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Protection des Français


Messages recommandés

Le nombre de ces spécialistes du « contre-terrorisme » ferroviaire reste confidentiel. Et si, selon Le Figaro, « ils n’interviendront pas sur les faits de petite et moyenne délinquance pour des raisons de couverture », l’idée est qu’ils puissent couvrir les 14.000 trains reliant quotidiennement les plus de 3.000 gares du réseau français, parmi lesquels 800 TGV. La France serait le seul pays à disposer de ces « train marshalls ».

 

Fait quand même une sacrer zone a squatter ! Après c'est en duo avec une surveillance , donc suivant les passagers , ect ... c'est pas non plus n'importe comment a la chance !

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Non je vois sa plus comme un système de degrés de menance suivant les trains et les info du moment .

Quand c'est un peu douteux , op un pti binôme , voir trinôme si grosse menace .

Assez simple en fait , c'est un peu pareil dans les FS en irak ect ... avec les QRF suivant la période du moment .

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http://forcesoperations.com/nouveaux-pistolets-et-pistolets-mitrailleurs-pour-les-forces-de-lordre-francaises/

Nouveaux pistolets et pistolets mitrailleurs pour les forces de l’ordre françaises

Deux marchés ont été récemment conclus pour équiper, d’une part, la Police nationale et, d’autre part, cette même police et la Gendarmerie nationale.

Le premier concerne des pistolets d’entraînement Glock 17, le second des pistolets mitrailleurs Heckler und Koch dont le type n’est pas spécifié dans l’avis d’attribution de marché mais qui doit être l’UMP.

Glock-17.jpg

Le Glock 17 acheté en 392 exemplaires pour la Police nationale française (photo : Glock)

Le premier marché – d’une valeur hors-TVA de 180.320 EUR – a été conclu le 15 juin dernier avec la firme française SAS BGM dont le siège est établi à Claye Souilly (77). Il porte sur l’acquisition de 392 pistolets d’entrainement Glock 17 au profit de la Police nationale. L’accord cadre a été passé via une procédure négociée sans mise en concurrence conformément aux dispositions de l’article 30 3o C du décret 2016-360 du 25.3.2016 relatif aux marchés publics.

Les futurs services opérationnels seront donc dotés d’arme de poing Glock 17 pour leurs missions opérationnelles. L’attributaire du marché est le seul opérateur proposant les pistolets Glock 17 d’entraînement. En effet, la société Glock Safe Action Pistols a donné l’exclusivité de distribution de ces produits à BGM. Ces éléments justifient le passage du marché via une procédure négociée sans mise en concurrence conformément aux dispositions de l’article 30 3o C du décret 2016-360 du 25.3.2016 relatif aux marchés publics.

Soit dit en passant, l’arme tire sa désignation du simple fait qu’il s’agit du 17e brevet déposé par la firme. En août 2017, Glock a présenté la 5e génération de ses pistolets 17 et 19, chambrés pour la cartouche de 9x19mm Parabellum, d’où leur désignation « Gen5 ». Les améliorations portent sur l’ergonomie et la fiabilité. Beaucoup de leurs pièces ne sont pas interchangeables avec ceux des générations antérieures.

Le second marché, dont Forces Operations a choisi de rapporter la passation, concerne la fourniture de pistolets mitrailleurs de calibre 9×19 mm et de leurs équipements périphériques au profit de la Gendarmerie Nationale et la Police Nationale. Conclu le 3 juillet dernier au bénéfice de Heckler und Koch France SAS, il se monte à 3.215.460 EUR. L’arme concernée est probablement le Heckler und Koch HK UMP (Universale Maschinenpistole, pistolet mitrailleur universel), un pistolet mitrailleur commercialisé depuis 1999 et conçu initialement pour le marché policier nord-américain, avec l’ambition d’y remplacer le célèbre MP5.

Doté d’une carcasse en polymère et d’un mécanisme plus simple que celui du célèbre MP5, l’UMP – qui pèse 2,2 kg sans munitions – est moins cher et plus léger. Il semble pourtant compléter les arsenaux plutôt que se substituer au MP5 et à son considérable succès commercial et opérationnel. Un certain nombre d’UMP sont déjà en dotation dans la gendarmerie nationale française depuis plusieurs années, au moins depuis 2008. Il a également été choisi comme remplaçant au pistolet mitrailleur Beretta 12SD de la police nationale.

