Aller au contenu
Aumilitaire
  • Rejoignez Aumilitaire

    Inscrivez vous aujourd'hui et recevez le guide gratuit Aumilitaire

     

Oral pour Infirmière


Messages recommandés

Bonjour,

J'ai eu il y a déjà deux jours une réponse positive suite à l'écrit du concours IFSI pour intégrer la Marine. Je passe donc mon oral à Toulon le 3 décembre 2014.

Je me pose de nombreuses questions sur cet oral. Je sais déjà que j'ai 10min de préparation à un sujet de culture général. Mais c'est sur la partie entretien que je m'interroge.

Quels sont les questions qu'ils peuvent être amener à me poser ? Dois-je m'être en avant plutôt le métier d'infirmière ou l'aspect militaire ?

Merci pour les personnes ayant pris la peine de répondre à mes interrogations.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vais pas te mentir, je n'ai pas vraiment de réponse à tes questions.

Un truc, plutôt que parler d'IFSI, parle de l'EPPA, déjà ça fait "je connais un peu".

Je ne pense pas qu'il faille opposé le métier d'infirmier et de militaire. D'ailleurs militaire n'est pas un "métier", c'est un statut.

Evidemment, on a toujours les questions existentielles sur le soin de l'ennemi etc.

Tu peux t’imprégner de la convention de Genève.

A toi aussi de réfléchir sur les spécificité maritimes.

Voilà, ça ne t'aide pas forcément beaucoup mais bon...

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tout d'abord, merci d'avoir pris le temps de me lire.

Enfaite, mes interrogations sont vraiment portées sur quels types de questions ils peuvent me demander des choses lors de l'entretien. Je sais qu'ils vont me demander mes motivations, ma connaissance du métier. Mais que peut-on me demander encore ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il va falloir à Saint Maixent d'abord, et 3 ans durant à l'EPPA, "percuter" rapidement sous peine d'être classée dans la catégorie "bulot à vie".

En étant d'accord sur le fond, je pense que vu la rubrique, ce serait d'abord maistrance. Mais ça ne change rien ;)

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour sophieL achète un livre de Geneviève de Gallard neuf ou d'occase et tu comprendras ce a quoi peut être confrontée une infirmière militaire, et ensuite a l'oral tu pourras dire que ce qui t'a inspiré dans ton choix c'est l'histoire de cette femme, je pense que tu auras tout bon, encore faut il que tu l'ai lu, ou au moins sa biographie, et son histoire sur DIEN BIEN PHU.....

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne peux pas répondre formellement à la question puisque n'ayant pas subi ce type d'oral, donc, simplement quelques commentaires.

La théorie, qui résulte du fait que l'EPPA est en tout point comparable à un IFSI civil, veut que les examens, dont les oraux, en suivent exactement les mêmes règles.

http://www.eppa.sante.defense.gouv.fr/recrutement/concours/

Pour résumer, un exposé sur un thème sanitaire et social d'au plus 30mn suivi d'une discussion est accompli devant un jury de 3 personnes dont 2 cadres infirmiers.

Sur le premier point, il n'y a pas grand mystère, on trouve assez facilement sur le Net des "annales" des questions susceptibles d'être posées à l'oral des IFSI, et rien ne disant que le thème imposé sera forcément à orientation militaire.

C'est donc le deuxième qui pose problème.

La "question piège", dans plusieurs déclinaisons, est donc de savoir pourquoi choisir une formation au DE à l'EPPA plutôt que dans un IFSI.

Elle suppose probablement une certaine "culture générale militaire" incluant des connaissances sur l'armée, sur le rôle de l'infirmier dans les forces (puisque je rappelle que seuls les infirmiers préalablement diplômés civils sont directement affectés dans les HIA), et sur la Marine puisque le choix a été celui de l'école de Maistrance.

Ce qui va être rédhibitoire, c'est l'impression donnée au jury que l'on aurait choisi la voie militaire pour être diplômé et se barrer après, "pour la planque", "au hasard"...

Quant à Geneviève de Galard (avec un seul L), il entre dans la culture générale de savoir qui c'est.

