akhalhenri

C'est vrai que ça peut décevoir, mais ça présente plusieurs avantages non négligeables. La disponibilité des cadres durant 100% de la formation. Ils ne partaient pas à 18h le soir et étaient présents les week-ends. Un suivi un peu plus "personnalisé". En comparaison avec des camarades qui étaient à l'ENSOA, j'ai eu l'impression que nos cadres pouvaient se défaire un peu plus du calendrier de la formation pour passer plus ou moins de temps sur des formations spécifiques en fonction de notre niveau. Donc c'est tout de même à relativiser !

je conclus cette épisode à j+365 de la blessure. J'ai au final été opéré par le SSA en janvier, ça m'a permis de retrouver mes aptitudes plus rapidement (fin août dernier). mon ESR n'a pas été résilié et on a même adapté ma participation aux activités pour que je puisse continuer à être présent régulièrement (tâches administratives, passage d'une section de combat à la section de commandement...)

normalement pour le genou il ne devrait pas y avoir de problème. Juste tu ne pourras jamais prétendre à devenir para. Mais normalement une blessure opérée, bien remise et sans douleur ne pose aucun problème à la visite médicale de l'engagement.

Salut, je réponds avec un peu de retard mais je te conseille vivement de te faire opérer. Les médecins du SSA qui m'ont soigné pour cette blessure m'ont confirmé qu'ils ne prennent pas de candidats n'ayant pas été opérés d'une rupture du LCA. Profite du fait que tu sois en 1ère année de CPGE pour te faire opérer, bien te remettre sur pieds et passer le concours avec toutes les chances de le réussir. Tant sur le plan intellectuel que sportif et médical. Après concernant l'aptitude TAP, tu ne l'auras malheureusement jamais. Toute blessure reconnue au niveau du genou entraîne par défaut un passage à minima à "I2" sur le SYGICOP. En revanche I2 ne ferme pas la porte à l'infanterie ou toute autre arme...

Oui ! le SOA d'active était impressionné par la manière dont l'ENSOA a réussi à compiler 8 mois de formation en 3 semaines. Le résultat final n'est pas le même cela dit... Et concernant les armes on avait tout de même des AT4 (déjà utilisés 😬)