Ces armes permettront aux services opérationnels de disposer d’une arme collective permettant d’assurer une capacité de riposte précise, de jour comme de nuit, à des distances d’engagement supérieures à celle de l’arme de poing. Ce projet vise à renouveler l’armement d’épaule des forces de sécurité intérieure.

Ces armes utiliseront l’ensemble des munitions de calibre 9×19 mm en service courant au sein du Ministère de l’Intérieur. Elles seront accompagnées d’accessoires favorisant l’ergonomie, la prise en main, la prise de visée et le tir.

À titre indicatif, les besoins estimatifs pour la durée de l’accord-cadre sont de l’ordre de 2.000 PM de «service opérationnel» munis de leurs équipements périphériques, 600 PM de «théorie et manipulation» munis de leurs équipements périphériques, 200 solutions pour le tir réduit, 600 bouchons de tir à blanc, 50 témoins de chambre vide, 50 kits individuels d’entretien, 75 lots de 10 chargeurs, 50 housses de transport, 30 bretelles tactiques, 50 poignées tactiques, 30 rails Picatinny (pour fixer des accessoires), 100 silencieux, 2.500 porte-chargeurs et 30 kits armuriers ; à propos des rails, l’UMP en compte deux, l’un au-dessus de l’arme et l’autre au niveau de la garde, et peut en recevoir deux supplémentaires sur les côtés. Ces rails standards permettent de monter rapidement une très large gamme d’accessoires : lunettes, viseur à acquisition rapide de type reflex comme les EOTECH, pointeur laser IR, lampe tactique, poignées tactiques. Le cache-flamme est conçu pour accepter un silencieux QD (quick detachment) « clipable ».

Le marché inclut également deux sessions de formation «maintenance du pistolet mitrailleur».

Ya Rab Yeshua.

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Et dire que le glock 17 avait été éliminé de la course dès le départ lors du précédent marché, qui a vu le sig l'emporter, car il n'avait pas le marteau apparent. C'était pourtant pas il y à 50 ans. Comme quoi il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis. 

Modifié par SG5375
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Il y a 6 heures, SG5375 a dit :

Et dire que le glock 17 avait été éliminé de la course dès le départ lors du précédent marché, qui a vu le sig l'emporter, car il n'avait pas le marteau apparent. C'était pourtant pas il y à 50 ans. Comme quoi il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis. 

Si je me rappelle , notre moniteur de tir nous avait vendu le SIG, en raison  d'une économie des couts d'entretien (pièces de rechange ), vu que toutes les forces de l'ordre avait le SIG, même s'il était un peu plus cher que le glock.

On recommence a diversifier les armes .

Mais bon , les voies des marchés administratifs sont impénétrables .

 

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Il y a 14 heures, La Nueve a dit :

 

Mais bon , les voies des marchés administratifs sont impénétrables .

 

pour en avoir passé plusieurs, je te confirme, c'est un bel idéal équité des candidats, transparence, etc.) mais purée certaines machines à gaz. Et puis l'argent, parfois immédiat...

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

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Alain Chouet, spécialiste du terrorisme : «Une juridiction qui démotive…»

(Alain Chouet, spécialiste du terrorisme, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE

Quelle analyse faites-vous de ce Parquet antiterroriste ?

Je suis extrêmement réservé sur ce PNAT. Je ne pense pas que cela s'imposait. Cela crée une juridiction spécialisée qui démotive les autres parquets et qui a, comme toute juridiction spécialisée, tendance à s'autoperpétuer. Que devient un Parquet national antiterroriste le jour où il n'y a plus de terroristes ? Il s'invente des raisons de continuer à exister ? C'est une question à poser dans un état de droit.

Et concernant la cellule de suivi des terroristes et radicalisés qui seront libérés ?

Cela aurait déjà dû être fait depuis longtemps. Mais on peut noter qu'enfin, une volonté s'affiche de prendre des mesures… Par contre, j'ai immédiatement envie de poser la question des moyens, pas seulement financiers mais humains. Car le problème, ce n'est pas seulement le policier qui devra suivre ces salafistes libérés, ce sont aussi les psychologues, les sociologues et les spécialistes de la réinsertion qu'il faudra recruter pour être efficace. Quels effectifs pour assurer le suivi des individus, sachant qu'ils seront 450 à sortir d'ici 2019 ? La grève des surveillants de prison nous a rappelé l'état des troupes, épuisées, et l'on sait celui des commissariats, de la fonction publique, les coupes budgétaires… Mais il faudra aussi «toiletter». Je me souviens d'une circulaire de la chancellerie qui interdisait au service de renseignement pénitentiaire de mettre sur écoute les téléphones portables des détenus… alors que ceux-ci n'avaient pas le droit d'en avoir en prison ! Il y a donc aussi toute une culture à revoir.

