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9 mois de prison pour le matelot qui a frappé son supérieur


Messages recommandés

Sur le Charles de Gaulle, en opérations dans l’océan indien, un matelot de 22 ans avait le 22 décembre dernier frappé violemment son supérieur.

Extrait de La Provence du 23 janvier 2014.

site http://www.laprovence.com/

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Il est donc impossible, en dehors de la sanction prononcée par la section du tribunal correctionnel aux affaires militaires (9 mois de réclusion, un an était requis), d'avoir d'autres détails sur l'événement en question.

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Dans son édition abonnés du 23 janvier 2014, le journal La Provence rapporte que le matelot a été rapatrié prématurément en France où, après 20 jours d’arrêts à Toulon, il a été cité à comparaitre devant la chambre militaire du tribunal correctionnel de Marseille. Le parquet avait requis un an de prison ferme. Il a finalement été condamné à 9 mois de prison.

Ya Rab Yeshua.

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Oui, je sais.

Mais ce qui serait intéressant (encore que?) c'est d'en connaître les détails et de savoir ce qui a amené ce matelot (je ne reviens évidemment pas sur la chose jugée) à frapper un supérieur.

Pour une fois, on va se plaindre que la rubrique "faits divers" ne soit pas documentée: quel est le "profil" de ce type, en quelles circonstances a-t-il commis cet acte inadmissible, bref, toutes informations susceptibles d'éclairer le lecteur sur ce fait sans doute inhabituel et l'amener à comprendre (si faire se peut) ce qui s'est passé.

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Qu'est-ce qui a fait que le marin puisse en arriver là ?

Est-ce que l'Officier ne l'a pas poussé à bout ?

J'ai toujours été contre les violences physiques, par contre, j'étais pour les "menaces" verbales sans témoins, exemple :

Version sobre :

- "Vous savez mon Adjudant, en OPEX, on a pas que des amis, va falloir faire très attention."

Version plus corsée :

- "Vous savez mon Adjudant, en OPEX la nuit, il faut faire très attention, il suffit d'un jour qui ne soit pas fait comme un autre ... une patrouille ... une nuit noire ... un bruit suspect ... un claquement de ferraille ... une sentinelle stressée, affolée, sous tension et boum, un tir de 9 mm claque dans la nuit ... vous savez mon Adjudant, une balle de 9 mm c'est petit, ça se colle partout, faites bien attention."

Vous sortez ce genre de phrases dans le bureau du sous-off, pas de témoins, personne dans les alentours ...

:D

Modifié par L'Artilleur

"Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte).

- Civil

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Qu'est-ce qui a fait que le marin puisse en arriver là ?

Est-ce que l'Officier ne l'a pas poussé à bout ?

J'ai toujours été contre les violences physiques, par contre, j'étais pour les "menaces" verbales sans témoins, exemple :

Version sobre :

- "Vous savez mon Adjudant, en OPEX, on a pas que des amis, va falloir faire très attention."

Version plus corsée :

- "Vous savez mon Adjudant, en OPEX la nuit, il faut faire très attention, il suffit d'un jour qui ne soit pas fait comme un autre ... une patrouille ... une nuit noire ... un bruit suspect ... un claquement de ferraille ... une sentinelle stressée, affolée, sous tension et boum, un tir de 9 mm claque dans la nuit ... vous savez mon Adjudant, une balle de 9 mm c'est petit, ça se colle partout, faites bien attention."

Vous sortez ce genre de phrases dans le bureau du sous-off, pas de témoins, personne dans les alentours ...

:D

Tu m'aurais dit un truc dans ce genre il y a 40 ans, tu n'aurais pas eu le temps de sortir du bureau et mangerais encore de la soupe avec une paille aujourd'hui..... et très liquide la soupe !!!!!!!!!!!!!!!!!! et ça c'est la version soft .......

