Aller au contenu
Aumilitaire
  • Rejoignez Aumilitaire

    Inscrivez vous aujourd'hui et recevez le guide gratuit Aumilitaire

     

Protection des Français


Messages recommandés

La crise de foie et la mauvaise foi = là est la subtilité.

Je viens d'entendre sur RTL le MINARM = carrée ! Elle a remis les pendules à l'heure. Et laissé les crétins institutionnels, LFI et RN, à leurs fantasmes.

Pourtant demeure en sous-main une polémique rampante = la décision a été prise directement par Jupiter, sans avoir préalablement consulté le CEMA. J'ose croire que le MINARM l'a été, quoique…………..

BTX

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis fair-play je laisse la faute :p

Effectivement, dans tous les cas le premier tir ne viendra pas de mon groupe :ph34r: (...)

Les consignes sont les mêmes que d'habitude. Protéger, Dissuader, Rassurer.

De plus pas de communication quant au emplacement etc... 

 

"What is dead, May never die"

SEM 77 / 499-7

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 17 heures, BTX a dit :

Ils sont en effet 55% à s’y dire prêts et à consentir une réduction de leurs libertés au profit de leur sécurité

OK, j’espère que ce ne sont pas des personnes , qui fraudent le fisc, action qui pénalise le budget des armées de la police et de la justice .

Des personnes qui ne disent pas aux policiers et aux gendarmes qui les verbalisent : vous feriez mieux d'aller dans les citées au lieu d’embêter les "honnêtes citoyens".

Après, des régimes militaires , on en a eu en Europe, il y a pas si longtemps : Espagne , Portugal, Grèce , mais , bon comme l'histoire n'est plus enseigné a l'école , je peux comprendre .

  • Confused 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Deux hommes mis en examen pour avoir projeté un attentat à Paris

https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/paris-deux-hommes-mis-en-examen-a-paris-pour-avoir-projete-un-attentat-7797354252

Deux hommes, nés en 1998, ont été interpellés en Seine-et-Marne et placés en garde à vue le 25 mars 2019, indique le parquet de Paris mercredi 3 avril. Ils ont été mis en examen pour avoir projeté d'attaquer une école maternelle et des policiers. 

À l'issue de leur garde à vue, les deux suspects ont été déférés et présentés à un juge d'instruction dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 29 mars. Ils ont été mis en examen du chef "d'association de malfaiteurs terroriste criminelle" et placés en détention provisoire conformément aux réquisitions du parquet.

L'un des deux individus, connu de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), est considéré comme le principal auteur de ce projet d'attentat. En garde à vue, il a reconnu les faits. Selon BFMTV, il a raconté avoir voulu entrer dans une école, s'en prendre physiquement aux enfants, puis les prendre en otages en attendant l'arrivée des policiers. Il avait ensuite prévu de tuer les membres des forces de l'ordre. 

Admirateur de Mohamed Merah

Interpellé à son domicile de Seine-et-Marne, le jeune homme a évoqué Mohamed Merah, considérant l'auteur des tueries de Toulouse et Montauban en 2012 comme son mentor. Selon une source proche de l'enquête, il présente "une très forte instabilité psychiatrique" et  une "tendance suicidaire" qui aurait pu le pousser à passer à l'acte. Cependant, il n'a jamais été hospitalisé pour cela, selon nos informations. 

En garde à vue, il a mêlé des propos narcissiques, suicidaires et dépressifs, indique une source proche de l'enquête à RTL. Il a clairement émis l'intention de s'en prendre à des enfants, ce que les enquêteurs ont lié à des souffrances subies pendant l'enfance du suspect. 

Un profil atypique

L'homme présente un profil troublant. Il était en effet surveillé depuis 2015 par la DGSI pour avoir manifesté son attirance pour une forme d'islam radical. Il s'en était ensuite éloigné et les services de renseignement n'avaient plus détecté de contact avec les mouvances jihadistes ou salafistes. Inscrit malgré tout par précaution au fichier FSPRT (Fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste) en 2017, il a été arrêté en raison de son passage à l'acte imminent et non pas pour radicalisation.

C'est lorsqu'il a commencé à vouloir se procurer des armes il y a quelques que la justice a été saisie et que le parquet a décidé de son interpellation, a expliqué une source. "Il n'y a pas eu d'acte de préparation, pas de repérage", a souligné une source proche de l'enquête, indiquant qu'il évoquait "ses projets à l'oral". 

Le deuxième homme, l'un de ses amis, est moins impliqué. Il est soupçonné de complicité. 

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines plus tard...

Des policiers ont interpellé trois soldats de l’opération Sentinelle qui avaient frappé deux amis en train de jouer une partie de pétanque place des Pyramides, à Paris.

Trois soldats hors service de l’opération Sentinelle ont été placés en garde à vue à Paris après avoir agressé des boulistes près du jardin des Tuileries, rapporte La Chaîne Info sur son site web.

Selon LCI, vendredi 19 avril, vers 19h30, deux amis qui étaient en train de jouer à la pétanque place des Pyramides ont été approchés par «trois hommes visiblement ivres», dont l’un s’est emparé de leur cochonnet avant de le projeter au loin. En réaction, l’un des joueurs lui a fait un doigt d’honneur.