Mais, dans un monde où la plupart des jeunes savent qui est Nabilla mais pas qui est ministre de la défense ou des affaires étrangères, dire d'elle qu'elle est une source d'inspiration (faites un sondage, demandez à tout le monde dans le civil et même dans le militaire de qui il s'agit...) est le plus sûr moyen que le jury recommande, à propos de Sainte-Anne, que le candidat se rende dans les services psychiatriques réputés de l'établissement parisien éponyme.

Le parcours de Geneviève de Galard résulte certes de son courage, mais aussi du hasard des circonstances, s'y identifier revenant donc à espérer un nouveau Dien Bien Phu et à faire de son futur métier une chimère.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

bonjour,

Vouloir devenir infirmière est rarement le fruit du hasard, dans l'armée de Terre encore moins, la personne qui fait ce choix sait pertinemment qu'elle sera témoin et directement confrontée a des atrocités insoutenables, perpétrées sur des civils ou des militaires les conflits récents et actuels ne manquent pas d'exemples ( Rwanda, ex Yougoslavie, etc).

Maintenant comme l'écrit BRUCINE, connaitre Geneviève de GALARD relève de la culture générale, voire meme de l'histoire de France je dirais.......

Geneviéve de Galard grand croix de la Légion d'honneur, surnommée l'ange de Dien bien phu, est décédée en 2011, elle a fait de nombreuses conférences dans les collèges et les Lycées de France, et franchement je ne vois pas en quoi le fait de citer son nom, devant un jury, vous octroi un billet de consultation pour St Anne, a moins que ce soit pour BRUCINE une expérience vécue par le passé, mais cela lui appartient.

Le fait de lire des livres ne veut pas dire non plus que l'on s'identifie forcément a l'auteur, bien sur cela influence quelque fois ses propres choix, mais c'est tout, et heureusement, que tous ceux qui ont lus " Mein kampf " ne se sont pas pris pour Adolphe HITLER.........

Qui peut espérer revivre un nouveau Dien bien phu si ce n'est un malade mental ?

Devenir infirmier dans l'armée est un choix de vie, forcément exceptionnel, faite d'émotions, de rencontres, et de souvenirs parfois merveilleux et aussi traumatiques, et le fait de se retrouver dans un hopital militaire avancé ou sur le champs de bataille, ne sera en aucun cas le fruit d'un hasard de circonstances....

Pour fréquenter le forum depuis un certain temps je sais que BRUCINE a ce don qui lui est propre comme a d'autres, d'affirmer avec force, et d'avoir un esprit de contradiction exacerbé, mais là j'ai envie de te dire "repose toi " un bon moment, parce que les neuroleptiques ils seront bientot pour toi......

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

bonjour,

Vouloir devenir infirmière est rarement le fruit du hasard, dans l'armée de Terre encore moins,

ah ce forum armée de terre centré...

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ah ce forum armée de terre centré...

Tu veux qu'on parle des infirmiers de la Marine, pas de soucis j'ai un fils qui a été sous marinier, le quotidien pas terrible au niveau expérience ( coupure index du cuistot, mal de mer etc).

Bon, j'en connais un autre très bien d'ailleurs, qui est retraité et qui est parti en opérations avec les bérets verts, alors là oui c'est forcément une autre dimension..........

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci beaucoup pour vos réponses ! Ça m'aide malgré tout :)

Pour avoir une idée précise du quotidien d'une infirmière en opération, je t'encourage a regarder sur YOUTUBE la vidéo suivante ou l'on voit une jeune infirmière de la BA 123 partir au secours d'un infirmier du 126 ème RI ( Thibaud MILOCHE ), et qui malheureusement décèdera le lendemain des suites de ses blessures.

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tu veux qu'on parle des infirmiers de la Marine, pas de soucis j'ai un fils qui a été sous marinier, le quotidien pas terrible au niveau expérience ( coupure index du cuistot, mal de mer etc).

Bon, j'en connais un autre très bien d'ailleurs, qui est retraité et qui est parti en opérations avec les bérets verts, alors là oui c'est forcément une autre dimension..........

bah vu la rubrique ce serait plus pertinent oui :P c'était une boutade, car tu es le deuxième à parler de l'armée de terre "ici".