Bonjour à tous, Voici mon retex "à froid" de la FGR-1 effectuée cet été. J'espère que le retex pourra être utile aux éventuels futurs stagiaires. Petit avertissement : pour notre FGR-1, nous n'étions pas à l'ENSOA mais en "section délocalisée" dans un CFIM à une centaine de km. Avant la formation : La note de service (envoyée 2-3 semaines avant le début du stage) ne comprend pas de PATRACDR. A ce niveau de responsabilité, on estime qu'il est normal de savoir ce qu'on emporte pour 3 semaines de formation dont au moins 10 jours sur le terrain. Pour ma part j'avais constitué mon paquetage de la sorte : - 2 treillis félin - 1 treillis PO - 2 ubas (indispensable pour le terrain en été) - 5 tshirt coyotte - 2 tshirt de sport - tenue de sport "rénovée" - kway - 2 paires de haix/lowa (perso, perçu, les cadres s'en foutent complétement) - 1 paire de chaussures de sport - effets ISTC et combat (bab, lunettes gants...) - bache, tendeurs, duvet été - gilet de combat perso (à ne pas oublier pour éviter de se retrouver en gilet tta) - ceinturon/holster perso (toute le terrain se fait en double dotation pamac/famas donc impératif) - les petits plus : lingettes, kit nettoyage armement, trousse de secours... La FGR-1 est une formation de trois semaines très exigeante intellectuellement et physiquement, il est nécessaire de s'entrainer auparavant pour éviter l'échec. Personnellement je me suis préparé de la sorte : - intellectuel : revoir les cours de FGI, de CME et de CTE. Revoir les bases de chef de trinôme ainsi que les actes élémentaire et actes réflexes du combattant. L'encadrement ne laissera pas passer qu'un futur sous-officier semi-direct ne connaisse pas ça. - physique : course, tractions, renforcement musculaire. Il ne s'agit pas d'une sélection FS mais un minimum de condition physique est nécessaire pour ne pas mal être noté. Important : des tests de CCPM comme la natation se sont déroulés et on fait partie de la note finale. - pratique : dans les mois qui précédent la participation à la FGR-1 il est important de venir au régiment pour pratiquer le tir (tir PA pour ceux qui ne serait pas encore familier avec la MOAL PA), les mises en situation sur le terrain et autres activités comme le TIOR, C4... La formation : Semaine 1 : Arrivée au CFIM (moyens perso ou mis à disposition par le régiment d'origine). Rencontre avec les autres stagiaires. Nous sommes une trentaine de stagiaire et venons tous de différents régiments et différentes armes. Il y avait quelques CCH, un majorité de CPL et deux 1ere CL. L'encadrement est composé de 1 CDS (réserviste, ancien d'active), 1 SOA (actif), 2 CDG (1 actif et 1 réserviste). Cet encadrement était régulièrement renforcé par des cadres du CFIM ou de l'ENSOA qui venait pour des cours particuliers. La première partie de la semaine (de J0 à J+3) se déroule au CFIM. Nous avons le droit à de nombreux cours théorique sur le C3T. Cours qui se concentrent sur la reprise des bases C3T puis le rôle du chef du groupe et du groupe dans la section. Ces cours sont entrecoupés de séances de sport : footing, renfo musculaire, CCPM natation... A J+3 nous partons pour un premier terrain à 30min de route du CFIM Premier terrain : Des l'arrivée sur place, nous sommes mis dans le vif du sujet. On commence par une journée de formation au combat AZUR. On voit d'abord le niveau individuel, puis chef d'équipe et enfin chef de groupe. A la fin de la journée nous avons le droit à une mise en situation avec la mission de s'emparer d'une rue. Première mise en pratique des acquis théorique et pratiques des derniers jours. Le premier terrain dure 6 jours au cours des quels nous sommes régulièrement mis en situation en tant que chef de groupe. Nous avons majoritairement du combat, du sport, des trans, de la topo, marches de nuit... Vers le 5e jour de terrain nous nous somme rendus à l'ENSOA afin de valider notre tir PA sur PAMAC 50 et PAMAS. Je conseille aux personnes qui s'apprêtent à passer cette formation de s'entraîner à la MOAL avant, la nôtre n'ayant duré que très peu de temps. Ça serait dommage de faire échec à la formation en raison d'un tir PA raté. La fin du terrain est marquée par un léger repas cohésion (surtout des fruits car les rations en pleine canicule, c'est pas drôle) et une marche d'une 15e de kms vers le CFIM. Deuxième semaine : La deuxième semaine est marquée encore une fois par de nombreux cours théoriques. Cependant ceux si sont plus spécifiques : pédagogie, vie en campagne, carrière du sous-officier et du militaire du rang... Nous devons également retravailler des acquis comme la topo, les trans, NRBC car l'évaluation théorique finale arrive rapidement. Comme la