Les trois suspects se sont alors rués sur les boulistes et les ont roués de coups de poing et de pied. Des policiers sont rapidement intervenus pour interpeller les agresseurs, identifiés ensuite comme des membres de l’opération Sentinelle, affectés au 3e régiment Parachutistes d’infanterie de Marine.

Les deux boullistes, couverts d’ecchymoses au visage et au corps, ont porté plainte contre les militaires, placés en garde à vue après un passage par la cellule de dégrisement.

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 5 semaines plus tard...

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2019/05/21/ceinture-prolongee-et-bretelles-dans-les-vehicules-de-sentin-20249.html

Ceinture (prolongée) et bretelles dans les véhicules de Sentinelle

6b609a379bb382affada1013ad4cf0c6-lille-une-patrouille-de-l-operation-sentinelle-ouvre-le-feu-sur-une-voiture.jpg

Rien à voir avec l'obésité...

Pas facile d'accéder à un véhicule léger de la gamme "commerciale militarisée" lorsqu'on est entièrement équipé. D'où un avis d'appel public à la concurrence portant sur "l'acquisition de 7200 prolongateurs de ceinture de sécurité, souple homologués E4 ou équivalent, pour véhicule de gamme tactique ou commerciale".

L'avis précise que "les prolongateurs de ceintures de sécurité sont destinés à être utilisés sur les sièges avant et arrière des véhicules de gamme tactique ou commerciale de type Ford RANGER, Land-Rover DEFENDER, Renault KANGOO, dans le cadre de la mission Sentinelle".

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

- CRS, gendarmes mobiles, BRAV... quelles sont les sept familles des forces de l’ordre ?

 

Derrière leurs tenues de protection, les forces de l’ordre se ressemblent beaucoup. Pourtant, elles appartiennent à des corps très distincts et n’ont pas les mêmes fonctions.

Vêtus de noir ou de bleu marine, équipés de casques, de lourds gilets, de coques de protection, à cheval ou à moto… les forces de l’ordre sont nombreuses et bien visibles à chaque manifestation. Il ne s’agit toutefois pas d’un corps homogène mais de plusieurs unités, aux modes de fonctionnement spécifiques, certaines relevant de la police, d’autres de la gendarmerie.

·         Compagnie républicaines de sécurité (CRS)

 Paris, France le 1er Mai 2019 : Manifestation de Gilets Jaunes au départ de Montparnasse pour place d'Italie. Les manifestants sont nassés bd de l'hopital et les forces de l'ordre procèdent à des interpellations. BENJAMIN GIRETTE POUR LE MONDE

 Origine. Ce corps spécialisé créé en 1944 dépend de la direction générale de la police nationale (DGPN) et travaille le plus souvent en milieu urbain.

 Mission. Ils font partie des forces de sécurité mobile, qui interviennent sur l’ensemble du territoire national, en renfort des unités locales, selon les besoins : maintien et rétablissement de l’ordre, lutte contre la délinquance, le terrorisme ou l’immigration irrégulière. Ils peuvent aussi protéger des lieux et des personnes, interpeller ou évacuer...

 Effectifs. En 2018, ils étaient 13 100 fonctionnaires, répartis en soixante compagnies de 130 agents, auxquels s’ajoutent des compagnies spécialisées (deux en montagne, neuf autoroutières, six unités motocyclistes, un service de protection des personnalités..).

 Chaque compagnie est divisée en une section de commandement, deux sections d’appuis et de manœuvre (SAM) et deux sections de protection et intervention (SPI). Ces sections sont composées de trois groupes tactiques (A,B,C, ce dernier étant le groupe de commandement).

 Equipement. En uniforme bleu marine, les CRS disposent d’un équipement défensif : gilets pare-balles, protections pour bras et jambes, bouclier antiémeute, bâton de défense... Ils peuvent être dotés de grenades lacrymogènes, de désencerclement, de lanceurs de balles de défense (LBD) mais aussi de pistolets, de fusils d’assaut ou de fusils de précisions. Les CRS disposent aussi d’engins lanceurs d’eau pour disperser les manifestants.

 Signes distinctifs. Ils sont repérables aux bandes jaunes apposées sur leur casque depuis 1968, et à leur insigne, un flambeau entouré de feuilles de chêne. Attention, certains CRS des unités spécialisées SPI-4G ont un uniforme « basse visibilité » sans bandes jaunes sur le casque et avec un écusson plus discret.

 Les CRS portent aussi sur le dos leur numéro de section (1,2,3,4) et la catégorie de groupe tactique (A, B, C). Le numéro de la compagnie est habituellement indiqué à l’arrière du casque.

·         Escadron de gendarmerie mobile (EGM) 

Origine.  Créés en 1921, les escadrons de gendarmerie mobile sont l’équivalent militaire des CRS. Ils dépendent de la direction générale de la gendarmerie nationale.

 Mission. Les forces de gendarmerie mobile maintiennent et rétablissent l’ordre, y compris dans des situations délicates d’émeute urbaine ou d’insurrection armée. Ils interviennent en outre-mer et peuvent être mobilisés dans des opérations extérieures.