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si tout candidat infirmier, dans le civil ou le militaire, ce faisait par une vocation incoercible (et cela vaut pour d'autres métiers), il n'y aurait pas besoin d'organiser des oraux d'admissibilité notamment destinés à évaluer les motivations...

Concernant les infirmiers, pas si rares sont ceux qui le sont devenus pour avoir échoué à une PACES.

Parmi ceux qui le sont devenus, j'en ai connu, surtout des filles, qui ont choisi la pédiatrie en s'imaginant "pouponner": on en revient très vite devant, en effet, l'insoutenable de par exemple les services pédiatriques de cancérologie ou des grands brûlés dans les CHU.

D'une manière plus générale, nombreux sont les militaires qui font bien le travail pour lequel ils ont été recrutés, qui ont probablement une certaine idée du service public, mais de là à parler de vocation...

Puisque Madame de Galard a été évoquée, nul ne doit transformer ce qu'il a écrit.

Qu'un futur infirmier militaire sache de qui il s'agit semble une évidence, mais ce n'est pas ce qui a été écrit, s'agissant que cette grande figure est "ce qui t'a inspiré dans ton choix".

J'ai eu ces dernières semaines une cliente et l'employée qui la recevait se congratuler à grands éclats de rire (s'agissant d'inscrire l'adresse de la première dans un fichier) de ne pas savoir écrire "de Lattre de Tassigny" et même de ne pas savoir qui il était.

A quel jury fera-t-on croire que "sa vocation" résulte de la vie de Madame de Galard dont quasiment personne ne connaît l'existence?

L'excès de telles déclarations est soit destiné à "fayoter", soit tout aussi peu crédible pour le jury que de se prendre pour Napoléon le premier.

Rappelons tout de même que, pour être calqué sur le régime des IFSI, l'admissibilité porte sur des questions sanitaires et sociales, le "premier tri" de la "vocation militaire" ayant été fait lors de l'admission préalable conditionnelle à l'école de Maistrance.

Pour finir, un débat devrait pouvoir être mené sans faire des insinuations psychiatriques me concernant et n'y apportant rien d'autre que, comme toujours les insultes, de tenter de pallier la faiblesse de l'argumentation.

Par ailleurs, la candidate a choisi Maistrance: lui dire que les infirmiers de la Marine, c'est de la m...., cela ne va pas beaucoup l'aider maintenant qu'elle a fait ce choix...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci beaucoup à chacun d'entre vous qui ont pris le temps de me répondre. Il est vrai que la plupart des informations concernent surtout l'armée de terre. Mais le métier d'infirmière militaire reste malgré tout "général".

a fortiori avec le passage en MITHA ;)

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un point toutefois ne reste pas clair dans mon esprit.

Les infirmiers recrutés sur DE bénéficient automatiquement du statut MITHA calqué sur celui de la fonction publique hospitalière et sont censés à l'identique travailler essentiellement dans les hôpitaux.

Ceux admis sur concours bac à l'EPPA au titre d'une des armées signent un contrat de sous-officier MITHA une fois leur diplôme obtenu.

Mais ne doivent-ils pas, statut MITHA ou pas, un certain nombre d'années de services dans les forces à l'armée d'origine qui les a formés?

Cela dit, voir par exemple là: https://fr-fr.facebook.com/permalink.php?story_fbid=354798157881819&id=182879171740386&_fb_noscript=1 (et comme souvent le médecin ou le pharmacien, cela fait d'ailleurs du bien de ne pas toujours voir que des horreurs), il arrive que l'infirmier ne fasse que de la paperasse et de la bobologie plutôt que de "sentir bon le sable chaud", et il y en a à qui cela va très bien, il faut de tout pour faire un monde, de même que certains "marins" choisissent délibérément les sémaphores parce que personne, sauf les jours où les premiers sont à marée haute, ne les a jamais vus bouger.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Spécial BRUCINE

je vais tenter de répondre rapidement a tes arguties, qui sont pour la plupart ubuesques, mais néanmoins révélatrices d'une confusion généralisée.......

- je te cite " ne pas donner l'idée a un jury de vouloir être infirmier militaire et se barrer ensuite ", c'est sur cela fait mauvais genre, mais rassure toi c'est assorti d'un contrat de cinq ans donc pas possible.....mdr.

