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Protection des Français


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Il y a 4 heures, SG5375 a dit :

Foudre ou mistral peut-être ?

Non , c'était un petit bateau , ou un seul hélico rentrer dans le petit hangar .

 

Edit: Bon après recherche sur internet j'ai trouver le bateau :D !

C'était une FREMM ( frégate multi-mission) .

Modifié par Invité
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bien ce que je pensais quand tu parlais de "petit bateau", tu parlais "juste" de frégate XD ce qui est déjà un bateau conséquent ;) Et en plus ultra moderne une FREMM c'est mega confort, ça vient de sortir, c'est presque aux normes civils, par rapport à des trucs qui ont 30 ou 40 ans... pas la même ;)

I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal." MLK

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Il y a 1 heure, hatonjan a dit :

bien ce que je pensais quand tu parlais de "petit bateau", tu parlais "juste" de frégate XD ce qui est déjà un bateau conséquent ;) Et en plus ultra moderne une FREMM c'est mega confort, ça vient de sortir, c'est presque aux normes civils, par rapport à des trucs qui ont 30 ou 40 ans... pas la même ;)

Je ne connais rien du tout au bateau haha

Pour moi c'est petit comparer a d'autre truc plus gros comme les bateau de commandement tout plat la et carrer :X !

Sinon récent je sais pas , j'étais monter dessus vers les années 2010 donc je pense il a 10 ans le bouzin :D !

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en 2010 ? ah ça ne devais pas être une FREMM, la première a été admise au service actif en 2013.

 

Surement une FLF : https://fr.wikipedia.org/wiki/Classe_La_Fayette

celle que tu vois dans James Bond (Goldeneye) avec un Tigre qui décolle surement ;)

gef7RZ-SLJQg02yGOno7Rm7Fw80.jpg

 

 

 

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Je ne suis pas convaincu non plus par celui la :D !

J'ai envoyé une photo du pont a hatonjan , ont va voir si il reconnais le bouzin :X !

Mais il me semble bien que l'ont m'avait dit que c'était une fremm ... en même temps les bateaux ce ressemble tous haha

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Alors après analyse, c'était une F70 (qui partent doucement à la casse et sont remplacées par les FREMM ;) ), donc ouais, là on tape dans le vieux et pas super confortable, y'a pire, mais on touche la vieille marine ;)

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  • 2 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

Le chef d’état-major alerte sur l’«usure» de forces surmenées. Gauche et droite convergent sur la nécessité de relever les dépenses militaires.

Quel que soit le futur chef de l’Etat en 2017, il devra trouver de nouvelles ressources pour le budget de la défense. A gauche comme à droite, les principaux dirigeants politiques insistent sur la nécessité d’augmenter la dépense militaire au niveau minimum de 2 % du PIB, promis lors du dernier sommet de l’Otan à Varsovie. Actuellement, la France consacre 1,7 % de son PIB à sa défense, en incluant les retraites des militaires.

« On n’a pas le choix, il faut dépenser plus, l’objectif de 2 % est atteignable », a souligné ce mardi le Premier ministre, Manuel Valls, lors de l’universités d’été de la Défense, en rappelant la rupture fondamentale constituée par l’apparition du terrorisme djihadiste.

« Le budget doit augmenter à 41 milliards »

« Ces 2 % sont le socle de notre souveraineté », a insisté l’ex-chef de gouvernement Les Républicains Jean-Pierre Raffarin, aujourd’hui président de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, tandis que Patricia Adam, présidente socialiste de la commission de la Défense nationale et des Forces armées de l’Assemblée, a rappelé les besoins immédiats : 1 milliard d’euros de plus pour maintenir la dissuasion nucléaire, 1 milliard de plus pour payer les 11.000 postes de l’armée de terre rétablis par François Hollande, et 2 milliards, voire 2,5 milliards pour combler ce que l’armée dénomme pudiquement des « trous capacitaires ».

« Au Mali, on identifie des katibas djihadistes mais on les laisse filer, parce que l’hélicoptère est en réparation, le blindé pas disponible ou parce qu’il n’y a toujours que trois drones à disposition au Sahel, résume en substance un haut gradé. C’est comme d’avoir un vêtement usé dont vous craignez à tout moment qu’il ne se déchire. »

Se préparer à une guerre longue

Le chef d’état-major des armées, Pierre de Villiers l’a confirmé : « Parfois on a la cible, mais on ne peut pas y aller », rappelant que la France a le devoir de se préparer à une guerre longue. « Le budget doit augmenter de 32,7 milliards actuellement à 41 milliards en 2020 », a-t-il demandé, en insistant sur le fait qu’il s’agit seulement de mettre en cohérence les moyens avec les opérations demandées.

La loi de programmation militaire prévoit, par exemple, la mobilisation de 12 avions de chasse, mais l’engagement de la France en Syrie, au Sahel, en Irak et dans le cadre de l’Otan se traduit par l’emploi permanent de 20 chasseurs. A aucun moment le législateur n’avait anticipé l’opération Sentinelle et la mobilisation permanente de 7.000 à 10.000 soldats dans l’Hexagone… « Nous sommes une grande armée, respectée, mais elle s’use, je ne vois pas que nous puissions continuer comme cela », a insisté le général de Villiers.