 Effectifs. En 2018, ils étaient 12 801 militaires, répartis en 109 escadrons de 110 gendarmes, et dix-huit groupements de gendarmerie mobile. Certains ont des compétences particulières : sept escadrons de blindés, dix spécialisés montagne et cinq dédiés aux escortes nucléaires.

 Equipement. Ils ont le même équipement et armement que les CRS, mais disposent aussi de matériel militaire plus lourd : véhicules blindés, hélicoptères, drones...

 Signes distinctifs. Ils sont reconnaissables à la couleur de leur casque, d’un bleu plus clair que celui des CRS. Ils portent aussi dans le dos l’inscription « gendarmerie ».

·         Compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI)

 Origine. La première Compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) a été créée en 2003 par Nicolas Sarkozy, pour assurer la sécurité des quartiers de la capitale, et servir de renfort lors de violences urbaines. Une seconde CSI a vu le jour à Bobigny, puis une douzaine au total, en Ile-de-France, ainsi qu’à Strasbourg, Toulouse ou Marseille. Des Compagnies départementales d’intervention (CDI) existent sur le même principe ailleurs en France. A Paris, la CSI est sous l’autorité de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), alors que les autres dépendent de la police nationale.

 Mission. Contrairement aux compagnies de CRS, qui sont déployées sur toute la France, les CSI et CDI agissent au niveau d’un département, pour les événements de maintien de l’ordre public, la sécurisation des quartiers, les évacuations, les perquisitions ou les contrôles routiers. Plus mobiles que les CRS, ils peuvent se charger des interpellations.

 Equipement. Si la plupart sont en tenue, il existe des groupes spécialisés qui peuvent opérer en civil, comme les sections à moto, la section Delta de la CSI75 (spécialiste des filatures) ou la cellule d’identification des violences urbaines (CIVU) qui détecte discrètement les auteurs d’infractions en manifestation.

 Signes distinctifs. Leur uniforme de maintien de l’ordre ressemble à celui des forces de sécurité mobile, mais ils ont une inscription « police » sur le dos, et un écusson « sécurité publique/police nationale ». Leur casque est foncé, avec ou sans les deux bandes bleu roi.

·         Compagnie d’intervention (CI)

 Origine. C’est une spécificité parisienne. Il s’agit de policiers qui dépendent de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police de Paris.

 Mission. Les compagnies d’intervention travaillent aux côtés des CRS et des gendarmes mobiles pour sécuriser les manifestations et les événements festifs ou sportifs à Paris et dans la petite couronne (plus de 7 500 par an).

 Effectifs. On en décompte sept, de 110 personnes (six équipes de jour et une de nuit).

 Equipement et signes distinctifs. Leur tenue de maintien de l’ordre ressemble à celle des CRS, hormis la couleur de leur casque, qui est bleu marine à bandes bleu roi. Ils ont aussi un écusson de la préfecture de police (PP) et non des CRS.

·         Brigade anticriminalité (BAC)

 Origine. Les brigades anticriminalité (BAC) ont été créées à Paris et en Seine-Saint-Denis dans les années 1970, puis généralisées à la France entière par Charles Pasqua en 1994. Les BAC parisiennes sont sous l’autorité de la DSPAP (préfecture de police de Paris), alors que les autres dépendent de la police nationale.

 Mission. Les BAC sont surtout connues pour traiter la délinquance en flagrant délit (vol, trafic de drogue, infractions routières graves...), mais ils interviennent aussi lors des émeutes, des violences urbaines ou des grosses manifestations, notamment pour contrôler ou interpeller les participants. Ce sont des unités très mobiles, plus souples que les CRS pour mener des actions offensives, mais leurs membres ne sont pas formés spécifiquement au maintien de l’ordre.

 Effectifs. Au niveau national, les BAC comptent 5 200 membres, sans compter les effectifs de la préfecture de police de Paris, qui n’a pas souhaité les communiquer.

 Equipement et signes distinctifs. Les membres des BAC travaillent le plus souvent en civil mais disposent d’un brassard orange siglé « police », et d’équipements de protection comme les casques, les gilets pare-balles, les jambières, les bâtons de défense. Ils sont également armés (LBD, grenades, pistolets, fusils...).

·         Brigades de répression de l’action violente (BRAV-M)

 Origine. Les brigades de répression de l’action violente motorisées (BRAV-M) ont pris le relais des Détachements d’action rapide (DAR) mis en place en décembre 2018 par la préfecture de police de Paris, après le début du mouvement des « gilets jaunes ». Ces derniers étaient notamment critiqués pour leur usage trop fréquent des LBD. En province, des binômes mobiles équivalents existent sous l’appellation de dispositifs mixtes de protection et d’interpellation (DMPI).

 Mission. Ces binômes de policiers et de gendarmes à moto sont souvent comparés aux « voltigeurs » mis en place après les manifestations de mai 1968 puis supprimés après la mort de Malik Oussekine en 1986. Mais les BRAV-M ne procèdent pas à des interpellations ou à des charges en mouvement : les motos sont seulement utilisées pour déplacer les policiers très rapidement, aux endroits où ils peuvent descendre de leur véhicule pour intervenir face aux manifestants.

