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Tout ce qui a été posté par BTX

  1. Bienvenue à Oberhoffen. C'est une magnifique région peu connue. BTX
  2. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/03/26/haiti-24512.html Les ressortissants français les plus vulnérables qui ont souhaité quitter Haïti avec l'aide du gouvernement français ont pu rejoindre un bâtiment de la marine nationale qui va les transporter "prochainement" à Fort-de-France. Quelque 1 100 Français, dont un grand nombre de binationaux, vivent en Haïti, selon les chiffres du Quai d'Orsay (photo EMA). L'opération française a été réalisé à partir du porte-hélicoptères amphibie Tonnerre qui était dans la zone dans le cadre de la mission Jeanne d'arc. Pour rappel, du 12 au 15 mars, composé du porte-hélicoptères amphibie Tonnerre et de la Frégate de type La Fayette Guépratte, le groupe Jeanne d’Arc 24 a réalisé à Fort-de-France une escale technique durant laquelle des opérations logistiques et de ravitaillement ont été conduites. Plusieurs autres pays ont annoncé l'évacuation de ressortissants, dont les Etats-Unis et l'Allemagne. Pour sa part, le Canada a affrété des hélicoptères pour évacuer ses premiers ressortissants installés en Haïti après que les liaisons aériennes commerciales avec Port-au-Prince ont été coupées. Dans l'immédiat, 30 Canadiens ont demandé de l'aide du gouvernement pour quitter ce pays des Caraïbes en urgence. Au total, environ 3 000 Canadiens se trouvent en Haïti.
  3. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/03/25/la-marine-recrute-a-paris-les-29-et-30-mars-2024-a-paris-le-24508.html La Marine nationale, en partenariat avec la Ville de Paris, organise les vendredi 29 et samedi 30 mars, son premier forum des métiers de la Marine à Paris. Ce temps fort de recrutement est destiné aux 16-30 ans qui souhaitent donner du sens à leur future carrière en vivant une aventure humaine et professionnelle, ou qui sont prêts à se reconvertir et mettre en pratique leurs connaissances au profit de notre pays et des océans. La Marine organise ces deux journées de rencontres et d’échanges avec des marins au sein du "Quartier Jeunes", le QG des jeunes à Paris, situé 4 place du Louvre, Paris 1er. Ces deux journées seront rythmées par des ateliers thématiques, des conférences et des tables rondes sur les différentes forces et unités (navires, sous-marins, avions…) qui composent la Marine nationale, des animations et des échanges avec des marins de spécialités et de parcours différents. Sous-marinier, cuisinier embarqué, contrôleur aérien ou encore marin-pompier, tous seront disponibles pour répondre aux questions des visiteurs et présenter les nombreuses opportunités de carrière et de formation offertes dans la Marine nationale. Pratique: Lieux : QJ - Quartier Jeunes - 4, place du Louvre, 75001 Paris RER : Châtelet Les Halles RER A, B, D Métro : Louvre-Rivoli Ligne 1, Châtelet les halles Ligne 1, 4, 7, 11, 14 A retrouver sur : www.lamarinerecrute.fr/la-marine-recrute-a-paris
  4. Publié le 22/03 à 21h34 par AFP Violences et humiliations gratuites, harcèlement... quatorze jeunes hommes jugés pour désertion, vendredi devant la chambre militaire du tribunal correctionnel de Bordeaux, ont fait part de leurs désillusions au sein de l'armée. Les prévenus, tous âgés d'une vingtaine d'années et la plupart célibataires, l'ont quittée unilatéralement avant la fin de leur engagement, qui devait durer cinq à huit ans. Tous, à l'exception d'une relaxe et d'une dispense de peine, ont été condamnés à deux mois prison avec sursis, conformément aux réquisitions, pour "désertion à l'intérieur en temps de paix", fait passible de trois ans d'emprisonnement. La moitié d'entre eux ont évoqué des "violences", des "humiliations gratuites" ou des faits de harcèlement imputés à leurs supérieurs. "On recevait des coups de matraques télescopiques dans le ventre... Au début, je me disais que c'était pour nous endurcir