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  1. Bienvenue Un bel objectif que celui d'intégrer le BMPM. Courage à vous. BTX
  2. Présidée par le COMLE. C'est parfait. BTX
  3. Certes mais les mentalités étaient différentes, les politiques étaient différents, les réseaux sociaux inexistants, les médias aux ordres du pouvoir, la télévision à une chaîne en noir et blanc, les speakerines étaient souriantes et bien coiffées, il y avait le petit train de l'interlude avec le rebus en cas de "problème technique indépendant de notre volonté", il y avait Cognacq Jay à qui on rendait l'antenne, il y avait "Cinq colonnes à la une", "les coulisses de l'exploit", etc. Il y avait le tout jeune YANN PYROMANE et le non moins tout jeune WAYNES 54. Maintenant on a Cyril HANOUNA, la Méluche, Panot Panée, Pascal Proute, Secret Story, Whatsapp, TikTok, les Drag queens, bref un vrai merdier. BTX
  4. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/04/21/reaper-block-5-de-l-armee-de-l-air-et-de-l-espace-sont-enfin-24577.html Dans le dernier numéro d’Air Actualités mars 2024, n° 767), l’armée de l'Air et de l'Espace indique que l’ingénieur général de l’armement Olivier Borde, délégataire de l’autorité technique pour l’aéronautique de l’État, a signé le 25 janvier dernier la "certification de type de la version 2408 du MQ-9 Reaper". Ce certificat valide la capacité technique du Reaper à voler au-dessus du territoire national en toute sécurité dans sa nouvelle version logicielle 2408. "La signature de cette certification ponctue une étape très importante dans le processus d’intégration du drone Reaper [block 5] dans l’espace aérien français", souligne l’AAE. Cette certification a été obtenue à la suite d’un vol d’essai conduit sous la responsabilité de la DGA et de trois autres vols réalisés par le Centre d’expertise aérienne militaire de Mont-de-Marsan. Par ailleurs, la délivrance de ce certificat de type par la DGA va permettre l’homogénéisation de la flotte Reaper et l’emport de nouvelles charges utiles comme le pod électromagnétique, le missile Hellfire et la bombe GBU-49", indique l’AAE.
  5. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/04/24/cession-d-armement-francais-a-des-etats-etrangers-le-plafond-passe-de-750-a.html Lu dans le JO de ce 24 avril, le texte d'un arrêté du 17 avril 2024 pris pour l'application du 8° de l'article L. 3212-2 du code général de la propriété des personnes publiques. Cet arrêté stipule que: "Par dérogation à l'arrêté du 27 février 2018 susvisé, le plafond annuel de la valeur des biens meubles cédés à titre gratuit par le ministère des armées au profit d'Etats étrangers, mentionné au 8° de l'article L. 3212-2 du code général de la propriété des personnes publiques, est fixé à 650 000 000 euros (six cent cinquante millions d'euros), au titre de l'année 2024." L'arrêté du 27 février 2018 pris pour l'application du 8° de l'article L. 3212-2 du code général de la propriété des personnes publiques précisait que le plafond annuel de la valeur des biens meubles cédés à titre gratuit par le ministère de la défense au profit d'Etats étrangers, était fixé à 50 000 000 euros (cinquante millions d'euros). Mais pour que d'importantes cessions de "biens meubles" à Kiev soient possibles ("sont meubles par leur nature les biens qui peuvent se transporter d'un lieu à un autre", comme le précise l'article 528 du Code civil" qui porte donc entre autres sur des véhicules terrestres, des armes et munitions, des drones etc.,) le plafond a été réhaussé par rapport à celui de 2018. Il a été porté - à 300 millions d'euros pour 2022 - à 750 pour 2023. La baisse pour 2024 s'explique par le changement de la posture française: moins de cessions, davantage d'achats directs par Kiev auprès des équipementiers français grâce au fonds spécial de 300 millions d'euros.
