déployés sur VBL/VAB (et non sur leur 10 RC, leur coeur) par des compagnies d’infanterie VBCI, on ne peut pas faire autre chose.On aura alors des unités d’infanterie qui feront de la reconnaissance.Le nombre de VBCI peut doubler Malheureusement on ne peut qu’attendre le VBMR et on ne peut pas compter sur le VBCI pour améliorer la situation dans le fond. Reste également que le terrain au Mali impose tout de même du léger et de la mobilité, même si le risque est plus grand d’avoir des pertes, pour l’objectif opérationnelle d’une reconnaissance (on ne fait pas la guerre là bas pour avoir le moins de morts possible), la mobilité d’un VBL reste avantageuse par rapport à un VBCI. Mais ce qu’il faudrait faire en priorité, ce serait de construire des routes, cela faciliterait grandement les déplacements, réduiraient la menace (car une route creusée, ça se voit), puis de faire "tourner" les équipes du génie en ouverture d’itinéraire.Aujourd’hui il ne sert à rien d’avoir un véhicule pour ouvrir un itinéraire car on roule sur des pistes ou il n’est pas simple de rester dans les "traces du premier" sur des centaines de km à 40° pendant plusieurs heures et qu’il suffit de quelques cm pour éviter ou se prendre une mine.Des routes, de belles routes reliant les principales villes, c’est ce qu’il faut pour plus de sécurité, pour plus de mobilité, pour moins de casse matériel. Concernant le coup de chaud du VBCI, en 2013, c’était surtout une problématique au niveau du moteur. Ce problème a été réglé par un nouveau dispositif de refroidissement. Pour la caméra numérique, c’est un peu pareil que pour tout le reste, c’est certain que sous 60° au soleil en période chaude, pas mal de choses ne fonctionnent pas comme ça fonctionne dans un climat tempéré, ce n’est pas un problème propre au VBCI ou aux produits de chez nous, que ce soit américain ou russe ça fera la même chose.De toute façon le thermique dans un environnement de plus de 45° cela perd de son intérêt, car l’image n’est pas formidable. Et n’oublions pas de préciser que la tourelle du VBCI ne fonctionne pas juste avec une caméra numérique, il y a une voie directe d’observation pour le tireur, la caméra numérique, également appelée MOP (moyen d’observation panoramique) c’est cette petite boule au dessus de la tourelle, sert au chef de char, un oeil supplémentaire et si ça ne fonctionne pas trop bien 3-4h par jour pendant 6 mois (période chaude) dans l’année, ça n’est pas catastrophique, on peut toujours sortir la tête et la paire de jumelle si vraiment... » close volume_off Quant à « Ronin », il estime que « le VBCI n’est pas adapté à ce type d’intervention. Envoyer des blindés de 30 tonnes, contre des pickups et quelques bandes d’irréguliers, quel bien drôle d’idée est encore passé dans la tête de nos « responsables » ? ! En plus des matériels aussi sophistiqués, à 75 000 euros le coût moyen de MCO annuel, le VBCI, on comprend que l’on veuille en limiter l’emploi. C’est à dire trois fois le coût logistique du pourtant bien, et trop vieux VAB avec ses quarante ans de service : environ 24 000 euros annuel, vu le vieillissement avancé, initialement le cout MCO du VAB était inférieur à 10 000 euros : Il faut savoir qu’au bout d’une vingtaine d’année le coût de maintien en condition des matériels et véhicules terrestres ayant tendance à exploser (jusqu’à rapidement deux, trois fois son cout initial, et avec notamment une usure trois ou quatre fois plus rapide). Un véhicule moderne actuel, d’une quinzaine de tonnes, mais nettement mieux protégé et blindé que notre pauvre VAB, dont sont bien obligé de faire avec nos soldats sur le terrain, est aux alentours de 15 000 euros annuel aujourd’hui. Véhicule qui devait être, et aurait dû être le véritable remplaçant du VAB, en devenant la nouvelle « mule bonne à tout faire » de l’armée de terre, comme cela était d’ailleurs initialement prévu (mais c’était sans « compter » sur « nos » industriels !). Malheureusement, ce n’est pas pour demain, non plus, puisqu’avec le griffon et ces 25 tonnes (et son cout) le problème sera quasiment le même, avec un MCO probablement doublé, si ce n’est encore plus comme le VBCI en vertu du niveau de sur sophistication prévu ! Le principal problème étant qu’en se focalisant encore, et désormais et de plus en plus, sur le seul secteur des blindés médians, avec pas moins de trois modèles différents d’une même catégorie de véhicules (Sur roue et de 25 tonnes, initiales pour le VBCI, et désormais pour le Griffon et la Jaguar), on risque de retrouver ce même problème, un peu partout : Trop lourd (en logistique), et trop couteux (à l’achat, à déployer, et à maintenir), pour des opération de simple maintien de la paix et de très basse intensité ; et pas assez lourd, trop léger (dans tous les sens du terme), et insuffisamment protégé et blindé pour faire de la haute intensité, et notamment les guerres de demain, dans l’urbain. Elle n’apparait, en fait que seulement et relativement, appropriée dans des situations hybrides, et très spécifiques. Et c’est pourtant dans cette seule catégorie que l’on est en train de spécialiser toute notre armée de terre, à coups de gaspillage de milliards d’euros (ne pas oublier qu’à chaque fois c’est plusieurs milliards d’euros de R&D dépensés), en plus !? ! Cela en devient même presque un luxe, au lieu de développer, simplement deux catégories de blindés, une légère, d’une quinzaine de tonnes sur roue, et une lourde, de 35 à 45 tonnes sur chenille et très fortement blindée, et protégée. Une fois de plus, on préfère faire du « moyen », voulu sans doute plus polyvalent (encore un des mythes actuels dans nos armées), et qui en fait se révèle inadapté, ceci à la fois et non seulement vers le haut du spectre, mais aussi vers le bas et dans son emploi réel ».
  19. Avoir déja une idée de ce que vous voulez faire ( combat infanterie, conducteur transport etc), puis ensuite choisir un régiment pas trop loin de chez soi...
  20. Régiment en garnison effectivement c'est le plus vieux.

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