C'est-à-dire ?

Le terrorisme n'est pas une criminalité comme les autres. Le problème de ceux qui doivent lutter contre, c'est de lutter en amont. En France, on n'arrête pas quelqu'un qui achète de la mort aux rats en disant qu'il va peut-être empoisonner sa belle-mère. En revanche, celui qui achète une kalachnikov, il faut l'arrêter avant qu'il passe à l'acte. Mais pour cela, il faut le savoir et donc lui faire un «procès d'intention», ce qui n'est pas dans notre culture juridique. Mais qui est aussi un grave problème philosophique dans une démocratie… Comment le résout-on ? C'est toute la question.

Recueilli par Pierre Challier

https://www.ladepeche.fr/article/2018/07/14/2836067-alain-chouet-specialiste-du-terrorisme-une-juridiction-qui-demotive.html

 

 

 

 

https://francais.rt.com/france/52566-attentats-13-novembre-recours-victimes-contre-les-defaillances-de-letat-rejete

Attentats du 13 Novembre : le recours de victimes contre les «défaillances» de l'Etat rejeté

Le tribunal administratif de Paris a annoncé ce 18 juillet avoir rejeté le recours déposé contre l'Etat, par des victimes des attentats du 13 Novembre 2015. Ces derniers pointaient les «défaillances» de l'Etat dans la détection des djihadistes.

Le recours déposé par une trentaine de victimes des attentats du 13 Novembre 2015 concernant les «défaillances» de l'Etat, notamment sur la détection des djihadistes et la sécurisation du Bataclan, a été rejeté ce 18 juillet par le tribunal administratif de Paris. «Les éléments produits par les requérants ne permettent pas d'établir [...] que l'Etat aurait engagé sa responsabilité du fait d'un défaut de surveillance [des auteurs des attaques]», a conclu le tribunal dans un communiqué de presse.

Par ailleurs, «aucune faute ne peut être imputée aux services de police pour n'avoir pas mis en œuvre un dispositif de sécurité particulier autour de la salle de spectacle du Bataclan après le mois d’août 2015», poursuit le tribunal administratif de Paris. L'enquête ouverte après des menaces d'attentat contre la salle de spectacle en 2009 avait abouti à un non-lieu, «la réalité d'un tel projet [n'ayant] pu être établie», rappellent les juges.

«Aucun élément ne permet d'engager la responsabilité de l’État à raison d'un défaut de coopération des services de renseignement français avec les services des autres États membres de l'Union européenne en matière de terrorisme», a enfin estimé le tribunal.

«Le 13-Novembre n'était pas une fatalité», avait affirmé lors de l'audience du 4 juillet Samia Maktouf, avocate de victimes et familles des victimes des attentats à Paris et Saint-Denis, qui ont fait au total 130 morts et des centaines de blessés. Samia Maktouf, à l'origine du recours, avait énuméré les «dysfonctionnements liés au défaut de surveillance et de vigilance des services de sécurité de l’Etat français», et la circulation des djihadistes au sein de l'espace Schengen. L'avocate avait également reproché la non-intervention des soldats de l'opération Sentinelle, qui ont reçu «instruction de ne pas pénétrer dans une salle où une scène de guerre se déroulait».

Depuis trois ans, certaines victimes et familles de victimes s'indignent que des militaires de Sentinelle, une force créée après les attentats de janvier 2015, présents près de la salle où 90 personnes ont été tuées, n'aient pas eu le droit d'intervenir. Une plainte au pénal a d'ailleurs été déposée le 8 juin pour «non-assistance à personne en péril».

Ya Rab Yeshua.

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http://www.opex360.com/2018/07/19/apres-attentats-de-2015-remarques-acrimonieuses-ont-ete-aux-familles-de-militaires/

Après les attentats de 2015, des remarques « acrimonieuses » ont été faites aux familles de militaires

Publié en juillet 2016, le rapport de la commission d’enquête relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme avait indiqué que les soldats de Sentinelle avaient fait l’objet de 509 provocations/insultes « répertoriées » depuis janvier 2015, soit après la tuerie de Charlie Hebdo, la prise en otage des clients d’un supermarché « Hyper Casher » et l’assassinat de Clarissa Jean-Philippe, une jeune policière.