  6. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/04/22/le-2e-rmat-24582.html A vos agendas: les 24 et 25 mai, le 2e régiment du matériel ouvrent ses portes, d'abord aux scolaires puis au grand public. Le 24 est aussi annoncé un événement sportif au profit des blessés de l'armée de Terre Un livre sur le 2e RMAT L'annonce de ces portes ouvertes me donne l'occasion de parler d'un ouvrage récent consacré aux régiments et bases du matériel. Paru aux éditions Pierre de Taillac, il a été rédigé par Guillaume Malkani et Antoine-Louis de Prémonville. Ayant longtemps été un service, le Matériel n’est devenu une arme qu’en 1976. Cependant, les maintenanciers existent depuis toujours : des fusiliers du roi sous Louis XIV au train d’Artillerie de Napoléon, de la Résistance aux débarquements alliés, ou encore du djebel algérien aux rizières indochinoises… Puis ce fut le Golfe, l’ex-Yougoslavie, l’Afghanistan ou encore le Sahel. Régiments et bases du matériel, éditions Pierre de Taillac, 128 pages, 26,90 €.
  7. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/04/23/jo2024-pour-heberger-5000-militaires-l-economat-des-armees-b-24585.html Pour héberger 5000 soldats, l'Economat des Armées bâtit le camp Alain-Mimoun La construction d'un camp militaire aux portes de Paris pour 5 000 soldats participant à la sécurisation des JO, commencera "dans les prochains jours" sur la pelouse de Reuilly. Cette dizaine d'hectares en lisière du bois de Vincennes dans l'est parisien, accueille chaque année de nombreuses manifestations comme la foire du Trône, qui a quitté les lieux le 22 avril. "Nous n'avons jamais fait cela depuis la Deuxième guerre mondiale", a déclaré le commissaire général Philippe Pourqué, directeur général de l'Economat des armées, qualifiant l'opération de "gageure". Le plus gros camp monté ces dernières années a été celui de Gao au Mali, où jusque 2.000 hommes ont été déployés dans une vaste zone désertique, dans le cadre de l'opération antijihadiste Barkhane close en 2022. "Là, on part de zéro dans un espace contraint. On doit construire en deux mois un camp de la taille du salon du Bourget (le plus grand salon aéronautique du monde, ndr) qui est normalement monté en six mois sur un terrain que l'on connaît", a expliqué le commissaire général. Les équipes ont commencé des "travaux de nivellement du terrain" et seront mobilisées 24h sur 24, 7 jours sur 7, pour livrer le camp le 3 juillet, avec une arrivée progressive des soldats dès le lendemain. Un des défis de la conception du camp, baptisé du nom de l'athlète militaire Alain Mimoun (1921-2013), a été de fondre les installations dans le paysage, à une distance d'au moins deux mètres des arbres qui entourent la zone, à la demande des services du patrimoine et de l'environnement. Le camp, qui sera clôturé, comportera des hébergements climatisés, des sanitaires raccordés au réseau parisien, un restaurant et des espaces de loisirs comme une salle de musculation.
  8. https://www.forcesoperations.com/une-commande-globale-de-plfs-et-vlfs-actee-par-les-armees/ Le ministère des Armées a acté l’acquisition des dernières tranches de poids lourds et véhicules légers pour forces spéciales (PLFS/VLFS), une opération réalisée en 2023 au profit d’Arquus mais jusqu’à présent restée sous les radars. Exit les tranches annuelles, place à une « commande globale » pour faire progresser le programme « véhicules forces spéciales » (VFS), effort lancé en 2015 pour remotoriser les unités du Commandement des opérations spéciales (COS) et de la 11e brigade parachutiste (11e BP). Une manoeuvre parmi d’autres mises en lumière par le projet de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes pour 2023. Notifiée « tardivement dans l’année », cette commande pour 96 PLFS et 136 VLFS résulte de la fusion des tranches planifiées de 2022 à 2024. De quoi atteindre dès à présent les cibles à terminaison de 151 PLFS et 206 VLFS, deux parcs rabotés en cours de route du fait de l’acquisition d’autres véhicules hors programme. Ce regroupement, le ministère des Armées l’explique par « une recherche d’optimisation industrielle et financière du programme ». En résulte une hausse de près de 100 M€ des engagements en 2023, mais aussi un regain de visibilité pour les équipes du site limougeaud d’Arquus et la possibilité d’optimiser les commandes de pièces. Le sujet VFS subit cependant les aléas rencontrés dans la chaîne d’approvisionnement « à cause du contexte géopolitique ». Aucun des cinq VLFS et PLFS prévus l’an dernier n’a pu être livré. La réception du premier VLFS est désormais reportée à décembre prochain. Le déploiement dans les forces du PLFS « Grizzly », tous standards confondus, a quant à lui déjà démarré. Non prévue à l’origine, la réorientation de certains véhicules vers les régiments de la 11e BP s’est matérialisée à l’occasion du défilé militaire du 14 juillet. Premier bénéficiaire, le 1er régiment de hussards parachutistes avait alors descendu les Champs-Élysées au volant de trois exemplaires. Troisième volet du programme, la livraison de fardiers et de leurs remorques accuse elle aussi des retards justifiés par des « difficultés d’approvisionnement de certains composants ». Seuls 48 fardiers et six remorques auront pu être perçus sur les 60 et 34 exemplaires attendus.