 Effectifs. Les BRAV-M ne sont pas des brigades pérennes mais des binômes constitués à chaque début de journée de manifestation avec des officiers de la BAC, des compagnies de sécurisation et d’intervention (CSI) notamment, mais aussi de gendarmes de la garde républicaine. Une brigade est constituée d’une soixantaine d’agents, dont deux tiers issus des forces de sécurité publique habituées au maintien de l’ordre.

 Equipement et signes distinctifs. Ils sont facilement repérables car ils se déplacent à moto.

·         Unités équestres

 Origine. Les brigades équestres peuvent être rattachées à la DGPN ou à la DSPAP de la préfecture de police à Paris. Il existe également une quarantaine de brigades équestres mises en place par les polices municipales, par exemple à ToulouseTarbes, Beauvais ou Nantes.

 Mission. Lors d’une opération de maintien de l’ordre, la brigade équestre cumule plusieurs avantages pour les fonctionnaires de police : facilité de déplacement, stature imposante face aux manifestants, et une bonne image auprès de la population. La brigade équestre peut être statique et empêcher l’accès des manifestants à un lieu, une rue, ou mobile, en permettant de disperser des rassemblements voire d’effectuer des interpellations.

 Effectifs. La police nationale affiche un effectif de 45 cavaliers et 23 chevaux, la préfecture de police de Paris de 28 cavaliers et de 16 chevaux. A noter que le régiment équestre de la Garde républicaine n’intervient pas sur des opérations de maintien de l’ordre.

 Equipement. Les fonctionnaires de la police montée sont toujours pourvus d’un casque et d’équipements de protection (gilets, jambières, gants) et sont formés au maniement du tonfa, le bâton de défense à poignée latérale, également utilisé par les fonctionnaires à pied. Les chevaux sont aussi équipés d’une visière et de protections aux jambes.

 Et aussi :

 Plus ponctuellement, lors des manifestations d’ampleur ou s’il existe des risques élevés de trouble à l’ordre public, d’autres unités peuvent être appelées en renfort :

  • la BRI (Brigade de recherche et d’intervention), unité d’intervention rattachée à la police judiciaire, plutôt spécialisée dans les affaires criminelles, est intervenue lors de certaines manifestations des « gilets jaunes », notamment au sein des Détachements d’action rapide (DAR).
  • les gendarmes de la garde républicaine, notamment présents au sein des BRAV-M pendant les manifestations des « gilets jaunes ».
  • les militaires de l’opération Sentinelle ont été sollicités lors de certaines manifestations de « gilets jaunes » à Paris. Ils n’ont pas participé directement aux opérations de maintien de l’ordre, mais ont soulagé les CRS en les remplaçant dans la sécurisation statique de certains bâtiments publics.

 

https://www.officierunjour.net/entre-nous/bon-à-savoir-1/

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

En faisant son jogging à Nancy, un militaire de l’opération Sentinelle hors service a croisé le 30 mai un équipage de policiers en intervention. Ceux-ci ont décidé de procéder à un contrôle d’identité mais il s’est montré agressif et s’est opposé violemment à son interpellation.

Les faits se sont déroulés le 30 mai au matin, vers 9h30, dans la rue des Dominicains à Nancy. Tout a commencé par une intervention banale. Ayant arrêté un individu responsable d’une bagarre, une équipe de policiers a repéré un homme qui faisait son jogging.

 

Police en Belgique
Ce dernier a alors fait une remarque à une brigadière qui tenait son téléphone portable à la main. «Pas de téléphone en service», aurait-il lancé sur un ton agressif, avant de continuer à courir.

L’équipage de policiers a rattrapé cet homme, qui a par ailleurs traversé la route au feu rouge pour les piétons.

«Qu’est-ce que vous me voulez ? Je travaille avec vous, je suis responsable Sentinelle», aurait-t-il affirmé, refusant de se soumettre à un contrôle d’identité. Les policiers ont alors décidé de le conduire au commissariat afin de procéder à des vérifications, mais ont encore une fois essuyé un vif refus.

Ils l’ont alors plaqué au sol en effectuant un étranglement avant de parvenir à le menotter alors qu’il s’y opposait violemment. Le militaire aurait également menacé les policiers de représailles hiérarchiques. La scène a été entièrement filmée par vidéosurveillance, selon le média.

Placé en garde à vue et convoqué devant le tribunal, il sera jugé en février 2020 pour violence et rébellion.

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Torcy : Selon des infiltrés de la DGSI, dans l’ex-mosquée salafiste « des fidèles priaient armés »

Dans son nouvel ouvrage « Les guerres de l’ombre de la DGSI »*, le journaliste d’investigation Alex Jordanov raconte les opérations menées à la mosquée Rahma à Torcy par des infiltrés de la Direction générale de la sécurité intérieure.

Visé par une note blanche des services de renseignements en 2017, le lieu de culte a été fermé pendant huit mois. Il a rouvert début 2018. Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, avait alors remis les clés au président de la nouvelle association qui assure depuis la gestion de la mosquée.

Des fidèles priaient armés

[…]

On apprend que certains fidèles radicalisés recherchés, comme Jérémy Bailly, y priaient… armés. « Les officiers le voyaient sur lui et le savaient grâce aux écoutes téléphoniques. Il avait révélé à son père qu’il allait chercher son arme à la mosquée », indique le journaliste.