Modifié par ROYCO

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)

 

Celui qui abandonne une fois abandonnera toute sa vie (devise stage commando)

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Tu m'aurais dit un truc dans ce genre il y a 40 ans, tu n'aurais pas eu le temps de sortir du bureau et mangerais encore de la soupe avec une paille aujourd'hui..... et très liquide la soupe !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ca c'est ce qu'on dit ... :D

"Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte).

- Civil

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Ca c'est ce qu'on dit ... :D

Tu es libre de penser ce que tu veux, de toute manière je suis un vieux retraité et le cas ne se présentera pas pour que tu puisses en juger .....

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)

 

Celui qui abandonne une fois abandonnera toute sa vie (devise stage commando)

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Tu es libre de penser ce que tu veux, de toute manière je suis un vieux retraité et le cas ne se présentera pas pour que tu puisses en juger .....

Je ne mets pas votre parole en doute ! ;)

Pour ma petite phrase de "prévention", elle était destinée pour les Officiers, Sous-Off qui se la raconte un peut trop, et qui parlent aux EVAT - EVSO comme de la m*rde, sans savoir ce que le mot "communiquer" veut dire. Je pense qu'il y a 40 ans, ce genre d'Officier n'aurait pas fait long feu dans n'importe quelle armée ... attention, je ne parle pas des Officiers, Sous-off qui braillent, hurlent sur leurs hommes lors des entraînements, là rien à voir !

"Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte).

- Civil

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Je ne mets pas votre parole en doute ! ;)

Pour ma petite phrase de "prévention", elle était destinée pour les Officiers, Sous-Off qui se la raconte un peut trop, et qui parlent aux EVAT - EVSO comme de la m*rde, sans savoir ce que le mot "communiquer" veut dire. Je pense qu'il y a 40 ans, ce genre d'Officier n'aurait pas fait long feu dans n'importe quelle armée ... attention, je ne parle pas des Officiers, Sous-off qui braillent, hurlent sur leurs hommes lors des entraînements, là rien à voir !

ROYCO a raison à l'époque on ne se serait pas permis de parler comme sa a un officier ou un sous off. Et meme quand je suis rentré chez les fus debut des années 2000 tu prenais des coup de pied dans le ventre et des baffes dans la gueule si tu faisais un pet de travers. Aujourd'hui on est rendu a faire du social avec les jeunes parce que les pauvres ils ont pas été assez éduqué par leurs parents et au premier bobo ils démissionnent. Dans l'armée il y a une hyerarchie des valeurs et on respecte meme si des fois son supérieurs peut etre un con c'est comme partout. Celui qui rentre pas dans le moule moi je dit il dégage et va chez les danseuses. Avant quand on avais un grief on enlevais les galons et on faisais un petit combat de boxe et sa remettais tout le monde d'accord. Bref pour moi Honneur Valeur Patrie Discipline sa veut dire quelque chose

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Pour l'Artilleur .......

Afin que tu saches comment ça se passait au cdo Montfort en 1966 et donc à quelle école ceux de ma génération ont été formés, je te joins un petit passage de mon bouquin qui a légèrement été remixé pour une harmonie grammaticale ..... ( pour la suite c'est à dire les 450 autres pages, tu achètes le livre et tu verras si on se serait simplement permis de frapper ou insulter un supérieur....)

......... Tout le monde semblait dormir sur ce coin de terre et moi j’étais là, seul, à surveiller que l’on ne vienne pas nous subtiliser le parcours jungle, le portail du fort, ou les cuvettes des chiottes, mais là pas de problème car elles se trouvaient directement face au bureau. Un petit air frisquet m’encouragea à retourner dans la cage, mais comme nous n’avions même pas le droit à une petite radio pour faire passer le temps, les minutes commencèrent à devenir un peu longues. C’est dans ces instants que le Dieu des songes et de la nuit fait en général son apparition, car c’est bien connu, Morphée arrive toujours entre minuit et deux, surtout lorsqu’on est de garde et fatigué. Je me rendis compte de sa présence et essayai de le repousser, mais il insista, je résistai mais peu à peu son emprise se fit plus forte, « Roycoooooo….…Rooyyyccccoooo, dodo, dodo » Ulysse s’était bien laissé avoir lui aussi avec le chant des sirènes, alors pourquoi pas moi, surtout que j’étais crevé, j’avais mal aux guitares et qui allait venir à une heure pareille dans ce trou perdu?