Mais, visiblement, les militaires n’ont pas été les seuls à avoir été insultés et provoqués. Leurs familles aussi. C’est en effet ce qu’on peut lire dans le 12e rapport annuel du Haut comité d’évaluation de la condition militaire [HCECM], qui vient d’être rendu public [.pdf, page 102].

https://www.defense.gouv.fr/content/download/537461/9237079/file/RAPPORT_HCECM_12e_V20180615_VFINALE.pdf

Ainsi, est-il avancé dans ce document, « le Haut Comité a constaté tant auprès des militaires rencontrés que des bureaux du logement du ministère des Armées ou des bailleurs intervenant au profit de la gendarmerie et des armées que les attentats en matière de sécurité des logements accueillant les militaires étaient en forte hausse. »

« Par exemple, continue le HCEM, après les attentats de 2015, des familles de militaire dispersées avec des ressortissants de la société civile autour de plusieurs cages d’escalier ont demandé à être regroupées pour renforcer la sécurité des accès aux logements attribués à des militaires. »

Et la raison de ces demandes a de quoi inquiéter… « Ces requêtes ont émergé à la suite de remarques acrimonieuses faites aux familles sur l’activité du conjoint militaire », est-il expliqué dans ce rapport.

Le ministère des Armées a rapidement répondu à ces demandes. « Dès l’automne 2015, un plan PRODEF dédié aux logements domaniaux du ministère des armées a ainsi été lancé à hauteur de 4 M€ en partant des besoins exprimés par les échelons locaux ; il a permis le financement de la sécurisation d’entrées d’immeubles, l’installation de digicodes ou de vidéo-codes et l’installation de clôtures », note le HCECM.

La Direction générale de la gendarmerie nationale [DGGN] a également pris des initiatives pour améliorer la sécurité de ses casernes, dont certaines ont été prises pour cible par des groupuscules d’extrême-gauche [une en Haute-Vienne, deux dans l’Isère].

« Le Haut Comité souligne l’importance que représentent ces mesures pour la confiance des familles et le soutien qu’elles apportent aux militaires. Ces efforts, nécessaires pour le Haut Comité, sont à poursuivre », est-il affirmé dans le rapport.

Plus de 47.550 logements (dont 5.207 en outre-Mer et à l’étranger) composent le parc global du ministère des Armées. Ce dernier comprend des « logements domaniaux et des logements pris à bail ou réservés par convention auprès d’un bailleur », rappelle le HCECM.

« La politique du logement remplit un double objectif : compenser la mobilité exigée des militaires et répondre à une préoccupation sociale au profit des personnels à revenus modestes. Elle a été conçue comme une aide, accordée en priorité mais non exclusivement, au personnel chargé de famille et n’est considérée comme un droit que lorsqu’il s’agit de la contrepartie d’une obligation de loger (logements concédés par nécessité absolue de service ou utilité de service) », explique le Secrétariat général pour l’administration [SGA].

Ya Rab Yeshua.

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  • 2 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

http://forcesoperations.com/et-1-200-pistolets-automatiques-pour-la-ratp/

Et 1.200 pistolets automatiques pour la RATP !

L’avis de marché publié le 21 juin 2017 sur la plateforme européenne Ted (Tenders Electronic Daily) précisait que la RATP visait plus précisément la « Fourniture, livraison et maintenance d’armes semi-automatique de calibre 9 mm, de leurs accessoires associés (chargeurs, étuis, nécessaire de nettoyage, porte chargeur…) et de munitions calibre 9 mm ». Ce contrat, d’une durée de cinq ans, serait séparé en deux lots distincts : l’un concernant les 1.200 pistolets pour un montant de 1,2M€, et l’autre visant l’achat de 805.000 munitions de calibre 9 mm pour 500 000€.

Bref, le marché annoncé en 2017 a été passé. Le premier lot portant la fourniture, livraison et maintenance d’armes semi-automatiques de calibre 9 mm, de leurs accessoires associés (chargeurs, étuis, nécessaire de nettoyage, porte chargeur…) a été attribué le 25 juin à Sunrock, une PME française établie à Clamart.