Un box avec des kalachnikovs et des bombes

Dans un immeuble du quartier, des membres de la cellule de Cannes-Torcy avaient réquisitionné un box. « C’était une caverne d’Ali Baba, assure le journaliste. Il y avait des kalachs, des armes de poing, des bombes cocotte-minute prêtes à l’emploi, des produits chimiques… », énumère Alex Jordanov.

[…]

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/torcy-les-confidences-des-infiltres-de-la-dgsi-dans-l-ex-mosquee-salafiste-05-06-2019-8086821.php

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

http://www.opex360.com/2019/06/16/un-militaire-a-tire-sur-un-individu-menacant-devant-lhopital-dinstruction-des-armees-desgenettes-a-lyon/

Un militaire a tiré sur un individu menaçant devant l’hôpital d’instruction des armées Desgenettes, à Lyon

Il était environ 15 heures, ce 16 juin, quand un homme muni d’une arme blanche a tenté de s’en prendre à des soldats de l’opération Sentinelle, alors affectés à la protection de l’Hôpital d’instruction des armées [HIA] Desgenettes, situé dans le 3e arrondissement de Lyon.

Selon les informations du parquet, relayées par l’AFP, la patrouille Sentinelle a intimé l’ordre de s’arrêter à cet individu, « vêtu d’une djellaba ». Mais ce dernier a « continué sa progression, couteau à la main, en direction des militaires ».

L’un des soldats a alors fait feu à une reprise, après sommations. L’individu, blessé à une jambe, a été rapidement maîtrisé. Il a ensuite été admis à l’hôpital Édouard Herriot, situé non loin de l’HIA Desgenettes. Son pronostic vital n’est pas engagé.

Selon le magazine Lyon Mag, la patrouille Sentinelle qui a ouvert le feu après avoir été menacée est issue du 132e Bataillon cynophile de l’armée de Terre.

Le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour « tentative d’homicide volontaire sur personnes chargées d’une mission de service public » et l’a confiée à la police judiciaire. Elle devra permettre de déterminer les motivations de cet individu. Le parquet de Paris, compétent pour les affaire de terrorisme, est « informé du déroulement des investigations », indique la même source.

Depuis que l’opération Sentinelle a été lancée, en janvier 2015, plusieurs cas d’agressions [ou de tentatives] ont été signalés. Comme à Nice, en février 2015, où deux soldats avaient été blessés par un sympathisant de la mouvance jihadiste, ensuite maîtrisé et remis à la justice. En septembre 2017, à Paris, un homme armé d’un couteau avait été maîtrisé après avoir tenté d’agresser un militaire qui patrouillait au métro Châtelet en proférant des propos pro-EI.

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 mois plus tard...

http://forcesoperations.com/des-cheques-cadeaux-pour-les-militaires-de-loperation-sentinelle/

Sentinelle 35eRAP Bordeaux

Les militaires déployés dans le cadre de l’opération Sentinelle recevront des carnets de chèques cadeaux de la part du ministère des Armées, révèle un avis diffusé ce week-end.

Les Armées prévoient de débloquer jusqu’à 680 000€ pour la signature d’un accord cadre annuel courant à partir de janvier 2020. Il comprend la fourniture d’un minimum de 20 000 carnets et ne comporte pas de maximum sur la durée du marché. Chaque carnet aura une valeur faciale de 20€, divisée en quatre chèques de 5€.

Échangeables uniquement sur le territoire français, ces chèques cadeaux auront une validité de 12 mois à compter de leur émission. Le prestataire sélectionné devra proposer des offres promotionnelles valables dans des enseignes françaises et recouvrant un large éventail de segments d’achats, de l’habillement aux offres culturelles et sportives, en passant par les produits de beauté et l’électronique.

Les 10 000 militaires engagés quotidiennement sur l’opération Sentinelle (dont 3000 placés en réserve) reçoivent depuis longtemps des cadeaux de la part des autorités, mais de manières ponctuelles et/ou limitées dans l’espace. Dès 2015, année de mise en oeuvre du dispositif, la capitale française et le gouverneur militaire de Paris remettaient des cadeaux aux militaires à l’occasion des fêtes de fin d’année, « pour les remercier de leur engagement pour la sécurité des Parisiens ». Une initiative suivie un an plus tard par la région Île-de-France, qui annonçait à son tour la signature d’un partenariat avec le gouverneur militaire de Paris afin de faciliter l’accès à des événements culturels et sportifs financés par la Région.

  • Like 2

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2019/11/18/la-7e-edition-du-global-terrorism-index-20649.html

La 7e édition du Global Terrorism Index recense près de 16 000 morts provoquées par le terrorisme

terrorisme.jpgLa 7e édition du Global Terrorism Index 2019, édité par l'Institute for Economics and Peace (IEP), indexe les pays et zones par conflits avec tendances. 