mais à force, j'ai vu que ça leur faisait plaisir, ils se marraient", a témoigné l'un d'eux, la voix chevrotante. Il a dénoncé "une croix gammée", taillée sur sa nuque "pour faire rire" tandis qu'on lui rasait les cheveux, et "la consommation excessive d'alcool et de drogues", y compris "au volant en mission", qui l'a "dégoûté" de ses deux années passées au sein du 1er régiment des hussards parachutistes à Tarbes (Hautes-Pyrénées). "Est-ce qu'il devait continuer à accepter ces comportements racistes, sexistes, antisémites, ces méthodes parfaitement archaïques?", a lancé son avocat, Me Thibault Laforcade. - "Loi du silence" - Un autre, resté huit mois dans ce même régiment à l'âge de 19 ans, a raconté, en pleurs, l'obligation de "boire de l'huile" ou d'être "nu dans les couloir" pour se faire "claquer les fesses avant d'aller dormir". "Tout cela sans raison", ajoute le jeune homme qui avait demandé rapidement à quitter l'armée - le tribunal l'a relaxé. Pour justifier leur départ, trois autres prévenus ont évoqué des "comportements racistes" ou des cas de "harcèlement", comme cette mention "gros porc" inscrite "chaque jour sur le tableau de la section" à l'encontre d'un camarade corpulent. "Quand il a déserté, on m'a dit: tu seras le prochain", a dit l'un d'eux. La procureure Lydie Reiss a relevé "des éléments d'une gravité certaine mais peu étayés", si ce n'est "par deux ou trois photos" de bleus, sans visage identifiable. Les anciens militaires ont invoqué "la peur de représailles" et "la loi du silence" pour expliquer qu'ils n'ont rien dénoncé à l'époque, ni consulté de médecins. "Faut-il que mon client aille jusqu'à se suicider?" pour qu'on le croie, a lancé l'avocate d'un prévenu, Me Aline Charles. - "Piégé" - Aujourd'hui mécanicien, livreur, apprenti couvreur, vendeur, paysagiste, tous se sont reconvertis, gagnant 700 à 1.600 euros par mois. Pour rompre "légalement" leur contrat, plusieurs affirment avoir adressé une demande écrite, avec promesse d'embauche, comme le veut procédure. Sans jamais recevoir de réponse, selon eux, avec "le sentiment d'être piégé". Comme cet ancien engagé, déployé sur l'opération Barkhane en Afrique ou en Nouvelle-Calédonie, décoré et promis à une carrière de sous-officier, qui dit avoir "perdu pied" quand son père est mort "après quatre ans de maladie". "J'ai réalisé que je n'avais jamais été là. J'ai demandé à partir, j'ai fourni une promesse d'embauche, et là, il n'y a plus du tout eu de dialogue". "On ne peut pas leur reprocher de faire des désertions, si la procédure qui leur est ouverte est un droit impossible à mettre en œuvre", a plaidé son avocate, Me Louise Durin. D'autres ont évoqué des blessures physiques, mal ou non prises en compte par leurs supérieurs à leur retour, ou tout simplement fatales à leurs ambitions. Un Guyanais de 24 ans qui avait, "depuis très jeune", le "rêve" de "rejoindre les forces spéciales", a souffert d'une rupture des ligaments croisés au régiment d'infanterie de Brive-la-Gaillarde: "Je me suis senti affaibli. Je ne me voyais pas être un fardeau pour mon régiment". Il est alors parti, ce qui lui a valu d'être condamné vendredi. Aucun représentant de l'armée de Terre n'assistait à l'audience. Sollicité par l'AFP au sujet du nombre annuel de désertions, le ministère des Armées a répondu qu'il ne communiquait pas sur le sujet. En 2017, près de 900 avaient été recensées dans l'armée de Terre, selon un porte-parole qui avait alors évoqué un taux "stable au fil du temps". https://www.rtl.be/actu/monde/france/violences-harcelement-et-reve-brise-des-deserteurs-de-larmee-face-la-justice/2024-03-22/article/651172#post_1268129754