  9. Si vous saviez ce que le jury de pré-sélection des dossiers de candidature au recrutement sur titres à l'ESM voit passer en termes de "BAC+5", vous seriez très surpris. BAC+5 filatures nantaises pour coiffe bigoudène BAC+5 opérateur-monteur cinématographe BAC+5 pilote de péniche, etc. BAC+5 psy...............vous avez toutes vos chances. Ce n'est pas le contenant qui compte, c'est le contenu. BTX
  10. Bienvenue Je suis Le Taulier et je m'appelle Le Grain. Perso, mais c'est par expérience, je choisirais l'infanterie. Qui, en dépit de ce que claironne le CEMAT, demeure à jamais la "reine des batailles". J'ai rarement vu un artilleur prendre le contact avec l'hostile qu'il a devant lui. Ou bien, pour l'artilleur, ça sent le sapin. Chacun son job. BTX
  11. https://www.opex360.com/2024/04/23/selon-la-cour-des-comptes-le-ministere-des-armees-est-celui-qui-a-perdu-le-plus-de-postes-en-2023/ Dans son dernier rapport sur le budget de l’État en 2023, la Cour des comptes a pointé de « multiples anomalies » ayant affecté la gestion des crédits allouées au ministère des Armées. « Anomalies » qui ont par ailleurs contribué à « réduire l’information du Parlement ». Ainsi, note le rapport, de « nombreux crédits ont fait l’objet de reports depuis 2022 et vers 2024 ». Par exemple, s’agissant du programme 178 « Préparation et emploi des forces », 2 milliards d’euros d’autorisations d’engagement ont été reportés à l’exercice 2024, en raison de « marchés de maintien en condition opérationnelle [MCO] dont la préparation connaît des difficultés »… Ce qui représente 7,4 % des ressources budgétaires de la loi de finances intiale [LFI]. Autre exemple : la Cour des comptes a peu goûté le fait que des crédits de paiement d’un montant de 1,6 milliard d’euros aient été l’objet « d’un gel immédiat » pour ensuite être reportés à 2024. En outre, l’enveloppe de 200 millions d’euros destinée au « fonds spécial pour l’équipement de l’Ukraine », votée en loi de finances rectificative pour 2022 puis « en loi de finances de fin de gestion pour 2023 avec l’objectif de les reporter respectivement aux exercices 2023 et 2024, plutôt qu’en lois de finances initiales pour ces exercices, constitue une autre entorse au principe d’annualité des crédits », a-t-elle relevé. Enfin, s’agissant la loi de finances de fin de gestion pour 2023, qui a ouvert 2,6 milliards d’euros d’autorisations d’engagement et 2,3 milliards d’euros de crédits de paiement, aurait permis de couvrir des « dépenses nouvelles à hauteur de 3,3 milliards d’autorisations d’engagement et de 3 milliards de crédits de paiement » ainsi que l’annulation de dépenses mises en réserve pour 700 millions d’autorisations d’engagement et 700 autres millions de crédits de paiement. Parmi ces nouvelles dépenses, la Cour des comptes a relevé les surcoûts afférents au soutien à l’Ukraine « sous toutes ses formes » [déploiements militaires renforcés sur le flanc oriental de l’Otan , financement direct ou indirect de cessions d’équipement], un surcoût des opérations extérieures [pour 200 millions de plus par rapport à l’enveloppe initialement prévue] et les hausses du coût des carburants opérationnels à hauteur de 300 millions. « L’ouverture de certains crédits, par cette loi, a été très tardive par rapport au fait générateur qui leur est associé : les déploiements militaires sur le flanc Est de l’Otan, soit 600 millions d’euros, connaissaient leur forme actuelle dès la préparation de la loi de finances initiale, à la mi-2022. Il en va de même pour les coûts du carburant opérationnel qui n’ont pas été ajustés, alors qu’ils avaient déjà occasionné un besoin de financement supplémentaire en 2022 », expliquent les magistrats