Je me suis assis sur la chaise en bois pas très confortable du reste, les coudes posés sur le bureau, la tête entre les mains dans un dernier geste de résistance pour la maintenir droite, et je me suis laissé aller dans un petit sieston initialement prévu pour quelques minutes, histoire de relancer la machine. Mon camarade qui devait venir me remplacer pour le 2 à 4 est resté lui aussi dans ses songes car je ne suis pas allé le réveiller, je dormais trop bien et d’un sommeil si profond que je n’entendis pas le maître T… qui rentrait à la base dans la dernière partie de la nuit. En fait, je m’étais endormi pour la quasi-totalité de ma garde, celle qui suivait et même le 4 à 6 voire plus si le « déménageur » ne s’était pas manifesté…

Dans mon esprit merveilleusement paisible, j’étais entouré de nymphes tout aussi désirables les unes que les autres, lorsque soudain, je me suis senti projeté dans les airs, cette élévation intemporelle s’accompagnant simultanément d’une grosse douleur dans la mâchoire. Suite à cette envolée de quelques dixièmes de seconde, je retombai lourdement sur le carrelage de l’aubette la tronche la première, ce qui me permit de constater que le carreleur avait fait du bon boulot au niveau des joints, chose dont je ne m’étais pas du tout préoccupé auparavant.

Le temps de me remettre debout et comprendre ce qui m’arrivait, je fus assailli de coups de poings, de pieds, droite, gauche, coup de boule, ça pleuvait sec et pourtant le temps ne m’avait pas paru être à l’orage, mais il faut croire que les nuages s’étaient amoncelés juste au-dessus de cette petite pièce. C’était une vraie « rouste » conclue par un crochet au foie comme un coup de grâce et entre les pognes de mon assaillant j’étais comme une marionnette désarticulée dont il semblait jouer avec un certain plaisir. Pour un réveil en fanfare, ce n’était pas du tout l’air que j’aurais aimé entendre, mais il devait être mélomane à sa façon.

Après un laps de temps qui me paru très long, le gladiateur de service abandonna sa proie et j’en profitai pour me relever, ce que je fis prestement puisque cette séance m’avait tout à fait réveillé. Ce gradé qui s’entraînait avec l’équipe du pentathlon du GROUCO était rentré cette nuit là un peu plus tôt que la normale pour aller faire ses huit kilomètres quotidiens de footing avant l’appel. Une aubaine pour lui, il avait trouvé en ma personne le punching-ball qui remplacerait la course à pied et lui permettrait de faire travailler ses bras. Je ne ramenai pas trop ma science car je ne voulais pas me retrouver en plus sur le cahier de punitions, ce que j’aurais largement mérité. Toutefois, afin d’apaiser son envie de me donner une deuxième séance, je lui fis remarquer dans des termes choisis, que je n’appréciais pas ce réveil en fanfare et que dès l’appel j’irais me plaindre à l’adjudant. Il me montra ses dents comme le ferait un chien à qui l’on voudrait voler son os, ses yeux étaient ceux d’un prédateur hésitant entre deux proies différentes, mais il me laissa sur mes interrogations et quitta l’arène. J’avais mal sur tout le corps, je saignais un peu du pif mais n’avais apparemment rien de cassé, ma seule erreur fut d’avoir oublié l’espace d’un instant que je me trouvais dans un groupe d’hommes virils et question virilité ils en tenaient une sacré couche dans le coin.