précédente période au CFIM, ces cours sont entrecoupés par des périodes de sport : PO individuel et en groupe, footing... Les nerfs sont mis à rude épreuve : pour toute personne qui n'est pas très scolaire, l'enchaînement des cours et des périodes de révisions fait rapidement saturer. Nous nous entrainons également à rédiger de nombreux SMEPP (ordre préparatoire à la mission du chef de groupe) à partir de nombreux OI (ordres initiaux du chef de section). Cet exercice plus fastidieux qu'il n'en a l'air nous donne l'occasion de combiner nos acquis théoriques des cours aux acquis pratiques du terrain. La fin de semaine est marquée par l'évaluation théorique finale sous forme de QCM (sans points négatif). Les domaines abordés sont les suivants : C3T, secourisme, topo, trans, code du soldat, pédagogie (à ne surtout pas négliger), NRBC, droits et devoirs du soldat... Et c'est ainsi que se termine cette "merveilleuse semaine" de boulot théorique et d'évaluations au CFIM. 2e terrain : Le deuxième terrain, plus court (3 jours), se trouve cependant être le plus intense. L'encadrement doit nous faire valider plusieurs modules ISTC arme longue (B, C, D nuit) et nous évaluer lors de différentes mise en situation sur notre rôle de chef de groupe. Après plusieurs jours de théorique et de courtes nuits, les stagiaires sont mis à rude épreuve : - combat (forêt + azur) - marches de nuits avec moyens réduit (sans carte avec seulement croquis topographique réalisé au préalable dans un temps limité) - restitution topo ou trans voire NRBC - journée et début de nuit ISTC avec pas mal de problèmes d'armement (c'est ça de racler les fonds de tiroir du CFIM pour armer une section de réservistes...) Durant ce dernier terrain, en tant que stagiaire sous-off nous sommes évalués sur notre capacité à rédiger un SMEPP et le transmettre à son groupe, donner des cadres d'ordre clairs, gérer son stress et son groupe dans des situations compliquées, faire preuve de résilience morale et physique. L'encadrement est particulièrement vigilant sur ce dernier point et n'a pas hésité à sanctionner les stagiaires qui "se laissaient un peu trop mourir"... Fin du stage : La fin du stage a été marquée par un très gros nettoyage armement (c'est pas parce qu'elles ne fonctionnent plus qu'il ne faut pas les nettoyer...), une initiation à la piste commando du CFIM et bien évidemment la fameuse cérémonie de remise des gratons de sergent bien mérités ! Conclusion : De ce stage je tiens à noter plusieurs points particuliers : - c'est une super formation pour un militaire de réserve qui souhaite gagner en compétences et s'investir encore plus dans son unité d'origine. On en sort grandi et avec un grand nombre de savoir faires acquis en très peu de temps. - Je ne recommande toutefois pas à quelqu'un qui a très peu de réserve (- de 2 ans) ou de motivation de la faire. On sent très rapidement le manque d'expérience de ceux qui n'ont jamais eu la fonction de chef d'équipe ou qui ne l'ont pas beaucoup pratiqué. Si on est pas motivé, on subit la manip de A à Z. Il y a eu un échec sur la formation comme ça. - Le stage peut se réaliser avec une blessure. Malgré le fait qu'il y ait beaucoup de sport et de manips "physiques", il est possible de réaliser le stage et de bien se classer avec des restrictions physiques. Nous étions quelques uns à avoir eu une opération chirurgicale (+4 mois post-op du genou pour ma part) et en compensant avec le théorique, en étant impeccable dans la vie de tous les jours et en assurant niveau combat on a réussi à bien se classer dans la section. Ce n'est donc pas impossible mais il faut être irréprochable sur le reste et ne pas se servir de la blessure comme une excuse pour être nul. - j'ai personnellement beaucoup apprécié la mixité de l'encadrement (active-réserve). Ça permet d'avoir de nombreux RETEX sur la réalité du combat (plusieurs des encadrant avaient déjà "connu le feu"), de prendre du recul sur certaines situations et d'abandonner certains tics d'apparence ou de travail que les réservistes ont beaucoup. C'est également très valorisant de voir que les actifs sont sortis ravis d'avoir pu encadrer des réservistes et d'avoir pu changer d'avis sur notre manière de travailler. Je recommande donc à tout réserviste qui se sent prêt à être sous-officier et à assumer (dans un premier temps !) la fonction de chef de groupe à postuler pour ce stage. On y apprend beaucoup et on sait qu'on va pouvoir faire bénéficier notre compagnie de réserve de tous ces acquis ! Merci de m'avoir lu, en espérant que ce petit RETEX puisse être utile à tous. Désolé pour les coquilles d'orthographe qui peuvent être présentes dans le texte !