de la rue Cambon. Ceux-ci ont également pointé l’allocation de 1,5 milliard d’euros supplémentaires à la mission Défense, dans le cadre de la préparation de la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30. « En l’absence d’une loi de finances rectificative déposée en même temps que le projet de LPM, les évolutions des dépenses correspondantes ont donné lieu à un suivi spécifique pendant la majeure partie de l’exercice et ont contribuéà contraindre son exécution », soulignent-ils. Or, selon eux, de telles « pratiques semblent motivées par la volonté de présenter en loi de finances initiale des ouvertures de crédits conformes ‘à l’euro près’ à la programmation militaire ». Mais elles ont surtout « contribué à l’analyse de l’exécution budgétaire pour 2023 et à réduire l’information du Parlement ». Sur ce point, le rapport déplore le fait que plusieurs indicateurs budgétaires – comme les reports de charge ou les restes à payer – ne soient plus communiqués aux parlementaires, qui, là encore, ne peuvent pas exercer leur mission de contrôle de manière efficace. Même chose pour les indicateurs mesurant l’activité opérationnelle, mis sous le boisseau pour des « raisons de confidentialité ». Pour la Cour des comptes, leur « réduit significativement l’intérêt de la partie ‘performance' » des « publications budgétaires pour le Parlement ». Au-delà de ces pratiques comptables, le rapport a point une autre anomalie… Alors que, en 2023, le ministère des Armées devait créer un peu plus de 1500 postes, il en a finalement perdu… alors que les dépenses de personnel de l’ensemble des structrures de l’État ont augmenté de 6 milliards d’euros [hors pensions], en partie à cause de l’augmentation de 1,5 % de la valeur du point d’indice, mais aussi et surtout au recrutement de nouveaux agents. « Conformément aux priorités gouvernementales, les missions régaliennes devaient être fortement renforcées avec des effectifs en hausse au sein des ministères de l’Intérieur [+ 2978 ‘équivalents temps plein’ sur un effectif de 296’097 emplois], de la justice [+ 2253 ETP sur un effectif total de 92’753 emplois] et des Armées [+ 1500 dans le seul champ du ministère, hors service industriel de l’aéronautique », rappelle la Cour des comptes. Si les ministères de l’Intérieur et de la Justice ont respecté leurs schémas d’emplois respectifs, ce n’est pas le cas de celui des Armées. « Alors que le ministère des Armées prévoyait 1547 créations nettes de postes en LFI, l’année 2023 s’est finalement conclue par une baisse de – 2 515 ETP, s’imposant comme le premier ministère contributeur à la baisse des effectifs, contrairement à ce qui était prévu. À l’inverse, alors que la LFI prévoyait une création nette de 2000 postes au ministère de l’éducation nationale, ses effectifs ont crû de 6027 emplois en 2023, soit un écart au schéma d’emplois présenté en LFI 2023 de 4027 ETP », constate la Cour des comptes. Pourtant, la « dynamique » des recrutements a été soutenue en 2023, avec « 27’164 entrées nouvelles externes ». Mais elle a toutefois été inférieure aux objectifs du ministère des Armées [avec un déficit de 1813 ETP]. Et cela d’autant plus que le rythme des départs n’a pas faibli, avec 25’309 « sorties » en 2023 qui sont venues s’ajouter aux 24’957 départs constatés en 2022. « Les départs sont à leur plus haut niveau depuis 2017 », note le rapport. En particulier chez les sous-officiers et les militaires du rang. Photo : Ministère des armées
  12. Si vous avez été déclaré "apte TAP", je vous souhaite -selon votre rang de sortie au terme des six mois de formation - de pouvoir choisir le 17e RGP ou le 6e RG. BTX

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