  5. https://www.opex360.com/2024/03/25/drh-du-ministere-des-armees-il-faut-repondre-a-des-demandes-sociales-en-decalage-avec-le-metier-de-militaire/ Les difficultés auxquelles est confronté le 126e Régiment d’Infanterie [RI] de Brive sont probablement les mêmes que connaissent d’autres unités de l’armée de Terre du même type. Une seule expression peut les résumer, à en croire un reportage de M, le magazine du quotidien Le Monde : « faire rentrer des carrés dans des ronds ». Telle est la mission du lieutenant-colonel « Hugues », son chef des opérations. « Aujourd’hui, par exemple, j’ai de quoi motoriser deux compagnies, mais il se trouve qu’on en a cinq… », a-t-il confié au magazine, en évoquant les équipements « réellement disponibles » pour « maintenir à niveau » des troupes. Quant aux munitions, il s’agit de gérer la pénurie, avec la possibilité de tirer seulement trois missiles antichars Akeron MP tous les deux ans pour l’entraînement des vingt-quatre tireurs spécialisés du régiment. « Concrètement, il y a donc 90 % de chance pour que leur premier tir en conditions réelles se fasse en opération », a résumé l’officier. D’autant plus que le 126e RI doit trouver 200 à 225 recrues par an pour compenser les départs, 70% des militaires du rang ne renouvelant pas leur contrat au bout de cinq années de service. Or, en 2023, l’armée de Terre a connu un « trou d’air » en matière de recrutement, avec environ 2000 postes qui n’ont pas pu être pourvus. Qui plus est, le taux de sélectivité [c’est à dire le nombre de candidats pour un poste] ne cesse de diminuer depuis plusieurs années, notamment pour les sous-officiers et les militaires du rang. Enfin, un nombre de départs trop important peut avoir des conséquences tant au niveau budgétaire qu’opérationnel, étant donné qu’il faut mobiliser des ressources pour la formation des recrues et pallier la perte de savoir-faire et d’expérience. D’où le plan « Fidélisation 360 », dont les grandes lignes ont été dévoilées par Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, le 18 mars. Comme l’a expliqué Thibaut de Vanssay de Blavous, le directeur des ressources humaines du ministère des Armées, l’objectif est « d’agir sur la durée moyenne de service des militaires » afin, notamment, de rendre plus « soutenables » les « ambitions d’embauches ». Et cela pour quatre raisons : il s’agit d’améliorer le taux de sélectivité des sous-officiers et des militaires du rang, de maintenir la « cohérence » des unités en faisant en sorte que l’ancienneté et l’expérience soient « harmonieusement réparties », de « rentabiliser » les compétences et l’expertise acquises durant des années de préparation et d’emploi opérationnels et de faciliter la transmission non seulement de savoir-faire mais aussi du « savoir-être ». « Garder le personnel plus longtemps rentabilise l’expertise qu’il a acquise pendant ses années de préparation et d’emplois opérationnels. La réussite, par exemple, d’un ravitaillement de nuit avec des jumelles nocturnes dépend principalement de l’ancienneté et de l’entraînement du soldat. En laissant ces personnes partir, nous nous privons de capacités de savoir-être et d’une cohérence au sein des unités », a en effet soutenu M. Vanssay de Blavous, lors du dernier point de presse du ministère des Armées. Seulement, comme l’a souligné un officier du 126e RI dans les pages de l’hebdomadaire du journal Le Monde, « On a un défi de conquête des effectifs, il y a souvent un choc de la militarité »… Ce point a aussi été relevé par M. de Vanssay de Blavous. « Notre mission aujourd’hui consiste à répondre à des demandes sociales de plus en plus en décalage avec le métier de militaire », a-t-il dit. Cela demanderait sans doute quelques éclaircissements… S’agit-il d’adapter la condition militaire aux évolutions sociales ou de faire l’inverse ? Quoi qu’il en soit, pour le DRH du ministère des Armées, la « fidélisation à 360° n’est pas un énième plan d’amélioration de la condition militaire. Ce n’est pas non plus un énième plan de revalorisation salariale. C’est vraiment une mobilisation générale et pas uniquement des spécialistes des ressources humaines ». Et elle « doit embarquer l’intégralité de ceux qui sont en service au ministère des Armées », a-t-il conclu.