- a aucun moment j'ai écrit que la Marine c'était de la merde, comme tu le dis, cela est le fruit de ton imagination, par contre le job d'infirmier dans la Marine, cela s'apparente plus a de la médecine d'entreprise et a de la bobologie, cf. distribution de nautamine etc..( généralités bien sur ).

- a aucun moment je ne t'ai insulté, ou alors dis moi, par écrit on devrait les retrouver quand même...? de plus les insinuations psychiatriques c'est toi qui a commencé, relis bien ton torche cul ?

-relis toi aussi, avant de poster parce que tout ton chapitre sur DELATTRE et NAPOLEON est incompréhensible au commun des mortels, et je t'assure que si tu fais une copie d'écran de ce que tu écris et que tu le donne a un psy, tu en ressort avec une ordonnance longue comme le bras...

Voilà maintenant je vais arrêter de te répondre sur le fond du sujet, car je ne suis pas sur que tu sois apte a comprendre quoi que ce soit, je pensais que tu étais fatigué, a priori c'est beaucoup plus grave, tu déforme tout, ne comprends rien, et en plus tu es persuadé d'avoir raison........ce n'est pas une insulte, je te dis cela avec beaucoup de compassion, sur ce je vais te laisser avec tes sémaphores, et te souhaiter un bon dimanche.......:shout:

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petite précision, si je n'ai pas fait ma demande pour l'armée de terre, c'est à cause de mon âge (pas 17 ans et demi lors de la signature du contrat).

Mais je ne suis pas d'accord avec vous lorsque vous dites que dans la marine, c'est de la médecine d'entreprise. Il ne faut pas dénigrer une armée parce que vous n'aimez pas forcément.

Mon premier souhait, lorsque j'ai écrit cette rubrique, était d'avoir des conseils sur ce que l'on peut me demander et non pour que j'entende des personnes "dénigrer" mon souhait.

Sur ceux, bonne soirée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petite précision, si je n'ai pas fait ma demande pour l'armée de terre, c'est à cause de mon âge (pas 17 ans et demi lors de la signature du contrat).

Mais je ne suis pas d'accord avec vous lorsque vous dites que dans la marine, c'est de la médecine d'entreprise. Il ne faut pas dénigrer une armée parce que vous n'aimez pas forcément.

Mon premier souhait, lorsque j'ai écrit cette rubrique, était d'avoir des conseils sur ce que l'on peut me demander et non pour que j'entende des personnes "dénigrer" mon souhait.

Sur ceux, bonne soirée.

Je ne dénigre rien, mais il est évident que le type d'activités qui ont lieus sur un bateaux ne sont pas les mêmes que sur le terrain en Afghanistan et ailleurs, que je sache il n'y a pas de risque de sauter sur un IED sur un navire, ni même, ou alors rarement de prendre une rafale de Kalach, ou de 12,7mm, rassurez moi..?

Sur un navire vous aurez des gens malades, des petites blessures, des problèmes psycho, mais rarement des plaies par balles, des éclats de mortiers, de schrapnels ou de je ne sais quoi a traiter, ou alors je ne suis pas au courant, rassurez moi ?

Ah si, pendant la guerre des Malouines un bateaux anglais s'est pris un missile exocet, et là bingo plusieurs centaines de morts, surtout par brulures.....mais bon c'est pas tous les jours et heureusement....

Voilà vous souhaitez souscrire un engagement dans la Marine pas de soucis, mais le débat initial était sur le role des infirmiers militaires en général, pas forcèment ceux que l'on trouve dans les sémaphores..........mouarffff BRUCINE c'est pour toi..:p

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour la culture générale de BRUCINE qui affirme tranquillement que personne ne connait Geneviève de GALARD, (voir messages précédents de BRUCINE ) pour la petite histoire elle est Grand croix de la Légion d'honneur, a été reçu par le Président des Etats Unis a la Maison blanche, ou elle a reçue une décoration, et elle a fait trois la couverture de PARIS MATCH, voilà sinon personne ne la connait, surtout pas BRUCINE qui parle de NABILA, BRUCINE arrête d'écrire sur ce forum, ce n'est pas ta place, va rejoindre le fan club de NABILA....:D

Geneviève de Galard Terraube, née à Paris le 13 avril 1925, est une infirmière militaire française qui, durant la guerre d’Indochine, fut surnommée « l’ange de Dien Bien Phu »1.