Ses principales constatations pour 2019 sont les suivantes:
- Pour la 4e année consécutive, le GTI note une diminution de l'impact du terrorisme avec une diminution globale de 15,2% du nombre de morts (15 952) causés par le terrorisme. L'influence de l'EI a fortement diminué l'année dernière avec une diminution de 69% du nombre de morts et de 63% du nombre d'incidents causés par l'EI. Ceci en majorité dans la région MENA, mais aussi, à fortiori, en Europe.

- Au cours des cinq dernières années, même si l'impact est encore minime face à d'autres formes de terrorisme, il y a eu une recrudescence du phénomène du terrorisme d'extrême droite avec une augmentation de 320% du nombre de morts causés par ce type de terrorisme (22 morts en 2018, déjà 79 morts en 2019).

- Le nombre de décès dus au terrorisme a diminué de 15,2 % en 2018, passant à 15 952 dans le monde. Il s'agit de la quatrième année consécutive d'amélioration.

- Les Talibans ont dépassé Daesh pour devenir le groupe terroriste le plus meurtrier au monde, enregistrant une augmentation de 71% du nombre de décès. Ce groupe est responsable de 38 % de tous les décès de terroristes dans le monde en 2018.

- 98 pays se sont améliorés cette année, 40 se sont détériorés - le plus grand nombre de pays à s'améliorer d'année en année depuis 2004. - Le terrorisme demeure toujours une menace pour la sécurité mondiale, 71 pays ayant enregistré au moins un décès en 2018 - le deuxième plus grand nombre de pays depuis 2002 et quatre de plus qu'en 2017.

- Le terrorisme d'extrême droite a augmenté pour la troisième année consécutive en Europe occidentale, en Amérique du Nord et en Océanie, le nombre de décès ayant augmenté de 52 % en 2018. Cette tendance s'est poursuivie en 2019, avec 77 décès à la fin septembre 2019.

- L'impact économique mondial du terrorisme s'est élevé à 33 milliards de dollars en 2018, soit 38 % de moins que l'année précédente.

- La France a amélioré son score dans le GTI passant de la 30e place à la 36e place avec une forte diminution du nombre d'incidents, de 39 à 9, mais une augmentation du nombre de victimes, 12 au lieu de 7 morts et 30 au lieu de 21 blessés, en comparant les chiffres de 2017 et 2018.

- En Europe, le nombre de décès a diminué de 70 %, l'Europe occidentale enregistrant son plus faible nombre d'incidents depuis 2012. L' Europe a connu la plus grande amélioration régionale l'année dernière avec les chiffres suivants: Incidents: 158, Morts: 142, Blessés: 497.

Le GTI est consultable sur le site de Vision of humanity.

index1.jpg

index2.jpg

  • Like 1

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je reste toujours impressionné par la précision de ce genre de statistiques surtout quand je sais comment sont alimentés ces index liés à tout ce qui touche la sécurité de près ou de loin, et la façon avec laquelle les sources sont érronnées, pour rester poli. Je pense m'être déjà autocensuré sur le sujet, alors je vais continuer. En espérant  que les chiffres reflètent quand même le très cartésien "sentiment général". ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon puisque l'on parle de chiffre , moi mes chiffres donnes un truc du style 160.000 morts dans le monde en 40 ans! haha

Allez qui dit mieux ?!

Modifié par Stvn

Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un chèque de 20 € certes , mais il y a déjà une prime sentinelle . Donc c'est très bien car ce n'était pas obligé de le faire vue qu'il y a déjà une côte ... c'est un cadeau en plus et tu râle ? haha

Tu veux une liste de toutes les améliorations que la MINARM a effectuer en moins de 2 ans comparer à plus de 20 ans ou l'armée était le parent pauvre du budget de l'état ? ?

Jamais content les gens ... trop dans l'instant immédiat sans réflexion , tu penses que l'on peut changer des années de laxisme en 24 h ?

M'enfin ... 

Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

http://www.opex360.com/2019/11/30/terrorisme-les-activites-suspectes-pres-des-emprises-militaires-restent-tres-frequentes-affirme-un-rapport/

Terrorisme : Les activités suspectes près des emprises militaires restent « très fréquentes », affirme un rapport

L’an prochain, la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense [DRSD, ex-DPSD], dont la mission est de veiller à la protection et à la sécurité du personnel, du matériel, des informations et des installations sensibles du ministère des Armées, disposera d’un budget de 23,4 millions d’euros en autorisations d’engagements [+49%] et de 16,4 millions d’euros en crédits de paiement [+4,46%]. Et elle comptera 1.505 agents, qui ne seront pas de trop pour mener à bien l’ensemble de ses missions.

Cette augmentation des crédits permettra à la DRSD à concevoir et à déployer une « nouvelle base de souveraineté du Service afin de recueillir et d’exploiter le renseignement », d’acquérir des capacités d’aide à la décision pour fluidifier les processus d’habilitation [système d’information SOPHIA, ndlr], de continuer son plan d’équipement en moyens techniques et de faire moderniser ses outils de sécurité informatique.

……….../………….

Ainsi, l’an prochain, les priorités de la DRSD seront notamment le renforcement de son rôle dan le domaine cyber et du suivi des homologations de sécurité des systèmes d’information des industriels de défense, d’accroître ses capacités de « contre-espionnage face à une activité des services de renseignement étrangers en France qui se maintient à un niveau historiquement haut, en particulier dans le contexte du retour des Etats-puissance », l’accompagnement des forces déployés en opérations extérieures afin de rechercher des informations sur les trafics pouvant alimenter le financement du terrorisme et, bien évidemment, la lutte anti-terroriste.