Après l’appel, je me dirigeai vers le bureau du shérif, en me demandant si cette démarche n’était pas un peu risquée, mais je ne pouvais pas me dégonfler et j’allai donc taper à la porte de l’adjudant. Les anciens d’Indochine et d’Afrique du nord le connaissaient, les autres avaient entendu son nom et ses aventures étaient souvent contées le soir devant les feux de camp, mais j’ai pensé que ce n’était peut-être pas un monstre et qu’il saurait se souvenir de l’époque où il était lui aussi jeune commando avec quelques conneries à la clé. Comme je l’ai indiqué précédemment, il avait un visage carré comme une boite à chaussures, des sourcils épais à la Groucho Marx (mais il n’en avait pas l’humour), un menton légèrement en avant et qui semblait aussi dur que du béton, le genre de gars qui ne rigolait que lorsqu’il gagnait au tiercé, mais qui ne jouait jamais. Il avait aussi des mains comme des battoirs à tabasser les draps sur les coins de lavoirs et toujours son éternelle pipe vissée entre les dents, sa pipe, le seul artifice qui le rendait humain. En parcourant les quelques mètres qui me séparaient de son repaire, je me suis demandé une fois encore si je ne faisais pas une connerie, mais j’étais sur ma lancée et autant aller jusqu’au bout. Je frappe, une voix sèche et autoritaire m’ordonne d’entrer et au ton utilisé, je comprends qu’il ne m’attend pas pour m’offrir l’apéro. J’ouvre et le vois assis derrière un bureau au fond de la pièce, je m’approche à deux pas de son burlingue, salut réglementaire et reste immobile dans un garde à vous impeccable. « Que veux-tu ? », je lui raconte en détail ma mésaventure de la nuit et surtout l’agression sauvage et sans préavis dont j’avais été victime. Je n’avais pas terminé mon récit qu’il se jette sur moi comme une panthère sur une antilope, je n’aurais jamais pensé qu’il soit aussi rapide et leste qu’un félin à son âge. Coup de boule, crochet au foie, gifles à droite, à gauche, je ne pouvais que me protéger ou esquiver et il eut été même suicidaire de vouloir riposter car avec seulement huit ou dix heures de sport de combat depuis mon entrée dans la spécialité, ce n’était même pas la peine d’essayer. Au fur et à mesure que les coups tombaient je me disais, « pourvu qu’il ne se fasse pas mal tout seul en glissant sur le carrelage et pense que c’est moi qui l’ai poussé ! » parce que là, je ne sais pas à quelle sauce il m’aurait mangé ! Je me fais tellement petit pour éviter d’en prendre davantage plein la gueule que j’arrive à me faufiler entre deux caissons métalliques où ma corpulence ne me permettait pas de prendre place en temps normal. Pas de problème pour lui, il m’attrape par le col du treillis et me sort de mon logement aussi facilement qu’une vieille serpillère d’un seau pour un dernier coup de haut en bas sur le crâne. Je dois dire que je n’avais pas fait le voyage en quête de quelques miettes, je venais de charger la musette et ce n’était pas pour exercice ! Après être passé à l’attendrisseur « modèle adjudant Montfort 1966 », j’affirme qu’il avait des mains aussi grosses que des raquettes et la rapidité d’un pongiste, cette dextérité lui venant de son passé au sein des fusiliers marins commandos qui lui avait certainement permis de se faire la main et d’en corriger de plus féroces que moi.

Cette « branlée » était méritée puisque j’avais fait deux erreurs, la première étant de m’endormir alors que j’étais de garde, la seconde d’aller me plaindre, mais comme je ne tenais pas à entamer avec lui un débat philosophique sur les conventions de Genève, je m’abstins de tous commentaires.

