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fisdu8

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  1. Je dois avouer que je me laissais un peu aller depuis l'entrée à la fac :blush: Mais depuis 3 ans, poussé par le pater qui ne cessait de me prédire "une bâche en sport" si je continuais à me tourner les pouces, j'ai entamé un programme de muscu incluant du footing. Avant, je ne faisais que de la natation (8 ans en club), mais ça m'a servi... Je n'ai fait qu'un seul LL, lors des tests sportifs pour l'entrée dans les pompiers volontaires, mais le mono a arrêté tout le monde au palier 5, en disant que ça suffisait. Dommage, je commençais juste à être échauffé. Je pense que je peux faire beaucoup mieux. Je fréquente une salle de sport où j'utilise un tapis programmable pour le LL, mais en courant chez les pompiers, j'ai vu la différence ! Pour les tractions, j'en fais 12 sans trop forcer, mais d'après ce que j'ai lu sur le fofo, il va falloir tout donner au CSO pour en faire le plus possible. On verra ... A+
  2. (père de fisdu8, qui squatte le forum du fiston) Bonjour, je m'immisce, comme on dit, le gamin ayant tourné les talons en laissant l'ordi ouvert ... Les régiments reçoivent un numéro à leur formation. Celle-ci remonte parfois fort loin dans le temps. Le 1er RI, par exemple, fait remonter son histoire à 1569 ! Il y eut des centaines de régiments, crées et dissous plusieurs fois au cours de leur existence. Le format des armées s'étant considérablement réduit au fil du temps, la dissolution a frappé beaucoup d'unités. Certaines ont conservé leur numéro d'origine au gré des remaniements, d'autres ont changé de numéro pour maintenir l'existence de régiments prestigieux ... Exemple : le 1er RIMa de Granville fut dissous en 1984, mais le "Premier de l'Arme" ne pouvait disparaître en tant que tel. Le 22ème RIMa d'Angoulême perdit donc son numéro et devint 1er RIMa, quittant la 15ème DI pour rejoindre la 9ème DIMa. Autre exemple : le RICM est à l'origine le Régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc. C'est l'unité la plus décorée de l'Armée Française. Elle ne pouvait disparaître. On a donc trouvé un artifice pour conserver les initiales prestigieuses en le rebaptisant "Régiment d'Infanterie et de Chars de Marine" en 1963. Après, plusieurs cas peuvent se présenter : on va garder le plus ancien, ou le plus prestigieux, ou bien encore c'est la garnison qui disparaît, et l'unité avec, s'il n'y a pas où caser le numéro. Exemple : le 23ème RIMa. Déjà dissous au retour d'Algérie en 1962, il est recréé en 64 à Maisons-Laffitte. Pour ne pas qu'il disparaisse en 1979, on donne son numéro au 1er RIAOM de Dakar en changeant juste le "R" pour le "B" de Bataillon. Le Sénégal désirant réduire la présence de troupes françaises sur son sol, le 23ème BIma a été dissous le 31 août dernier et son drapeau a rejoint les Invalides, comme celui du 24 de Perpignan, et celui du 22, qui se promena de Caylus à Nantes, pour finalement rejoindre les Invalides lui aussi ... Ton régiment est "passé entre les gouttes" depuis 1944, date de sa recréation à partir du 4ème RTS, son numéro demeure donc le seul de la série "20" à l'ordre de bataille, alors que d'autres ont disparu, ce qui fait que l'on se demande où sont passés les autres... Voilà, tu en sais un peu plus ... Cordialement, "père de fisdu8"
  3. Oh ça, je ne sais pas encore ! Mon père, ancien "colo", tente de me pousser vers l'Infanterie de Marine, mais si les choses se passent bien (ne pas vendre la peau de l'orienteur avant d'être revenu du CSO !), il y aura d'abord Coët, puis l'application ....... j'ai le temps de voir, loin des "pressions" familiales A+
  4. Bonjour, Ca y est, mon CIRFA m'a convoqué pour me remettre mon bon de transport le 2 décembre. Le 5, je dois être à Rennes pour les tests ! J'y vais avec un dossier OSC/E, on va voir ce que ça donne ... A bientôt pour le retex ! Quentin
  5. Bonjour, Finalement, sur les conseils de mon père, j'ai rappelé mon CIRFA ... Bien m'en a pris : un autre interlocuteur m'a demandé d'apporter les pièces nécessaires à l'ouverture du dossier dès que possible, ce que j'ai fait. J'ai donc postulé pour OSC/E, on verra ce que ça donnera après les résultats du CSO, à Rennes où je serai convoqué sous peu, en principe. En revanche, pour les pompiers volontaires, c'est mort ! J'ai fait l'erreur de leur parler de mon désir de devenir militaire, et on m'a fait comprendre, lors de l'entretien, qu'il n'était pas intéressant pour eux de former quelqu'un et le voir partir ailleurs ! Ils croulent sous les candidatures et ne prennent que ceux qui seront utilisables sur place ! Il m'a quand même fallu, avant l'entretien, effectuer le stage (payant...) pour l'obtention du certificat de prévention et secours civiques de niveau 1, mais bon, c'est utile également dans l'armée ... Donc, si ça marche, j'irai m'annoncer dans la rubrique adéquate ... En attendant, comme prévu, j'ai attaqué une première année "langues"(anglais) à la fac , et ai pris un abonnement dans une salle de sport, pour bénéficier d'un encadrement dans le programme de préparation que je me suis imposé. Il ya une "chaise romaine", agrès que je ne connaissais pas et avais découvert lors du visionnage du doc sur les CSO. Ce truc ne paraît pas difficile. Leur barre de tractions est un peu bizarre, avec des angles, mais ayant légèrement maigri cet été, je peux sans trop forcer réussir à en faire 15 bonnes, contre 11 avant l'été. J'espère avoir la forme qui va bien pour Rennes ! Je vous dirai ça au retour ... @+
  6. Bonjour, J'avais rendez-vous au CIRFA de Blois hier... L'adjudant recruteur, après les formalités et l'entretien, m'a fixé un rendez-vous pour ouverture de dossier, couplée avec une demande de PMS, en février prochain... + de 6 mois ! Est-ce toujours aussi long pour une simple ouverture de dossier ? Ou est-ce parce que le quota 2011 (si quota il y a...) est atteint ? Le recruteur m'a parlé essentiellement de 2 filières qui d'après lui seraient les plus intéressantes pour moi : L'ENSOA et les OSC. J'ai lu avidement les docs qu'il m'a données, et je dois avouer que les OSC, surtout OSC/E, sont tentants... Peut-on postuler aux 2 filières, pour accroître les chances d'être pris dans l'une ou dans l'autre ??? D'un autre côté, mon père dit que les OSC lui font penser aux "aspirants" de son temps, qui étaient des Officiers "consommables", vite formés et ayant peu de chance de faire une carrière longue dans l'Active. Mais bon, moi j'ai lu : 10 à 20 ans, ce qui laisse du temps pour se faire apprécier ! Qu'en pensez-vous ? @+
  7. fisdu8