Au delà des questions techniques concernant la possibilité d'arriver directement en tant que caporal, je ne recommande pas forcément cette option. La vie en unité (même de réserve) est vraiment différente de ce qu'on peut trouver en PMS. Autant faire une FMIR et découvrir ton unité progressivement. D'autant plus que si tu as effectué une PMS et que tu possèdes des qualités qui feront de toi un bon chef, tu seras rapidement amené à faire un CAME ou un CATE pour passer caporal.

Normalement 1 an après l'opération, l'inaptitude i3 est enlevée (si tout va bien) et je passe i2 ce qui m'autorise à passer le concours comme prévu. Je ne pourrais juste pas prétendre à servir dans une unité parachutiste. La question est de savoir si je peux continuer à servir dans ma compagnie en ayant i3. Mais visiblement d'après BTX ce ne serait pas le cas...

Bonjour à tous, Le mois dernier je me suis blessé au genou et le verdict est rapidement tombé : rupture du ligament croisé. Au dela de la durée de convalescence, je voulais obtenir plus d'informations sur la suite. En effet je suis réserviste dans l'armée de terre depuis quelques années et ma VMP se déroulera en juin. D'après le chirurgien (militaire) que j'ai rencontré, j'obtiendrai un i 3 au SYGICOP. je sais que cela est une inaptitude à l'engagement mais est-ce une inaptitude au service lorsqu'on est déjà engagé ? Merci pour vos réponses !

Sapeurs de marine de réserve* ! 😁

J'en profite également pour ajouter cet article du code de la défense qui peut être utile pour les étudiants ayant des problèmes avec leur faculté concernant les jours qu'ils peuvent "prendre". Selon l’article L4211-7 du code de la défense, « aucun établissement ou organisme de formation public ou privé ne peut prendre de mesure préjudiciable à l’accomplissement normal du cursus de formation entrepris par un étudiant ou un stagiaire en raison des absences qui résultent soit d’une activité au titre d’un engagement à servir dans la réserve opérationnelle, soit d’un appel ou d’un rappel des personnes soumises à l’obligation de disponibilité ».

salut Kilhawk, il est plutôt simple de s'investir de manière régulière dans son unité de réserve sans pour autant mettre en péril ses études. Il faut en revanche pas mal d'organisation. Voici quelques conseils tirés de mon expérience personnelle : - définir ses priorités dès le début. Ton engagement dans la réserve doit être honoré mais ton devoir d'état reste la réussite de tes études. Il faut ne jamais les négliger et savoir les faire passer avant les activités de réserve. - ne pas enchaîner les activités. Eviter de cumuler des activités de réserve durant tous les WE d'un mois. Tu vas prendre du retard sur ton travail universitaire. - ne pas hésiter à "sacrifier" ses vacances pour effectuer des jours de réserve. C'est la meilleure solution même si ça implique parfois de revenir en cours fatigué. Les vacances d'été sont notamment un bon moment pour s'investir dans ton unité (gardes, sentinelle, CAME/CATE...) - mettre au courant ton administration et tes professeurs. Personnellement, étant plutôt sérieux, mon directeur de filière m'a plusieurs fois autorisé à "louper" des jours de cours pour participer à une activité, à condition de rattraper en amont ou en aval le travail demandé. - Ne pas considérer la distance entre ta ville d'étude et ton régiment comme un obstacle ! Comme dit plus haut, il existe des régiments à moins de 2 heures de Paris en TGV (trajet payé par l'armée!). De plus, tu peux très bien mettre à profit ce temps de voyage pour avancer sur ton travail personnel. Je pense qu'il ne faut pas hésiter plus longtemps ! Se présenter avec une expérience dans la réserve est un véritable plus pour le concours OST. De plus, ça te permet d'obtenir une première expérience opérationnelle (CUIRASSE, SENTINELLE), des réflexes et une solide culture militaire ! Bonne réflexion, et si tu as d'autres question sur comment cumuler la réserve et les études je suis disponible en MP ! Akhal

Bonjour à tous, je me demandais si les réservistes pouvaient percevoir une tenue TDF et si oui quelle est la procédure pour en faire la demande. merci

Bonjour, j'avais quelques amis dans ton cas, intéressés par le milieu mais "prisonniers" de leur crainte. Ce que je peux te conseiller c'est de faire une PMT (Préparation Militaire Terre). Ca dure 5 jours et ça te donne un bref aperçu de ce qu'est la vie militaire. Dans ton cas ça pourra t'aider à voir si tu peux surmonter ton anxiété dans différentes situation relatives au métier des armes. L'avantage c'est qu'une PMT ne t'engage à rien donc tu ne "piques" pas de place.

suis je le seul à m'interroger sur la "récompense" qu'ont eu les 4 premiers ? Perso j'ai fini major de ma FMIR et je n'ai pas entendu parler d'une éventuelle possibilité de finir 1ère classe. Est ce que ça dépend des régiments ou de l'encadrement ? Merci ! Sinon bravo pour ta FMIR et bon courage pour la suite

Cette phrase illustre l'originalité de ce retex, un des meilleurs que j'ai lu ici. Merci pour tout ces conseils et astuces qui vont bien m'aider en octobre.