Depuis le matin mes yeux étaient soumis à rude épreuve et devaient ressembler à ceux d’un caméléon surveillant une sauterelle, mais j’arrivais à les entrouvrir pour le voir regagner son bureau, sortir une blague à tabac et bourrer sa pipe qui, à bien y regarder, avait le fourneau en forme de tête de pirate ou crâne de mort. Je me relève péniblement, rectifie la tenue, aspire le nouveau filet de sang qui me coule cette fois le long de la lèvre et me pointe devant son bureau mais à une distance plus conséquente qui l’obligerait à prendre de l’élan pour me tomber sur le râble et là je le verrai venir. Il me dit : « si tu veux te plaindre maintenant, tu vas à coté dans le bureau de l’officier en second M… » (un ancien lui aussi des épopées furieuses aux pays des rizières et des oueds). « Non, c’est bon, tout baigne dans l’huile » ! Il tire quelques bouffées sur sa pipe, j’attends quelques instants, il ne dit rien, il me jauge, il mastique l’embout de sa bouffarde comme un camé le ferait de sa pipe d’opium, je suis dans un sale état. Deux raclées en moins de six heures, avec assez de sang à la clé pour faire un petit boudin antillais, cela n’arrive pas tous les jours et rien qu’à l’idée d’aller dans le bureau d’à coté pour une troisième couche, je préfère hisser le drapeau blanc. Puis, d’un coup, comme si rien ne s’était passé et que je venais de rentrer, il me dit :

- Tu es là pour quoi, tu veux quelque chose ?

- Non Adjudant rien !

- « Alors va t’en », ce que je fis rapidement. Pour le reste de la journée et les mois qui ont suivi, ni lui, ni l’excité de la nuit n’ont fait allusion à cette séance, je n’avais pas été inscrit sur le cahier de punitions alors que je le méritais, j’avais eu directement et d’un seul bloc le procès, la sentence, la condamnation et c’était terminé, je n’ai pas osé interjeter appel. Quelques années plus tard, alors que j’étais instructeur militaire ................

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)

 

Celui qui abandonne une fois abandonnera toute sa vie (devise stage commando)

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Pour ma petite phrase de "prévention", elle était destinée pour les Officiers, Sous-Off qui se la raconte un peut trop, et qui parlent aux EVAT - EVSO comme de la m*rde, sans savoir ce que le mot "communiquer" veut dire.

Tu communiques avec tes potes,pas avec tes supérieurs. Eux ils t'ordonnes,et toi tu exécutes. Et si un jour tu fais ce genre de phrase avec un sous-officier et qu'il ne t'explose pas la tête à coup de tabouret TTA,va vite jouer au Loto car c'est ton jour de chance.

Il y a aussi des cadres sympa,qui te proposent d'enlever les galons et s'expliquer derrière la compagnie. Vérifies bien ce que ton assurance couvre.

Legio Patria Nostra

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ROYCO a raison à l'époque on ne se serait pas permis de parler comme sa a un officier ou un sous off. Et meme quand je suis rentré chez les fus debut des années 2000 tu prenais des coup de pied dans le ventre et des baffes dans la gueule si tu faisais un pet de travers. Aujourd'hui on est rendu a faire du social avec les jeunes parce que les pauvres ils ont pas été assez éduqué par leurs parents et au premier bobo ils démissionnent. Dans l'armée il y a une hyerarchie des valeurs et on respecte meme si des fois son supérieurs peut etre un con c'est comme partout. Celui qui rentre pas dans le moule moi je dit il dégage et va chez les danseuses. Avant quand on avais un grief on enlevais les galons et on faisais un petit combat de boxe et sa remettais tout le monde d'accord. Bref pour moi Honneur Valeur Patrie Discipline sa veut dire quelque chose

Clairement, même si il n'y a pas besoin d'avoir fait ses classes dix ans plus tôt (y;a-t-il même besoin d'avoir fait ses classes) pour réaliser que menacer comme ça un sous off/off en tant que MDR, c'est dépasser les bornes et sûrement d'exposer à de lourdes conséquences. Si même à l'armée le respect de la hiérarchie commence à foutre le camp...:ph34r:

Étudiante histoire-géo

PMD faite au 61e RA du 18 au 25/02

FMIR au 24è RI en cours

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Messieurs, je parle des gros cons de Sous-Off qui se croient tous permis. Je vais vous donner quelques exemples que l'on m'a raconté de vive voix de la part de militaires et civils :

En 1993 : Un Adjudant dans un Régiment d'Artillerie a poussé volontaire un appelé du contingent, lui occasionnant un traumatisme thoracique, il a eu une douleur inter costale au poumon.

Cet enfoiré d'Adjudant lui a demandé de ne rien dire au CDU, si il ne disait rien, il lui donnait son permis PL.

En 2000 : Dans un autre Régiment d'Artillerie, un EVAT s'est vu se prendre une grande baffe dans la gueule de la part d'un Adjudant, personne ne connaissait les tenants et les aboutissants de l'histoire. Le jeune ne c'est pas démonté, il a eu l'appui d'un officier de Gendarmerie qu'il connaissait et a porté plainte contre le sous-off.

En 1991 : Un appelé du contingent que je connaissais bien, a fait son service militaire dans le Train. Il a eu une altercation avec son Adjudant-Chef, il lui a démonté la tête à coup de poings.

Le Sous-off a eu des fractures de la mâchoire et a porté plainte. L'appelé est passé devant le tribunal et il a eu des dommages et intérêts à verser au Sous-Off.

Voilà les trois faits que j'ai eu à ma connaissance ...

Voilà pourquoi j'ai eu cette réaction, avant de se prendre gratuitement un pain dans la gueule par un Sous-Off ou autre, ou que ça soit vous qui lui décolliez un pain en premier, pour vous éviter d'avoir des traumas à vie ou de payer des dommages intérêts pendant des années, je préconise la parole menaçante que de passer aux actes ...

De mon coté, je ne sais pas comment j'aurai réagi face à une agression gratuite envers un de mes gars par un Sous-Off ...

Modifié par L'Artilleur

"Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte).

- Civil

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Et tu trouves normal de voir un Sous-Off mettre une droite dans la gueule à un EVAT parce que celui ci a les rangers mal cirées ?

Tu sais qu'à cause de ce genre de comportement on a perdu pas mal d'EVAT et d'EVSO ? En plus des mecs qui en voulaient ...

Modifié par L'Artilleur

"Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte).

- Civil

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Bonsoir,

Il y a une chose qui m'interpelle. Pas le genre d'Afsec d'écrire comme ça et de faire des fautes comme celles-ci, je me trompe peut-être... Mais bon... :

"ROYCO a raison à l'époque on ne se serait pas permis de parler comme sa a un officier ou un sous off. Et meme quand je suis rentré chez les fus debut des années 2000 tu prenais des coup de pied dans le ventre et des baffes dans la gueule si tu faisais un pet de travers. Aujourd'hui on est rendu a faire du social avec les jeunes parce que les pauvres ils ont pas été assez éduqué par leurs parents et au premier bobo ils démissionnent. Dans l'armée il y a une hyerarchie des valeurs et on respecte meme si des fois son supérieurs peut etre un con c'est comme partout. Celui qui rentre pas dans le moule moi je dit il dégage et va chez les danseuses. Avant quand on avais un grief on enlevais les galons et on faisais un petit combat de boxe et sa remettais tout le monde d'accord. Bref pour moi Honneur Valeur Patrie Discipline sa veut dire quelque chose"

Ensuite j'attendais l'intervention de Royco.

Chose faite.

Il a vécu les deux situations apparemment.

il nous a mis un extrait pour la première. Maintenant en lisant Royco j'ai lu qu'il existait bel et bien les """"""cons""""" qui prenaient plaisir à cogner """"sans raison"""" ...