    Je vais tenter l'ENSOA

    Bonjour, Nouvel inscrit sur ce forum, mais le suivant depuis un certain temps, j'essaie de me faire une idée de ce qu'il est possible de tenter en parcourant les divers posts. Mon désir de rentrer dans l'Armée est assez ancien et vient sans doute des réponses que mon père, ancien militaire, apportait à la foule de questions que je n'ai pas manqué de lui poser au fil des années. Cette vie rude et collective m'attire, je voudrais la faire mienne durant la partie "jeune" de mon existence. En seconde (2006), j'eus un premier entretien avec un ACH féminin du CIRAT de Blois. Elle me conseilla d'aller jusqu'au bac et de passer mon permis de conduire. J'ai ensuite confirmé ma volonté d'envisager une carrière mili lors de ma JAPD. Après le permis du premier coup et, en 2008, un bac S avec mention bien, mes visées, Saint-Maixentaises au départ, se portèrent du côté de l'ESM, mais, ayant passé mon bac avec une spé "bio", je me sentais un peu léger pour tenter d'intégrer une prépa mili. Ayant dans l'idée d'améliorer ma culture générale, je me suis donc inscrit en fac d'histoire avec pour but lointain de tenter les OST. J'ai validé ma licence cette année avec mention assez bien (13,8 de moyenne). Entre-temps, le contexte a changé, plus d'OST en licence, et une constatation : le nombre d'admis en master se réduit drastiquement chaque année (11 en 2011, je crois...). Avec ma veine habituelle, je sens venir le moment où, quand viendra l'heure de l'inscription (2013), cette filière sera supprimée ! Je ne peux pas tenter le concours direct car né en décembre 89, j'aurai plus de 22 ans au début de l'année du concours 2012. J'ai donc décidé d'arrêter mes études d'histoire et de tenter St Maixent, bien que les règles, une fois de plus, soient en train d'être modifiées (priorité aux EVAT en SD, ai-je cru comprendre...). Cela n'est pas pour déplaire à mon papa, ancien de la 25 ème Promotion (Tunisie 42-43), qui m'a dit : "au moins, si tu accèdes plus tard à l'épaulette, tu sauras ce qu'être Sous-Officier veut dire !" D'après ce que j'ai lu dans les différents posts, l'attente semble longue... J'ai donc prévu de me réinscrire en fac à la rentrée, mais en langues, uniquement pour améliorer mon anglais, lire quelques classiques et profiter des installations sportives. Je mettrai également à profit le temps dont je vais disposer pour effectuer une PMS. Je me suis inscrit, en attendant, comme pompier volontaire (à Tours, où est située ma fac). Pensez-vous que ces prévisions soient cohérentes ? Si quelque chose cloche ou s'apparente à un doux rêve, je compte sur vous pour me ramener à la dure réalité ! A bientôt, je me rends au CIRFA dès la semaine prochaine. Quentin
  8. Bonjour, Un peu hors sujet précis (2011), mais à titre d'élément de comparaison, j'ai demandé à mon père, qui a quitté le service en 1985, des précisions sur sa pension de retraite. Voici ce que j'ai relevé sur son livret : SCH échelle 3 16 ans, 9 mois et 26 jours de service effectif. Boni : 15 ans, 5 mois et 23 jours, dont 9 ans pour services aériens (sauts en parachute) Pension : Brut : 1074,95 € Net : 1028,74 € A+
  9. Voilà qui est clair... Espérons que cet article 319, vieux de 8 ans, évoluera sous peu ! Merci pour le lien, dont j'ai placé le contenu dans "mes documents". A+
  10. Bonjour, Je voudrais savoir si le fait d'avoir eu une myopie de croissance corrigée par une opération "Lasik" est rédhibitoire pour une éventuelle candidature OSC/P (et par la même occasion savoir quelles sont les autres portes que cela pourrait fermer...) Merci par avance.
  11. Bonjour à tous, J'ai 21 ans et je viens d'obtenir une licence d'histoire. Désireux d'entrer dans l'Armée, je viens chercher ici des réponses à mes nombreuses interrogations. Je suis fils de militaire, mais mon père a quitté l'institution il y a 25 ans et, me dit-il, il y a eu de sacrés changements depuis ! Je compte sur vos judicieux conseils ! Cordialement, Quentin

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