Celle-ci équipera les agents de la RATP avec un XDM-9 3.8, « bien connu pour sa précision, sa robustesse et ses multiples sécurités : queue de détente, pédale de sureté, sécurité aux chocs et sécurité au démontage.

XDM-9-38-320x261.png

Un autre avantage du XDM-9 3.8 est sa très grande capacité de chargeur de 19 munitions, soit 38 munitions par agent du GPSR (contre 30 en Police Nationale) », explique-t-elle sur son site web. Les livraisons commenceront ce mois-ci afin d’équiper tous les agents du GPSR avant la fin octobre.

Le second lot, portant sur la fourniture et livraison de 805.000 (quantité médiane estimée) munitions calibre 9 mm, a été attribué le 2 juillet à Ruag Amnotec France, une autre PME, établie à Cergy. Il reste à programmer des entraînements à la hauteur des risques sécuritaires identifiés et pressentis. Dans un environnement comme les transports en commun, la parfaite maîtrise d’une arme constitue un impératif incontournable.

Comme nous l’écrivions – et l’interrogation reste d’actualité –, l’ampleur de la commande posait question : le millier d’agents de sécurité de la RATP, même en comptant les 110 postes alors à pourvoir, atteignait à peine le nombre d’armes envisagé. D’autant plus que le décret de novembre 2016 en limite l’usage aux agents présentant au minimum cinq années d’expérience au sein du service de sécurité de la RATP et disposant d’un agrément préfectoral nominatif. Dès lors, soit la RATP destine une partie du lot à des fins d’entraînement, soit celle-ci anticipe le renforcement de ses effectifs. La situation sécuritaire fait pencher la balance pour la seconde possibilité.

Coordonnées depuis un PC commun installé au sous-sol de la Maison de la RATP, les forces de sécurité veillant sur les transports en commun parisiens rassemblent, outre les agents de la RATP, 2.800 agents de la SNCF ainsi que 1.275 policiers nationaux de la police des transports. L’unification de ces trois brigades est à l’étude.

PS. Je pressens les bavures à venir………...

Ya Rab Yeshua.

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Parce qu'au vu de la dégradation rampante et quotidienne de la sécurité, notamment dans le vaste domaine des transports, et sachant le degré de violence auquel sont quotidiennement confrontés les agents de la RATP, verbal et/ou physique, il y a fort à craindre des réactions intempestives. Voire incontrôlées que notre justice aura tôt fait de qualifier de "réponse inappropriée".

Je vous laisse deviner la suite.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Selon moi, ce pistolet avec la capacité de son chargeur risque de susciter l'intérêt d'un certain nombre de "crétins" désireux de posséder une arme de poing "dissuasive". Et pour cela, ils n'hésiteront pas à passer à l'acte. J'ai lu que la formation ISTC (pour faire simple) dispensée aux agents de la RATP concernés par cette mesure l'était par des formateurs "maison", eux mêmes formés par des formateurs police. Et que cette formation est cadrée par la loi, surveillée par la police et le défenseur des droits. Donc là-dessus, je fais a priori confiance.

Mais l'entraînement au tir suit-il le même élan ? En est on à chipoter le nombre de munitions destinées aux séances de tir d'entraînement ? Qu'en sera t'il des futurs agents RATP à recruter ? Applique t'on en matière de sécurité des candidats recrutés la rigueur voulue de manière à éviter les dysfonctionnements observés il y a peu sur certains agents ADP découverts "radicalisés" ?

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Sans oublier que n'importe qu'elle arme , on n'apprends pas à la manipuler sans risque en 1 mois !

Dans un milieu dense , il est très facile par ricochet , ect ... de toucher ce que l'ont ne veut pas , sans oublier les tirs involontaire par panique . ( l'arme est suffisamment sécuriser pour ne pas tirer tout seul non plus )

Donc on verra bien avec le temps , mais moi j'ai mis plusieurs années pour pouvoir me déplacer en toute sécurité qu'il est plein de monde , obstacle ect ... et pouvoir faire feu sans risque pour mes collègues ou les gens autour .

Exemple simple , la queue de détente possède un poussoir de sécurité , mais cela n’empêche pas le tir pour autant involontaire , suffit que l'agent pris de sursaut panique un peu et paf il va tirer par ''réflexe" involontaire , déjà arriver par pleins de soldats en opex pourquoi pas eux ...