Peut-être que Royco mettra un autre extrait

Edit:

La façon d'écrire d'Afsec est changeante. Je lis beaucoup de ses messages, j'aime bien lire ses avis.

Et là ce n'est pas écrit comme d'habitude et les fautes m'ont interpellées...

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Timshel,il y a confusion : AFSEC n'a rien ecrit du tout ici,mais un autre membre qui s'apelle montana587.

Il faut lire les noms,pas regarder les images :P

Merci j'étais en train de me dire que je m'étais trompée

;)

j'ai eu peur..

Je me disais qu'Afsec s'était peut-être fait pirater son compte ou je n'en sais rien.

J'étais persuadée qu'il s'agissait de Afsec.

C'est ça quand je survole en lisant rapidement.

Désolée Montana587 et Afsec.

Au moins Afsec sait que je connais sa façon d'écrire ;)

EDIT:

J'aime bien les images moi.

On devrait retirer les pseudos... Juste mettre des images.

Cela me ferait moins de choses à lire.

D'ailleurs Radu a changé son avatar en cours de route. Je ne sais plus ce qu'il avait avant. Un képi noir? Je ne sais plus mais ce n'était pas celui actuel.

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Ne mélangez pas le S/OFF alcoolique qui cogne sur ce qu'il peut atteindre et des cas où une claque de bonne fonctionnement (même sous la forme d'un uppercut) est parfois nécessaire. En plus cela économise du temps,du papier et rend les choses plus compréhensibles.

J'avoue être complètement perdu dans cet univers schlabord où tout est à l'envers.

Modifié par RADU

Legio Patria Nostra

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Faut essayer de la comprendre, depuis qu'elle a commencé à lire (et peut-être terminé) mon bouquin, ce n'est plus la même...... Avec son esprit d'analyse elle doit essayer de faire un "para l'aile" entre notre armée d'il y a 50 ans et celle d'aujourd'hui du moins dans l'esprit car au niveau matos il n'y a pas photo (bien que ce ne soit pas le super matériel qui fasse de très bons soldats) De plus comme le dit RADU une tronche au carré ça remet parfois les neurones en place et ça évite de remplir des papiers inutiles et gaspiller de l'encre pour écrire des motifs sur le cahier de punitions.....:P:shout:

Modifié par ROYCO

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)

 

Celui qui abandonne une fois abandonnera toute sa vie (devise stage commando)

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faut arrêter ,il y a moins d'uppercut d'un sergent que de coup de pied au cul d'adjudant lol

et si chaque claque , coup de pied au cul , ou hurlement ( pour etre poli :P ) fait porter plainte, on va avoir les gendarmeries au milieu des rgt :D c'est les civils qui vont être content ils verront plus les gendarmes sur les routes :D

Modifié par Dani
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:) +1000 pour le livre.

Ce que le soldat d'aujourd'hui porte et chausse était l’équipement des forces spéciales il y a une dizaine d'années,mais c'est normal que l’équipement évolue. Le hic c'est que le monde entier "évolue" et ça fait naître des mentalités qui sont tout ce qu'on veut sauf des mentalités de guerriers. Heureusement il reste encore quelques "îlots" pas trop contaminés.

Modifié par RADU

Legio Patria Nostra

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bien bravo timshel lol

toi il faut pas te taper, juste te jeter par dessus bord :P

:+

je sais que ton rêve c'est de me voir me faire tabasser.

Je t'attends. Essaie de me jeter par dessus bord!

Mais fais attention, demain, tu pourrais avoir une belle surprise.

J'étais persuadée que c'était Afsec et ce depuis le début. Je bug moi aussi comme le forum.

Ne mélangez pas le S/OFF alcoolique qui cogne sur ce qu'il peut atteindre et des cas où une claque de bonne fonctionnement (même sous la forme d'un uppercut) est parfois nécessaire. En plus cela économise du temps,du papier et rend les choses plus compréhensibles.