Comme l’a montré l’attaque au couteau commise à Londres par un individu déjà condamné à une peine illimitée [puis à 16 ans après appel] de prison pour activités terroristes au nom d’une organisation jihadiste [il avait été remis en liberté conditionnelle avec port de bracelet électronique], la menace terroriste reste toujours élevée.

« Le niveau d’activité [de la DRSD] en 2019 est toujours directement lié au niveau élevé de la menace terroriste pesant sur la sphère de défense, en particulier au titre de la préparation et de l’accompagnement d’évènements majeurs programmés [salons, commémorations, cérémonies du 14 juillet…] », affirment en effet les deux sénateurs.

Et « les militaires – leurs familles – restent des cibles désignées des mouvances terroristes », poursuivent-ils. Ce qui doit inciter à la prudence sur les réseaux sociaux… Mais les rapporteurs indiquent également que les « actions de reconnaissance des emprises militaires par des individus aux motivations présentant un risque restent ainsi très fréquentes. » Or, par le passé, plusieurs sites militaires étaient dans le collimateur de la mouvance jihadiste, dont le sémaphore du Cap Béar, la base navale de Toulon ou encore la base aérienne d’Évreux.

« S’agissant du soutien des forces en opérations ou déployés à l’étranger, l’attention est portée au suivi du personnel civil de recrutement local [PCRL] et des entreprises de service de sécurité et de défense [ESSD] présentes sur les théâtres. La déstabilisation des forces par des opérations de subversion demeure un risque permanent », lit-on dans le rapport de MM. Boutant et Allizard.

Enfin, « les activités de contre-ingérence économique mettent en exergue l’augmentation et la diversification constante des ingérences [espionnage économique, cyberattaques, instrumentalisation de l’application extraterritoriale du droit anglo-saxon…], relèvent encore les parlementaires.

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sa étonne qui ? La défense a était bradé pendant des années ... c'est pas avec du fric ponctuellement que tout va aller bien dans le monde des bisounours ! haha

Heureusement que les gens se réveille est investisse dans la défense globalement ... reste a voir si après le mandat de Macron , les budgets ne vont pas être brutalement diminué ... 

Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.opex360.com/2019/12/04/lentretien-dune-caserne-parisienne-a-ete-confie-a-une-entreprise-dont-le-patron-ferait-lobjet-dune-fiche-s/

L’entretien d’une caserne parisienne a été confié à une entreprise dont le patron ferait l’objet d’une « fiche S »

drsd-20190530.jpg

Alors qu’un récent rapport du Sénat a fait état d’actions de « reconnaissance des emprises militaires par des individus aux motivations présentant un risque » [terroriste] encore « très fréquentes », le Canard Enchaîné vient de lancer un pavé dans la mare.

En effet, dans son édition du 4 décembre, l’hebdomadaire affirme que, pour assurer l’entretien d’une caserne du XIIIe arrondissement de Paris, qui sert de lieu d’hébergement aux militaires célibataires, le ministère des Armées a attribué un marché d’une valeur de près de 73.000 euros [HT] sur 19 mois à une entreprise de nettoyage dont le dirigeant avait été « fiché S » en raison de sa proximité avec la mouvance jihadiste. Et cela, quelques jours après l’attaque au couteau commise à la Préfecture de police de Paris par un agent radicalisé.

Or, cela n’a pas échappé à la Direction générale de la sécurité intérieure [DGSI]. « À quoi bon s’embêter à répertorier et à surveiller les radicalisés, pour notamment s’assurer qu’ils n’ont pas accès à des informations sensibles, si les autres administrations se foutent de notre travail? », s’interroge l’un de ses agents dans les colonnes du Canard Enchaîné.

Pour rappel, constituant une catégorie de mesures de recherches au sein du fichier des personnes recherchées [FPR], les fiches « S » [S pour « Sûreté de l’État »] ne concernent pas les seuls individus de la mouvance islamiste radicale.

« Il existe 11 catégories de fiches S [de S2 à S163], qui ne correspondent pas à des niveaux de dangerosité, mais renvoient à des profils et des conduites à tenir [par exemple, les informations à recueillir ou les actions à entreprendre », rappelait un rapport de la commission sénatoriale des lois, publié l’an passé.

Et d’ajouter : « Aussi la fiche S n’est-t-elle qu’un outil parmi d’autres de collecte de renseignement pouvant être mobilisé par les services spécialisés pour prévenir, notamment, les actes de terrorisme. »

« La fiche S ne contient pas les informations relatives à un éventuel suivi opérationnel de la personne, sachant que les personnes fichées S ne sont pas toutes des objectifs des services de renseignement. La fiche S ne contient pas non plus les informations précises à l’origine de l’inscription ‘S’ au FPR », avait encore précisé ce rapport.

Normalement, il revient à la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense [DRSD] de vérifier les antécédents des employés d’une entreprise appelée à travailler sur un site militaire.