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Au dela de la formation, la solution passe par un recrutement adapté et le problème est bien là. Il y a déja pas mal d'agents Suge et ratp armés sans que cela ne pose de  problèmes particuliers. Mais quid du présent et du futur proche ? Personne n'ignore que la demande en personnel de qualité est bien supérieure à l'offre. Quand on connait les consignes sur les notes dans les concours, que les barèmes baissent (qui a dit ça... Pas moi :X),  il va falloir comprendre que la maîtrise de la dégringolade du niveau de recrutement et de formation générale des les forces de sécurité dans leur ensemble est un vrai enjeu. Sinon à défaut je rejoins @BTX, en ce qui concerne "les écarts de conduite", par contre je ne vise pas la Ratp pour l'usage des armes. 

 

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Il y a 9 heures, SG5375 a dit :

Au dela de la formation, la solution passe par un recrutement adapté et le problème est bien là. Il y a déja pas mal d'agents Suge et ratp armés sans que cela ne pose de  problèmes particuliers. Mais quid du présent et du futur proche

Il n'y a qu'a voir la baisse de niveau de recrutement dans la Police Nationale.

Il y a 10 heures, BTX a dit :

Qu'en sera t'il des futurs agents RATP à recruter ? Applique t'on en matière de sécurité des candidats recrutés la rigueur voulue de manière à éviter les dysfonctionnements observés il y a peu sur certains agents ADP découverts "radicalisés" ? 

Il y a pas trop de comparaison .

Et malheureusement les radicalisés , ils sont partout.

 

Dans les années 2000 ,  nous avons fait des missions de secu dans le métro, et ayant discuté avec les agent du GPSR que j’ai rencontré, leur formation était plus importante que  la notre (leur équipement aussi ).

Il faut dire que dans l’armée a Bourbaki , qui est la Police Nationale, seuls les services « vitrine » ( RAID, GIPN ) bénéficient de formation et d’entrainement correct .

Dans les autres services, assurer la formation OBLIGATOIRE tient de la gageure , et  malgré les textes du RGEPN, et les circulaires , il faut faire des interventions syndicales pour effectuer les deux heures hebdomadaires de sport ( manque effectifs , raisons de service , bla bla …) .

à l’instant, La Nueve a dit :

Il n'y a qu'a voir la baisse de niveau de recrutement dans la Police Nationale.

Il y a pas trop de comparaison .

Et malheureusement les radicalisés , ils sont partout.

 

Début des annnées 2000 ,  nous avons fait des missions de secu dans le métro, et ayant discuté avec les agent du GPSR que j’ai rencontré, leur formation était plus importante que  la notre (leur équipement aussi ).

Il faut dire que dans l’armée a Bourbaki , qui est la Police Nationale, seuls les services « vitrine » ( RAID, GIPN ) bénéficient de formation et d’entrainement correct .

Dans les autres services, assurer la formation OBLIGATOIRE tient de la gageure , et  malgré les textes du RGEPN, et les circulaires , il faut faire des interventions syndicales pour effectuer les deux heures hebdomadaires de sport ( manque effectifs , raisons de service , bla bla …) .

 

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  • 3 semaines plus tard...

Lille : une patrouille Sentinelle ouvre le feu sur un véhicule , l’homme en fuite

Un véhicule est toujours activement recherché dans Lille et sa périphérie. Selon une information d’Europe 1, confirmée à LCI, les soldats d’une patrouille Sentinelle ont ouvert le feu à plusieurs reprises sur une voiture qui a foncé sur l’un d’eux samedi soir dans les rues de la capitale des Hauts-de-France. La personne au volant a réussi à prendre la fuite.

Selon nos informations, il est environ 21h20 samedi quand le véhicule de la force Sentinelle en patrouille est percuté par une Renault Megane après une queue de poisson, à l’entrée du périphérique à hauteur du casino Barrière. La voiture, arrêtée à un feu rouge, est encerclé par les militaires. C’est là que le conducteur redémarre en fonçant sur un soldat, positionné face au véhicule. Trois tirs de pistolet automatique et un Famas retentissent, sans que l’on sache s’ils ont touché la voiture.