Bonjour à tous, je viens d'avoir mon conseiller du CIRFA au téléphone, il me confirme que les PMS et les PM en général sont suspendues jusqu'à nouvel ordre. Cependant il a précisé que les responsables pouvaient revenir sur cette décision si la situation sanitaire le permet. J'espère avoir pu éclaircir quelques un d'entre vous.

Effectivement c'est peut être une bonne idée que de passer ce concours, à ce stade là de mes études je n'ai rien à perdre, je vais considérer sérieusement cette option. Merci du conseil!

Merci Pierre, effectivement mon objectif est le parcours OST mais si j'échoue à ce concours, à ce moment la je me redigerai vers OSC/E avec tout de même un master en poche. Et il me semble malheuresement que le concours de Cyr après la L3 n'existe plus... du moins pour l'instant.

Merci beaucoup de ce remaniement BTX ! Je vais m'en inspirer et prendre les changements en compte.

Bonjour à tous, J'ai pour projet d'effectuer une PMS l'été 2020 et l'adjudant en charge de mon dossier m'a demandé de rédiger une lettre de motivation. J'ai réalisé un premier jet et j'aurais besoin de quelques conseils et critiques (constructives bien sûr!) afin d'améliorer ma lettre et ainsi de maximiser mes chances d'être accepté. N'hésitez pas à me signaler des erreurs, des incohérences voir des fautes d'orthographe ! Merci d'avance, Henri A. A La Roche-sur-Yon le 15 novembre 2019 Objet : candidature à la Préparation Militaire Supérieure de l’armée de terre. Monsieur le commandant du CIRFA, En première année de Science-Politique à l’***, je souhaite m’orienter vers le métier d’officier de l’armée de terre dans l’infanterie, c’est pourquoi je souhaite effectuer une Préparation Militaire Supérieure cet été. Fils de militaire, j’ai toujours eu un attrait pour le métier des armes et plus particulièrement pour le rôle de chef. C’est après une Préparation Militaire Terre effectuée au 40ème régiment d’Artillerie à Suippes que j’ai décidé de faire de cet attrait une vocation. En effet, l’envie de servir un jour mon pays en qualité de militaire et de chef représente pour moi plus qu’un simple projet. C’est aujourd’hui l’un de mes plus profond désir et une réelle motivation pour avancer dans mes études. Effectuer une PMS à ce stade de mon parcours me semble indispensable de manière à me mettre à l’épreuve dans un milieu avec des futurs camarades probablement plus âgés. Elle est également nécessaire afin de me faire une idée plus précise de ce que représentent les rôles de chefs de trinôme, de groupe et de section en espérant exercer ces fonctions à l’avenir dans la réserve. Sportif accompli, j’entretiens ma forme physique par le biais de plusieurs disciplines telles que le Rugby au niveau universitaire, la course à pieds dans différents environnements ou encore quelques fois par ans le ski de randonnée. Le panel d’activité et d’épreuves physiques de la PMS me réjouis et me semble tout à fait abordable pour quelqu’un de ma sorte. Je possède également certains atouts tels que la rusticité ou alors ma capacité de réflexion et d’action dans des situations à risque qui peuvent se présenter comme des véritables avantages lors d’une PMS. Enfin, cette Préparation Militaire Terre me permettra de mieux intégrer des valeurs propre à l’armée de terre telles que l’abnégation, le dévouement, le courage et l’honneur. Dans l’attente de votre décision, je vous prie d’agréer monsieur le commandant du CIRFA mes salutations respectueuses. Henri A.

Bonjour à tous, Je suis Akhalhenri, actuellement en première année de licence de Science Politique j'ai 18 ans et je souhaite préparer mon parcours pour intégrer St-Cyr avec le concours OST ou la voie OSC-E. Je me suis inscrit sur ce forum pour obtenir de l'aide et des informations sur la PMS Terre, la réserve, les EOR et l'évolution des concours pour St-Cyr. J'ai déjà effectué une PMT au 40 RA il y a un an. Cordialement, Henri A.