O'16 Posté(e) 31 mai 2014 Signaler Partager Posté(e) 31 mai 2014 (modifié) Bonjour, J'aurais voulu savoir où je pourrais trouver des informations quant à ces deux questions : - Quelle(s) formation(s) suivre pour travailler dans un sous marin ? - Quels sont les différents métiers exercés à bord d'un sous marin ? J'ai crus comprendre qu'il y avait l'école de Maistrance pour les individus ayant le BAC mais je ne sais pas comment ce passe la suite des études. J'ai parcouru plusieurs sites Internet sans vraiment trouver de réponse à ma question. Merci d'avance . Modifié 31 mai 2014 par O'16 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hatonjan Posté(e) 31 mai 2014 Signaler Partager Posté(e) 31 mai 2014 bonjour, merci de bien vouloir te présenter dans la rubrique "présentation des membres". Ensuite, je me ferai un plaisir de te répondre, dans la limite de mes connaissances. I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
O'16 Posté(e) 31 mai 2014 Auteur Signaler Partager Posté(e) 31 mai 2014 C'est fait . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hatonjan Posté(e) 31 mai 2014 Signaler Partager Posté(e) 31 mai 2014 Donc dans un sous marin, tu retrouve quasiment tous les spécialités que tu as en surface (il en manque quelques unes quand même, je n'ai pas une liste exhaustive en tête, je crois qu'il n'y a pas de fuz par exemple). Après, on y fait parfois exactement le même métier (le cuisto, le maitre d'hotel, etc.), parfois le même métier un peu adapté (on travail sur un type d'arme, et de senseur particulier par exemple, on fait de la navigation sous marine, en plus de celle de surface). Donc, dans cette logique, les sous mariniers sont des marins de différente spécialité, et il n'y a pas de spécialité sous marinier. Pour être sous marinier il faut : -être volontaire -être un homme (ça va probablement pas durer ça) -être apte médicalement -être sélectionné -réussir les cours supplémentaire de "spécialisation" dans sa spécialité. On trouve des marins de tout statut (QMF, maistrancier, officiers de différent type), je sais que j'ai connu des volontaires officiers, par sur pour les équipages. I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
O'16 Posté(e) 1 juin 2014 Auteur Signaler Partager Posté(e) 1 juin 2014 Merci pour cette réponse. J'ai cru comprendre également que les places étés plutôt sollicités donc j'imagine qu'il faut être dans les 1ers de la promotion pour avoir une chance d'incorporer ce type de bâtiments. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hatonjan Posté(e) 1 juin 2014 Signaler Partager Posté(e) 1 juin 2014 Oui et non. Oui, il y a plus de candidat que de place. Mais attention, tout le monde n'est pas volontaire, et tout le monde n'est pas apte. Néanmoins, qui dit plus de candidat / place, dit qu'il vaut mieux être dans les premiers pour avoir le choix. Mais on ne devient pas sous marinier uniquement à la sortie d'école ! Mais la formation et les spécificité font que mieux vaut rentabiliser la formation des sous marinier, donc les garder "longtemps", donc les former "jeune", mais il y a le risque d'erreur de casting. I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
brucine Posté(e) 2 juin 2014 Signaler Partager Posté(e) 2 juin 2014 Oui et non. Dans les spécialités "techniques" où la formation est longue et coûteuse (je connais mieux aéro que sous-marins, mais la situation n'est peut-être pas si différente), la logique voudrait en effet que l'on forme les personnels aussi tôt que possible, de manière en effet à rentabiliser leur contrat. Mais on continue d'assurer la formation initiale des jeunes dans des proportions qui dépassent largement le "taux d'attrition" tandis que, à l'autre bout, il y a une hémorragie d'officiers mariniers supérieurs expérimentés (malgré parfois des incitations financières pas négligeables pour les garder), et donc d'instructeurs. Dans la pratique, les jeunes peinent à acquérir toutes leurs qualifications parce qu'ils sont relativement nombreux, parce qu'il n'y a pas assez d'instructeurs, et parce que certaines qualifications exigent une débauche de moyens conjoints (présence par exemple, dans le cas qui nous intéresse, de frégates de surface et d'hélicoptères de lutte anti sous-marine, et des personnels qui les arment). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Quistinic Posté(e) 10 août 2014 Signaler Partager Posté(e) 10 août 2014 En principe, pour embarquer sur un soum, il faut passer un certificat sous marinier, dit élémentaire pour l'équipage (ça donne droit au port d'un jolie badge de poitrine ;-) ) Celui-ci, le cours du certificat, se fait après la fin de l'école de spécialité. Ca doit durer dans les deux mois. Il y a pas mal de tests , genre caisson plongeur (j'ai un put..in de souvenir de la première fois, j'avais un rhume, bonjour les oreilles...) évacuation d'urgence, sortir d'une d'une cloche au fond d'une fosse assez profonde (si c'est toujours d'actualité) psycho, il faut pouvoir vivre dans un espace confiné et longtemps... Après il y a pas mal de connaissances spécifiques au fonctionnement du bato sous l'eau. Evidemment de nos jours les soums ce sont "civilisées" et je suppose que la couchette chaude n'est plus d'actualité... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hatonjan Posté(e) 12 août 2014 Signaler Partager Posté(e) 12 août 2014 En principe, pour embarquer sur un soum, il faut passer un certificat sous marinier, dit élémentaire pour l'équipage (ça donne droit au port d'un jolie badge de poitrine ;-) ) Celui-ci, le cours du certificat, se fait après la fin de l'école de spécialité. Ca doit durer dans les deux mois. Il y a pas mal de tests , genre caisson plongeur (j'ai un put..in de souvenir de la première fois, j'avais un rhume, bonjour les oreilles...) évacuation d'urgence, sortir d'une d'une cloche au fond d'une fosse assez profonde (si c'est toujours d'actualité) psycho, il faut pouvoir vivre dans un espace confiné et longtemps... Après il y a pas mal de connaissances spécifiques au fonctionnement du bato sous l'eau. Evidemment de nos jours les soums ce sont "civilisées" et je suppose que la couchette chaude n'est plus d'actualité... la bannette chaude n'est plus d'actualité depuis quelques temps. Elle a disparu avec les diesel je crois. A confirmer. I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Quistinic Posté(e) 12 août 2014 Signaler Partager Posté(e) 12 août 2014 @ Hantojan. C'est sur que ce n'est plus d'actualité; ma formulation était rhétorique. Les bannettes chaudes (des fois j'évite de "jargonner"...) ont disparu, tout comme les hamacs, encore utilisés au début des années 70 pour loger du personnel supplémentaire (j'en ai vu installés dans le compartiment torpilles...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DQN78 Posté(e) 2 septembre 2014 Signaler Partager Posté(e) 2 septembre 2014 Exact les hamacs ont disparus en surface en début des années 70 sur les escorteurs rapides et d'escadres !!! c'est vrai aussi que les sous marins classiques la bannette chaude était toujours pratiquée sans que cela ne géne personne .. de même que parfois lors d'essais en mer on installait des hamacs au poste avant (équipage) pour les agents de la DCAN ou autres passagers .... Cette histoire de bannete chaude est terminée avec l'arrivée des SNLE et SNA .....et la disparition des SM diésel Mousse un jour, mousse toujours ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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