Sommaire [masquer]

1 Biographie

1.1 1953 - 1954

1.2 Vie privée

2 Décorations

3 Bibliographie

4 Notes et références

5 Articles connexes

Biographie[modifier | modifier le code]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (avril 2013). Pour l'améliorer, ajouter en note des références vérifiables ou les modèles {{Référence nécessaire}} ou {{Référence souhaitée}} sur les passages nécessitant une source.

Les circonstances de la Seconde Guerre mondiale ont contraint sa famille à quitter Paris pour Toulouse[Quand ?].

Geneviève de Galard obtient le diplôme d’état d’infirmière et devient convoyeuse au sein de l’armée de l’air française[Quand ?].

1953 - 1954[modifier | modifier le code]

À sa demande, elle est affectée en Indochine à partir de mai 1953, au cœur de la guerre qui oppose les forces françaises à celles du Vi?t Minh.

Stationnée à Hanoï, elle opère des évacuations sanitaires par avion à partir de l'aéroport de Pleiku. À partir de janvier 1954, elle participe aux évacuations de la bataille de ?i?n Biên Ph?. Ses premières victimes transportées sont principalement des soldats souffrant de maladies. Mais à partir de mi-mars, la plupart d'entre eux sont des blessés de guerre. Parfois, les avions sanitaires de la Croix-Rouge devront se poser au milieu des barrages d'artillerie viêt minh.

Le 27 mars 1954, le C-47 sanitaire de la Croix-Rouge, avec Geneviève de Galard à son bord, tente d'atterrir de nuit sur la courte piste de Dien Bien Phu. L'atterrissage est trop long et le moteur gauche de l'avion est sérieusement endommagé. Les réparations ne pouvant s'effectuer sur place du fait des conditions (terrain inapproprié), l'avion est abandonné et, à l'aube, l'artillerie viêt minh le détruit ainsi que la piste, les rendant irréparables.

Geneviève de Galard se porte alors volontaire pour servir comme infirmière dans l'hôpital de campagne commandé par le Docteur Paul Grauwin. Bien que le personnel médical masculin soit initialement hostile - la légende qui fait d'elle la seule femme dans le camp oublie le BMC d'une vingtaine de prostituées, essentiellement vietnamiennes, qui devinrent aussi infirmières2 - ils feront finalement des adaptations de logement pour elle. Ils lui arrangeront également un semblant d'uniforme à partir de bleus de travail camouflés, de pantalon, de chaussures de basket-ball et d'un t-shirt. Geneviève de Galard fit de son mieux dans des conditions sanitaires dérisoires, consolant ceux sur le point de mourir et essayant d'entretenir le moral face aux pertes humaines montantes. Plus tard, beaucoup d'hommes la complimenteront pour ses efforts.

Le 29 avril 1954, Geneviève de Galard est faite chevalier de la Légion d'honneur et est décorée de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs par le commandant du camp retranché de Dien Bien Phu, le général de Castries. Le jour suivant, pendant la célébration de la bataille de Camerone, la fête de la Légion étrangère, Geneviève de Galard est nommée légionnaire de 1re classe honoraire aux côtés du lieutenant-colonel Bigeard, commandant du 6e BPC.

Les troupes françaises de Dien Bien Phu cessent le combat le 7 mai 1954 sur ordre du commandement militaire de Hanoï. Le Vi?t Minh autorisera cependant Galard et le personnel médical à continuer les soins sur les blessés. Geneviève refusera toujours toute coopération, quand certains Vi?t Minh commenceront à utiliser les médicaments pour leur propre usage, elle en cachera dans sa civière.

Le 24 mai 1954, Geneviève de Galard est évacuée sur Hanoï, en partie contre sa volonté.