Pour le moment, une source proche du dossier a fait savoir à LCI qu’aucun élément ne permet d’affirmer qu’il s’agisse d’un acte en lien avec une quelconque radicalisation. La sécurité publique de Lille a été saisie de l’enquête. Le conducteur, qui a pris la fuite, est en ce moment recherché.

https://www.lci.fr/faits-divers/lille-une-voiture-fonce-sur-une-patrouille-de-l-operation-sentinelle-les-militaires-ouvrent-le-feu-2096547.html

Ya Rab Yeshua.

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http://forcesoperations.com/40-000-grenades-de-desencerclement-pour-les-forces-de-lordre/

40 000 grenades de désencerclement pour les forces de l’ordre

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Bonne nouvelle donc pour les quelques munitionnaires français, tels qu’Alsetex ou Verney-Carron, car l’appel d’offres exclut tout paramètre financier susceptible de les éliminer d’emblée de la course. Le tout pour un budget estimé à 1,72M€ HTVA. La date limite d’envoi des offres est fixée au 29 novembre prochain.

Etalé sur quatre années, ce marché vise en priorité l’acquisition d’un stock minimal de sécurité de 2.000 unités. Mais cet accord-cadre n’envisage pas de quantité maximum, tout au plus des quantités estimatives exprimées annuellement. Selon la SAELSI*, ce sont en tout 40.000 grenades qui pourraient être acquises sur la durée du marché. Un chiffre impressionnant, et qui a le mérite de fixer les contours du besoin annuel, estimé par la SAELSI à 10.000 grenades par an. Loin d’atteindre ce chiffre, l’utilisation de pareils dispositifs est néanmoins en forte hausse ces dernières années. Dans son rapport annuel pour 2017, l’IGPN évoque ainsi un total de 866 GMD utilisées en 2016 CRS et Gendarmerie confondus, contre 417 tirs répertoriés deux ans plus tôt.

Cette annonce survient dans un contexte particulièrement trouble pour ce type de grenade également appelé « dispositif balistique de désencerclement » (DBD) ou « dispositif manuel de protection » (DMP) et régulièrement pointé du doigt lors de confrontations musclées entre manifestants et forces de l’ordre. Entrées en service en 2004 au sein de la Police, ces grenades produites par S.A.P.L (Orne) projettent 18 galets en caoutchouc dans un rayon d’environ trente mètres et émettent un fort effet sonore, de l’ordre de 165 décibels. Bien que classée dans la catégorie des armes non létales, la grenade de désencerclement peut blesser gravement en cas d’utilisation inappropriée. Au moins cinq blessés graves ont été recensés en 2017, dont deux à la tête.

Et au vu de cette nouvelle commande, les forces de l’ordre semblent être impuissantes à trouver une « solution miracle ». « Aucun produit réellement innovant dans le domaine du maintien de l’ordre (contrôle ou dispersion de foule) n’a été identifié, et aucun projet n’émerge », rappelaient IGPN et IGGN en 2014. Le concept de GMD, qui remonte à une vingtaine d’années, est même considéré comme « l’évolution la plus récente » en matière de munition de maintien de l’ordre. À court terme, seules l’évaluation précise de la dangerosité des munitions et l’évolution des doctrines d’emploi sont susceptibles d’infléchir la courbe des accidents.

*SAELSI : Service de l’achat, des équipements et de la logistique de la sécurité intérieure, créé en 2014 assure la conception, l’achat et la mise à disposition des équipements de la sécurité civile, de la gendarmerie et de la police.

 

Ya Rab Yeshua.

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  • 2 semaines plus tard...

https://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/en-juin-israeliens-ont-aide-france-a-dejouer-attentat-161093

En juin, les Israéliens ont aidé la France à déjouer un attentat

C’est une fuite dont les autorités françaises se seraient bien passées. En pleine Conférence des ambassadeurs, l’agence Reuters a révélé récemment le contenu d’une note interne du Quai d’Orsay, datée du 20 août, recommandant aux fonctionnaires français de ne pas se rendre en Iran, en raison du « durcissement » du régime à l’égard de Paris. Rédigé par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Maurice Gourdault-Montagne, ce document à usage interne fait explicitement référence à « l’affaire de Villepinte », une tentative d’attentat fin juin.

Si cette affaire est tellement sensible, c’est – comme l’Opinion peut le révéler – en raison de l’implication des services de renseignement israéliens qui ont aidé la France, la Belgique et l’Allemagne à déjouer cet attentat. La collaboration étroite entre Israël et les services occidentaux contre l’Iran est un sujet sur lequel la diplomatie française n’aime guère s’étendre. D’où l’embarras de Paris sur ce dossier et la colère sourde après la diffusion de cette note confidentielle.