  6. J'ai surligné en gras ce qu'il ne faut pas mettre. Ni la formule de politesse ni l'objet de la lettre ne conviennent. Prenez ce que j'ai écrit. BTX
  7. A Monsieur le général directeur des ressources humaines de l'armée de terre 14 rue Saint-Dominique 75700 Paris SP 07 Objet : candidature au recrutement en qualité d’engagé volontaire sous-officier (EVSO) de l’armée de terre. J’ai l’honneur de vous présenter ma candidature en qualité d’engagé volontaire sous-officier de l’armée de terre. Âgé de 19 ans et titulaire d’un baccalauréat général scientifique, j’ai par la suite décidé de m’orienter vers une classe préparatoire aux grandes écoles militaires au lycée militaire d’Autun en section économique. J'achève à l'été 2024 ma première année. La voie des armes représente pour moi la plus noble façon de servir mon pays. La camaraderie, l’esprit de corps et le goût de l’effort sont des valeurs que j’affectionne particulièrement et qui sont primordiales dans l’armée de terre. Elles ont pu être cultivées pendant mes années de lycée où j’ai participé à une option dite « montagne », qui m’a permis d’effectuer divers trails, randonnées et courses d’orientation dans l’espace albertvillois. La Préparation Militaire Défense effectuée avec le LMA m’a fait découvrir la rusticité et les bases de la vie de soldat. Afin de conforter ce choix, je suivrai également une Préparation Militaire Supérieure en juillet à ?????. Animé dès mon plus jeune âge par la volonté de servir mon pays, cette année passée en lycée militaire m’a permis d’approfondir mes recherches sur les métiers de l’armée de terre. J’ai pu ainsi confirmer ma volonté de m’engager. Durant ma première année, la devise du lycée « Pour la Patrie, Toujours présent » a pris tout son sens. Ce serait un honneur d'intégrer l’École Nationale des Sous-officier d’Active de Saint Maixent et de pouvoir moi aussi « m’élever par l’effort ». Je souhaite rejoindre un des deux domaines de spécialités suivants : 1. "combat de l'infanterie" 2. "génie combat". Le métier de sous-officier m’attire du fait des responsabilités qu'il endosse au quartier, sur le terrain et en OPEX, mais aussi compte tenu du lien particulier qui se créé entre le chef et son groupe. De plus, la fonction de sous-officier permet d’être au plus proche de ses hommes au combat, c’est pour moi la véritable place du chef. L'infanterie m’attire, car elle associe rusticité et technologie, et ce, dans tous les types de combat dans lesquels elle est engagée. L’aspect multitechnique du génie combat, et surtout sa mission d'appui au profit des troupes déployées au plus proche de la ligne de contact, me séduisent. Rigoureux, déterminé, enthousiaste et volontaire, je saurai me donner pleinement dans mon apprentissage des compétences indispensables à l'exercice du métier de sous-officier. Souhaitant que cette lettre retienne votre attention, je vous prie, mon général, de bien vouloir agréer l'expression de mes sentiments respectueux. Signature
  8. Bienvenue Avec un pareil pseudo, l'attirance du renseignement est légitime BTX
  9. Bienvenue Vous ne préservez pas votre anonymat en dévoilant vos prénom et patronyme (si ce le sont). https://certifpro.francecompetences.fr › api › dow... PDF Vous pouvez consulter ici le RNCP Service-Public.fr https://www.service-public.fr › particuliers › vosdroits BTX
  10. Bienvenue Et merci pour cette présentation. Tellement rare de nos jours et tellement compliquée pour certains "mous du bulbe". BTX
  11. https://www.forcesoperations.com/knds-va-installer-une-filiale-en-ukraine/ Le groupe franco-allemand KNDS installera des activités de soutien et de production en territoire ukrainien, un projet annoncé vendredi dernier par les ministre de la Défense français et allemand, Sébastien Lecornu et Boris Pistorius. C’est l’autre point de convergence présenté le 22 mars à Berlin par les deux ministres : « l’importance de développer et d’installer des capacités de production en Ukraine ». Un pas déjà franchi par d’autres industriels du secteur et qui se justifie par le besoin de rapprocher le soutien logistique et la production de matériels critiques du front tenu par l’Ukraine. Épaulé par Berlin et Paris, KNDS créera une filiale chargée d’agréger