Selon la sous-direction, "pas assez compétitif parce que les autres candidats de cette année ont fait des stages à l'étranger ou en France". Sur ce point, je ne peux que répéter ce que ma conseillère m'a elle même répétée. Je suppose qu'elle parlait dans le cadre des études. Pour ce qui est de mes études, oui je suis bien actuellement à l'université Paris IV Sorbonne en M1 "Armées, guerres et sécurité", mais j'ai eu ma licence d'histoire à Limoges.
Pour ce qui est de mon parcours bac et post bac, j'ai eu un bac S mention Bien, une année de CPGE validé mention Bien, ma licence d'histoire mention assez bien et je valide mon premier semestre à la Sorbonne avec 14.53 de moyenne. J'ai bien conscience qu'il y a des candidats qui sont bien meilleurs que moi, mais j'estime, peut-être à tort, ne pas être le pire candidat qui n'ait jamais voulu se présenter au concours. Je peux envoyer mon CV en MP si ça peut aider à comprendre le pourquoi du comment.
C'est bien ce que je pensais suite à vos commentaires et à ce que j'ai pu glané sur internet, mais ma conseillère m'a clairement fait comprendre que soit je faisais une PMS pour préparer un dossier OSC-E/S, soit elle ne m'inscrivait pas, parce que justement la sous-direction lui a dit que mon dossier ne passerait pas pour OST, donc inutile de faire une PMS. De ce fait, elle refuse de m'inscrire pour le concours OST 2022.
En gros, PMS pour préparer OSC-E/S ou rien, OST étant déjà mort pour moi. Ce que je ne comprends pas d'ailleurs, c'est qu'il y a un mois quand j'avais demandé pour une PMS, on m'avait assuré qu'il n'y avait pas de problème pour les places, presque une formalité, et aujourd'hui on me dit que "les places sont chères et pas sûr de pouvoir la faire".
Je ne connais pas trop les OSC, mais j'ai vu qu'en étant OSC-E, on pouvait depuis peu quand même préparer le concours de l'Ecole de Guerre, donc à voir.
Je ne comprends pas très bien non plus, entre ce que l'officier m'a conseillé de faire et ce que vous me dites, et la version de ma conseillère et de la sous-direction, il y a un monde d'écart.