Le samedi 30 juin, un couple de Belges d’origine iranienne, Asmir et Nasmeh S., est arrêté par la police belge. A bord de leur voiture, on découvre des explosifs (500 grammes de TATP), ainsi qu’un mécanisme de mise à feu. Le couple âgé d’une trentaine d’années, avait, semble-t-il, pour projet de se rendre à Villepinte, au nord de Paris, afin d’y commettre un attentat contre l’Organisation des moudjahidines du peuple iranien (OMPI).

Ya Rab Yeshua.

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http://www.opex360.com/2018/09/13/societe-ne-protege-anges-gardiens-vraiment-malade-denonce-commandant-de-brigade-sapeurs-pompiers-de-paris/

« Une société qui ne protège pas ses anges gardiens est vraiment malade », dénonce le commandant de la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris

Poignardés lors d’une intervention Villeneuve-Saint-Georges [Val-de-Marne], le 4 septembre, deux militaires de la Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris [BSPP] ont été les victimes de la folie d’un homme qu’ils étaient venus secourir. Malheureusement, le sapeur de 1ère classe Geoffroy Henry, 27 ans, ne survécut pas à ses blessures.

D’où la colère exprimée par le général Jean-Claude Gallet, le commandant de la BSPP, qui, dans un courriel interne qui a « fuité » dans la presse, relaie « la profonde tristesse, colère, indignation » des militaires qui sont sous ses ordres.

Et cette colère est d’autant plus justifiée que, d’année en année, la violence contre les sapeurs-pompiers, qu’ils soient civils ou militaires, tend à se banaliser. Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), 2.280 soldats du feu ont été agressés en 2016, soit 17% de plus que par rapport à l’année précédente. et 414 véhicules ont été endommagés lors d’agressions, pour un préjudice total estimé de 283.442 euros.

Dans un premier temps, le général Gallet dénonce « la faible communication entre les acteurs de l’urgence qui fonctionnent avec des schémas éculés qui n’ont plus lieu d’être », avant de réclamer des mesures pour qu’un tel drame ne se reproduise pas.

« Une société qui ne protège pas ses anges-gardiens est vraiment malade », a ensuite déploré le commandant de la BSPP, avant d’évoquer l’enchaînement des faits ayant entraîné la mort du sapeur de 1ère classe Henry. Ainsi, explique-t-il, les pompiers de Paris avaient été sollicités par le Samu pour prendre en charge un homme « agité, aux antécédents psychiatriques (schizophrène, bipolaire) et en rupture de traitement » mais sans « notion de dangerosité immédiate ».

Aussi, poursuit-il, le drame qui s’est joué à Villeneuve-Saint-Georges est la conséquence d’une « demande de [leurs] moyens qui n’est pas fondamentalement justifiée et [d’]une sous-évaluation du caractère dangereux » de l’agresseur. Et d’ajouter : « Le sapeur-pompier de Paris […] n’est pas là pour être le punching-ball d’une violence irrationnelle, voire d’une haine. »

En clair, le général Gallet estime que le « coeur du métier » de la BSPP est la lutte contre les incendies et les urgences graves… Et non l’intervention pour des cas pouvant relever d’autres services.

Enfin, le général Gallet veut « faire le tour des instances judiciaires pour mettre en place une véritable politique de tolérance zéro afin d’enrayer la hausse sans fin des violences gratuites qui visent les secours. »

Pour rappel, la Brigade des sapeurs pompiers de Paris, forte d’environ 8.500 personnes, est une unité de l’armée de Terre placée pour emploi sous l’autorité du préfet de police de Paris.

Ya Rab Yeshua.

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Il y a 4 heures, dragunov a dit :

Pour info, certains de nos camarades Officiers de Sapeurs-Pompiers commencent à fréquenter de nouveau les stands de tir militaires...

Je dis , prudence, un pompier n'a pas être armé et en aucun cas  se servir d'une arme .

Notre nation qui est assez laxiste avec l'exemplarité de nos élus , ne l'est plus du tout, en ce qui concerne les serviteurs de l'état en tenue .

https://lessor.org/cinq-ans-dinterdiction-dexercer-requis-contre-un-gendarme-des-ardennes-pour-une-gifle-a-un-mineur-son-avocat-sinsurge/

Modifié par La Nueve
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