l’ensemble des projets conduits par ses entités françaises et allemandes sur le sol ukrainien, explique le cabinet du ministre des Armées. L’initiative, jusqu’à présent non détaillée par l’industriel, se concentrera sur le soutien logistique et la fabrication de pièces détachées et de munitions. À terme, elle pourrait s’étendre à la production de systèmes d’armes complets. Issu du rapprochement de Nexter et KMW, KNDS produit notamment les canons automoteurs CAESAR et PzH 2000, le lance-roquettes multiple MARS II, le blindé anti-aérien Gepard et les engins blindés AMX 10 RC et Dingo II. Autant de systèmes cédés à l’Ukraine et dont la maintenance peut relever du hub installé fin 2022 en Slovaquie par le groupe franco-allemand, site qui doit initialement rester opérationnel jusque fin 2024. De même, plusieurs pistes sont possibles pour le segment des munitions. L’obus d’artillerie de 155 mm, bien sûr, mais aussi celui de 105 mm nécessaire à l’AMX 10 RC ou encore les munitions de 120 mm tirées par les mortiers tractés donnés par la France et l’Italie. Et le portfolio de la division munitionnaire de KNDS s’étend bien au-delà de ces trois exemples. « L’objectif sera de produire ce qui sera le plus utile aux Ukrainiens », pointe l’équipe ministérielle. À commencer par les pièces qui s’usent ou se cassent rapidement afin d’éviter toute paralysie prolongée des systèmes. Ce pourra être des éléments de structure sur le châssis du CAESAR, commente un entourage ministériel privilégiant la prudence, les discussions étant toujours en cours. Plusieurs modalités s’offrent à KNDS. La construction d’usines « en dur » et en propre en est une, l’adossement à un partenaire local via des coentreprises ou de la production sous licence en est une autre. La manoeuvre n’est par ailleurs pas dépourvue de risques. Ces futurs sites constituent en effet autant de cibles prioritaires pour un adversaire doté d’un éventail de capacités de frappes dans la profondeur. La menace est donc « prise en compte dans la façon dont cela va se faire ». Présenté comme « très important », l’effort est aussi « une déclinaison concrète des sujets qui ont été discutés le 26 février à l’Élysée », siège d’une conférence de soutien à l’Ukraine à laquelle ont participé 28 pays. Ce projet « emblématique » de l’axe franco-allemand demandera néanmoins un peu de patience. « Il y a des groupes de travail qui sont en cours pour préciser les choses », mais la volonté reste bien d’aboutir dès 2024, assure le ministère français. Crédits image : 37e brigade d’infanterie navale des forces armées ukrainiennes
  12. https://www.lepoint.fr/monde/l-ukraine-refuge-inattendu-des-leaders-de-daech-en-exil-21-11-2019-2348881_24.php#11 Interessant même si cela date de .............2019. BTX
  13. Le mieux serait de recueillir l'avis de vos parents qui, ils sont si proches de vous, ira dans votre sens. Il est rare dans ce contexte que des parents aillent à l'encontre du souhait de leur progéniture. En clair, dénoncer votre contrat et laisser tomber la réserve. Vous n'êtes pas fait pour le métier des armes. Et remettez vous sans perte de temps aux études. BTX
  14. J'ai comme un vague préssentiment que Le GRAIN ne sera pas du tout content de votre "présentation". Vous risquez l'éjection. BTX
  15. Bienvenue Il est basé où le 2e REP ? BTX
  16. Vous auriez pu insérer cette vidéo dans le post traitant déjà cette thématique. BTX https://aumilitaire.com/communaute/topic/57406-fidélisation-à-360-degrés-le-ministère-travaille-sur-lattractivité-pour-augmenter-la-durée-moyenne-de-service/?do=findComment&comment=493367
  17. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/03/24/l-etat-islamique-revendique-l-attentat-la-russie-s-en-tient-24507.html Ce serait cocasse si 133 personnes n’avaient pas perdu la vie dans l’attaque terroriste de vendredi soir à Moscou (AFP PHOTO / Moskva News Agency ). Tout à sa version des faits et des responsabilités, le Kremlin n’en finit pas d’affirmer que derrière cette attaque meurtrière contre une soft target se cache la main de Kiev. C’était le scénario affiché par les autorités russes dès vendredi soir ; c’est toujours le même, avec Vladimir Poutine et ses sbires sécuritaires qui tordent le cou aux faits et