Elle est accueilli par une foule nombreuse à l'aéroport d'Orly à son retour en France1, faisant la une de Paris Match (« La France accueille l'héroïne de Dien Bien Phu », elle fera trois fois la une de ce magazine)1. Elle est plus tard invitée aux États-Unis par le Congrès et le président américain1 qui lui remet le 29 juillet 1954 la médaille de la Liberté (Medal of Freedom)3 lors d’une cérémonie dans la roseraie de la Maison-Blanche à Washington. C'est aux États-Unis qu'elle sera pour la première fois surnommée l'« ange de Diên Biên Phu »1.

Elle reprendra un temps son travail de convoyeuse puis suivra ensuite son mari, officier dans l'armée, dans ses différentes affectations1.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Elle vit, en 2011, à Paris avec son mari, le Colonel Jean de Heaulme4, qu'elle a épousé le 14 juin 1956 en l'église Saint-Louis des Invalides à Paris.

Elle est mère de trois enfants : François, Véronique et Christophe.

Très liée à Marguerite Hoppenot[Qui ?] (décédée en mars 2011 à 109 ans), elle a fait partie du mouvement Sève[Quoi ?] avec son mari.

Décorations[modifier | modifier le code]

Grand Croix de la Légion d'Honneur par décret du 11 juillet 2014 5

Grand officier de l'ordre national du Mérite (2008)6

Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs, (1954).

Chevalier de la Légion d'Honneur et Médaille de la Liberté (Medal of Freedom) (1954)

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Une femme à Dien Bien Phu, éditeur Les Arènes, Paris, 2003 (ISBN 2-912485-54-1)

Grand prix de l'académie des sciences morales et politiques en 2004.

Médecin-commandant Grauwin, J'étais médecin à Dien Bien Phu, France-Empire, Paris, 1954 ; Press Pocket, Paris, 1963.

Émission télévisée « Visages inattendus de personnalités » sur KTO le 26 mars 2011.

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je croyais que même le grotesque avait des limites, il n'en est rien.

Je n'ai jamais dit que JE ne savais pas qui était Geneviève de Galard.

Ceux qui voudraient éventuellement en savoir plus à ce sujet ne sont probablement pas sots au point de ne pouvoir consulter le lien Wikipédia dédié plutôt que d'en faire un copier-collé informe en même temps que, tentant vainement d'étaler sa science, on se décrédibilise en écrivant "de Gallard" ou "delattre", montrant si besoin en était combien on domine, puisqu'il en est question, la lecture et l'écriture sans lesquelles aucune compréhension n'est possible.

Je rappelle malgré tout que, même s'il a mal été placé par son auteur, le sujet est "commission-incorporation dans la Marine Nationale" ce qui n'empêche pas un certain nombre de MITHA non-marins d'exercer par exemple dans des casernes ou CIRFA où ils ne se livrent même pas à la bobologie mais à une sorte de "médecine du travail": ils ont le droit, s'ils peuvent l'exercer, à cette préférence comme d'autres à celle des opérations extérieures, ce n'est pas déshonorant et l'on a besoin des deux (à propos, "shrapnel", ça ne prend pas de "c", quand on est illettré, on perd son droit à donner des leçons).

Mais, sur ce, et constatant, c'est dommage, que la discussion ne peut continuer tant elle est polluée par un galimatias aussi ordurier dans la forme que dans le fond, je ne participerai plus à celle-ci dans ces conditions, mais ne m'empêchant pas, jusqu'à plus ample informé, d'écrire ce que j'ai envie d'écrire par ailleurs parce que des méthodes que l'on peut, au choix, qualifier de fascistes ou d'arguments de cour de récré sur le niveau intellectuel desquels j'opte plus volontiers (du style, "va rejoindre le fan club de Nabila", même si toujours fâché avec les "L", pour le coup il y en a 2) visent à cet effet.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

BRUCINE,

Que Nabila s'écrive avec un L ou deux, je m'en tape complètement, c'est ta culture, ta référence pas la mienne.

De plus évite de parler de fascistes, tu ne comprends même pas la signification de ce mot, et surtout tu tombes directement dans ce que l'on peut appeler de la diffamation, tu me diras tu n'es plus a cela près.............

Je penses que tu vas recevoir une citation a comparaitre pour injures et diffamations publiques, ton adresse IP n'étant pas difficile a obtenir.

Bonne soirée

" Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...