J'avoue être complètement perdu dans cet univers schlabord où tout est à l'envers.

Qui a dit que je mélangeais?

Il y a:

1) le cas donné par Royco

2) le cas pas encore donné par Royco.

1) = le supérieur qui recadre son subalterne à l'ancienne

2) = le supérieur qui a un complexe et qui cogne pour le plaisir

Tu me vouvoies encore? Toi et Dani vous allez me fâcher.

Je vais ouvrir la fenêtre!!! (Dani sait ce que ça signifie!)

A toi, ce sera les menottes et la matraque!

Faut essayer de la comprendre, depuis qu'elle a commencé à lire (et peut-être terminé) mon bouquin, ce n'est plus la même...... Avec son esprit d'analyse elle doit essayer de faire un "para l'aile" entre notre armée d'il y a 50 ans et celle d'aujourd'hui du moins dans l'esprit car au niveau matos il n'y a pas photo (bien que ce ne soit pas le super matériel qui fasse de très bons soldats) De plus comme le dit RADU une tronche au carré ça remet parfois les neurones en place et ça évite de remplir des papiers inutiles et gaspiller de l'encre pour écrire des motifs sur le cahier de punitions.....:P:shout:

Oui j'ai fini Royco.

Et oui je ne suis plus la même.

Ma vie a changé. Maintenant quand je prends le train et qu'on me parle de retard... Je pense à toi.

Et j'en ai plein comme ça. Ma vie est bouleversée.

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faut arrêter ,il y a moins d'uppercut d'un sergent que de coup de pied au cul d'adjudant lol

et si chaque claque , coup de pied au cul , ou hurlement ( pour etre poli :P ) fait porter plainte, on va avoir les gendarmeries au milieu des rgt :D c'est les civils qui vont être content ils verront plus les gendarmes sur les routes :D

C'est ça,l'avantage de ne comprendre le français : la quantité d'insultes et injures et gros mots que j'ai avalé avant de me réveiller était gigantesque,mais comme je ne comprenais rien ça ne faisait aucun effet. En revanche,la première claque de bon fonctionnement que j'ai reçu (et qui m'a étalé sur un mur) est venue d'un sergent-chef portugais que j'ai retrouvé des années plus tard et eu sous mes ordres (rétrogradé CCH,faute de BSTAT) . Et -surprise- tout c'est très bien passé. Car avec le temps j'ai compris qu'à sa place j'aurais fait exactement pareil.

Quand aux supérieurs,bien que l'idée de mettre un coup de boule à quelques-uns m'est parfois traversé l'esprit...et bien j'ai appris qu'il y a des façons plus drôles de faire les choses. Parfois,si c'est bien fait,ils se cognent tous seuls la tête contre les murs. Heureusement j'ai rarement eu la malchance d'être commandé par des tarés.

Legio Patria Nostra

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Ouh toi, toi, t'as envie que demain je vienne devant ton régiment habillée en léopard avec un landau et que je crie ton nom et prénom avec le grade de surcroit pour que tu viennes reconnaître ton fils!

1) Présentation obligatoire : cliquez ici

2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée

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Oui j'ai fini Royco.

Et oui je ne suis plus la même.

Ma vie a changé. Maintenant quand je prends le train et qu'on me parle de retard... Je pense à toi.

Et j'en ai plein comme ça. Ma vie est bouleversée.

Je sais , je connais, j'ai des dizaines de cas comme toi qui ont pris contact...

J'espère que tu me diras sincèrement ce que tu en as pensé ce qui ajouté aux nombreux commentaires déjà reçus, m'aidera pour le tome 2 dans les tuyaux....

Concernant "votre histoire" DANI et Timshel elle ne me regarde pas mais si vous avez des petits, gardez m'en 1 pour le faire empailler....:shout::shout::shout:

Modifié par ROYCO

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)

 

Celui qui abandonne une fois abandonnera toute sa vie (devise stage commando)

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