à la revendication de l’État islamique (EI). Le président russe a ainsi promis samedi de "punir" les responsables de l’attaque sans mentionner la revendication du groupe jihadiste. En revanche, il a affirmé que "tous les quatre auteurs" de l’attaque avaient été arrêtés alors qu’"ils se dirigeaient vers l’Ukraine où, selon des données préliminaires (des enquêteurs), une fenêtre avait été préparée pour qu’ils franchissent la frontière". Le FSB (services spéciaux russes) a renchéri, assurant que les suspects avaient des "contacts appropriés du côté ukrainien" et comptaient fuir dans ce pays. L’EI revendique et persiste Dès vendredi soir, le groupe État islamique a revendiqué la fusillade, dans un message publié sur la plateforme Telegram. Il a réitéré ses déclarations, samedi, en les accompagnant d’une vidéo d’une minute et 31 secondes diffusée sur un compte Telegram considéré comme appartenant à Amaq, l’organe de communication de l’EI. La vidéo montre l’un des tireurs ouvrant le feu sur plusieurs personnes alors qu’il pénètre visiblement dans la salle de concert. La revendication de l’EI a été confirmée par Washington qui, début mars, avait mis en garde ses ressortissants contre un risque d’attaque à Moscou. La porte-parole du conseil de sécurité nationale de la Maison blanche, Adrienne Watson, a affirmé que l’EI est le seul responsable de l’attaque et que l’Ukraine n’est aucunement impliquée. "La revendication est venue par les canaux officiels de l’État Islamique. Il n’y a aucun doute sur la responsabilité de Daesh", estime le journaliste Wassim Nasr, le spécialiste des mouvements terroristes islamistes. Un prétexte ? Comment comprendre cet entêtement russe ? Le Premier ministre polonais Donald Tusk a dit samedi espérer que cette attaque ne deviendra pas "un prétexte" à une "escalade de la violence" dans une claire allusion à l’Ukraine. Si ces accusations russes ne légitiment pas une telle "escalade", elles pourraient servir pour légitimer une nouvelle mobilisation en vue d’une offensive majeure. "L’attentat peut-il quand même être saisi comme une aubaine pour surfer sur l’angoisse de la population ?", s’interroge ainsi la spécialiste de la Russie Anna Colin Lebedev. "Évidemment. Si le Kremlin veut effectivement lancer une nouvelle phase de mobilisation et durcir encore le verrouillage interne, l’attentat crée un contexte très propice". On se souviendra que le ministère russe de la Défense a très récemment annoncé la création de 14 nouvelles divisions (de 10 000 à 15 000 hommes chacune) d’ici à la fin de 2024 : d’où la probabilité d’une mobilisation générale pour répondre aux besoins de chair à canon.
  18. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/03/24/journee-nationale-des-pmm-2024-l-esprit-d-equipage-au-coeur-24506.html Hier samedi a eu lieu la deuxième "journée nationale des préparations militaires marine (PMM)". Dans le contexte des prochaines commémorations du 80e anniversaire de la Libération, cette édition 2024 s’est déroulée autour du thème "L’engagement pour la liberté". Pour l'occasion ont été réunies à Cherbourg les PMM "Dumont d’Urville" de Cherbourg et "Amiral Hamelin" de Caen-Epron. La journée a débuté par une cérémonie des couleurs sur le site de l’Ecole des spécialités du commissariat des armées (ESCA) de Querqueville. Pour le premier temps fort de la journée, des olympiades mémorielles, un temps d’accueil a permis de former les équipes mélangeant stagiaires des deux PMM et délégations de leurs unités marraines respectives. Pour l’occasion, chacun des sportifs a revêtu un tee-shirt du Bleuet de France, offert par l’établissement du service national et de la jeunesse de la zone Nord-Ouest (ESNJ-NO). A chaque épreuve des olympiades encadrées par les moniteurs sportifs de la Marine, les équipes ont dû répondre à des questions concernant la Marine nationale et le débarquement de 1944 en Normandie. Durant l’après-midi, le groupe s’est déplacé vers la Cité de la mer. Le VAE Marc Véran, commandant l’arrondissement maritime de la Manche et de la mer du Nord, a procédé à la lecture de l’ordre du jour établi par le CEMM, puis a prononcé une allocution pour marquer cette journée spéciale.

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