« En 2018, la DRSD a rendu plus de 80 000 avis de sécurité pour l’habilitation de personnes travaillant en entreprise », indique le service. Mais, a priori, cette procédure ne concerne pas les dirigeants. Un responsable du ministère des Armées a confié, à l’hebdomadaire, qu’il y a manifestement un « trou dans la raquette ».

  • Thanks 1

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas une surprise quand on parle de la nébuleuse fiche "S". Mais ça fait désordre sérieusement car il n'y a visiblement là pas d'erreur manifeste dans les process de la vérification. On apprend donc que seuls les employés des sociétés prestataires sont concernés et non les dirigeants. Dont acte,  mais je dois être trop parano pour juger cela ridicule et  révélateur d'un certain état d'esprit 

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand tu vois la tronche de la relève dans les services ... le niveau baisse partout et aussi dans l'administration , donc des erreurs comme ça , c'est pas fini ! haha 

A part quelque unités encore spécialisé qui on un bon niveau , la plus part des services plus ou moins secondaire sont devenu la foire au con ! ?

Quand a l'époque , pour un rien tu était foutu au placard .. maintenant la doctrine c'est d'être pédagogique et de ne jamais virer un personnel ... après faut pas pleurer si le niveau baisse .

C'est valide partout , pas que a la DRSD malheureusement .

Entre avant ou c'était trop rigide et maintenant ou c'est bisounours , il serait temps de trouver un juste milieu .

  • Like 1

Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rapport Tracfin Tendances & analyse des risques de financement du terrorisme 2018-2019: Forte hausse des déclarations de soupçon visant l'usage du crowdfunding et des cagnottes en ligne pour financer le terrorisme ou des associations radicales sous couvert d’action humanitaire.

Source: CAT 

 

ps: Ma cagnotte teepee pour soutenir l'armée . www.filemoitonflouze.pigeon ?

 

Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Kremlin prévient que des terroristes ayant agi en Russie sont en liberté à travers l’UE

Après l’assassinat à Berlin du Géorgien impliqué dans l’«organisation des explosions dans le métro de Moscou», le porte-parole du Président russe a rappelé que plusieurs terroristes continuaient de se cacher en Europe, y obtenant permis de séjour ou nationalité.

Ceux qui sont impliqués dans des attentats en Russie se cachent en nombre en Europe, la Russie continue de déployer des efforts pour les extrader, a déclaré ce jeudi 12 décembre le porte-parole du Président russe Dmitri Peskov.

«Beaucoup de gens impliqués dans des attaques terroristes, dans l'organisation d'attentats et dans des meurtres lors des événements sanglants dans le Caucase, se cachent encore. Plusieurs se cachent toujours en Europe. Ils reçoivent ici et là des permis de séjour, la nationalité, ils marchent en plein jour dans les rues parmi les gens ordinaires», a déclaré le représentant du Kremlin.

Il a souligné que «des enquêtes sont menées sur plusieurs d’entre eux afin qu'ils soient extradés vers la Russie».

Un Géorgien tué à Berlin

Le 23 août, un Géorgien de 40 ans a été tué de trois balles par une arme équipée d’un silencieux dans le Tiergarten de Berlin. Selon Vladimir Poutine, cet homme a «participé de manière active à des activités séparatistes» et était recherché par les services russes, notamment pour avoir «organisé des explosions dans le métro de Moscou».

Dimitri Peskov, lui, a précisé que la Russie avait envoyé à l'Allemagne des demandes pour son extradition, car «sa participation à des actes terroristes a été établie».

Expulsion de diplomates

Le drapeau allemand

L’Allemagne a ordonné mercredi 4 décembre à deux membres de l'ambassade de Russie de quitter «avec effet immédiat» le pays, reprochant aux autorités russes de n'avoir pas «suffisamment coopéré» dans l'enquête sur le meurtre d'un Géorgien à Berlin. Jugeant «inadmissible» «une approche politisée dans une enquête».

Près d’une semaine après l’expulsion de deux diplomates russes par Berlin, Moscou a pris des mesures symétriques à l’égard des employés de l’ambassade allemande sur son territoire.

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Une pétition en ligne pour un débat national sur la létalité réduite

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2019/12/16/une-petition-en-ligne-pour-un-debat-national-sur-la-letalite-20723.html

Gaël Guillerm, le pdg de la société morbihanaise REDCORE, vient de lancer sur le site change.org, une pétition en ligne.

Le concepteur du KANN44 propose de signer cette pétition  afin de lancer un débat sur la question de la létalité réduite. Sa démarche est motivée par ses propres constations de développeur de matériels de maintien de l'ordre.

guillerm.jpg

Ya Rab Yeshua.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je commence à toucher un peu au milieu maintenant...

Comme beaucoup de choses depuis un certains temps... Beaucoup de critiques et de plaintes mais aucune solution de proposé et aucun sacrifice envisageable... L'équation n'est pas complète et ça marchera pas.

 

Toujours plus de restrictions pour les FO mais une banalisation de la violence de l'autre côté...

Mais bon le sujet est tellement sensible, que j'ai pas envie de me lancer dans un débat sans fin...

  • Like 1
  • Sad 1

"What is dead, May never die"

SEM 77 / 499-7

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites


© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...