Priorité à la sécurité des Français

A l’université d’été, Manuel Valls et le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ont souligné la fin des rêves de quiétude post-guerre froide et l’obligation de réinscrire l’effort militaire dans un nouveau contexte de menaces : le terrorisme djihadiste, lui, ne disparaîtra pas. Même si Daech perd les territoires conquis en Irak et en Syrie, les racines du fondamentalisme demeureront. A ce terrorisme militarisé s’ajoute le retour de l’utilisation de la force par les grandes puissances, sans souci du droit international, comme l’ont montré l’annexion de la Crimée par la Russie ou le rejet par Pékin de l’arbitrage international sur les îles Spratleys, en mer de Chine.

En ajoutant l’inéluctable repli américain, il est « impossible dans ce contexte de renoncer à l’éventail complet de notre défense », a plaidé Jean-Yves Le Drian. « Jusqu’à la fin de mon mandat, ma priorité sera la sécurité des Français, a promis Manuel Valls. Mais ce sera aussi celle du prochain quinquennat. »
Source : les echos.fr

http://www.armee-media.com/2016/09/16/larmee-admet-renoncer-a-des-cibles-faute-de-moyens/

Ya Rab Yeshua.

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Suivre les promesses de campagne au fil de l'eau des futurs candidats,  puis avant les élections, un courrier à domicile de tous les inscrits sur les listes éléctorales. A l'intérieur tous les programmes des candidats officiels avec même les bulletins de vote. Voilà. 

Maintenant les professions de foi,  pour citer le mot officiel peuvent aussi être en ligne comme en 2015. De toutes façons ils ont tous leur programme en ligne maintenant. 

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Au lendemain de l'hommage rendu par le Chef de l'Etat aux victimes du terrorisme, dans les jardins des Invalides, apparaissent ici et là de nouveau (le MINDEF à l'époque y avait répondu) des critiques sur l'attitude des patrouilles de l'opération Sentinelle lors de la prise d'otages au Bataclan à Paris, le blog Le Mamouth fait une mise au point :

"vendredi 16 septembre 2016

 Bataclan : rappels

 

Une partie des familles des victimes du Bataclan s'interroge toujours sur l'action du dispositif Sentinelle (un questionnement légitime et compréhensible), et dépose un recours en justice, tandis qu'au ministère de la Défense, on n'a pas le sentiment d'avoir manqué à ses obligations, ce 13 novembre.

 Même si ce seront -peut-être- des évidences pour les lecteurs les plus informés de ce blog, il n'est pas inutile d'apporter quelques précisions très factuelles, certaines ont déjà, à l'époque et très tôt, été écrites sur ce même blog :

 

 1) les personnels de Sentinelle hors service ont été réinjectés dans le dispositif opérationnel ce soir-là, une capacité qui n'existe pas sous cette forme à l'Intérieur. C'est sans doute une des forces de Sentinelle, dont les personnels sont en opération, donc mobilisables à tout moment. D'autres, hors service, ont participé à la remontée du renseignement -un des problèmes ce soir-là, comme en janvier 2015- et à la distribution des consignes. Il n'y a donc pas eu de passivité par rapport à l'évènement, et même sur certains points, une prise d'initiative. Mais les militaires n'ont pas dépassé le cadre général défini pour Sentinelle, qui vise essentiellement l'appui des forces de police, pas la primo-intervention sur une situation de haute intensité.

 

2) un personnel de Sentinelle n'est pas formé à la libération d'otages, seuls le sont, au ministère de la défense, les personnels des forces spéciales (COS). En outre, les personnels de Sentinelle qui étaient au plus près du Bataclan sont issus d'un régiment de cavalerie, le 1er Chasseurs, donc leur spécialité de base ne les amène pas régulièrement au combat débarqué et au milieu clos pour lequel ils ne sont ni vraiment formés ni équipés. C'est aussi le cas pour une bonne partie des effectifs de Sentinelle, qui ne sont pas issus de l'infanterie.

 Mais cet argument de la non-spécialité ne peut être invoqué pour le maintien des militaires (sur ordre) hors de la salle de spectacles, car la brigade anti-criminalité de nuit (BAC75N) de Paris n'est pas non plus formée à la libération d'otages (même si elle est référencée dans les appuis de la BRI), pourtant, un de ses commissaires est entré dans le Bataclan avec un de ses hommes, ce soir-là, touchant un des porteurs de Kalach et de gilet explosif (on peut de la même manière rappeler les tirs des gendarmes de Dammartin, là aussi des primo-intervenants, qui forcèrent les Kouachi à se retrancher en janvier 2015). D'autres personnels de la BAC75N, qui ne sont pas non plus formés au CTLO, sont également entrés dans la salle. Ces personnels ne sont pas spécialisés, mais ils tirent très régulièrement avec leur arme de service, en stand de tir (parfois plusieurs fois par semaine), et parfois, lorsqu'ils essuient le feu en intervention.

 Il y a donc eu, ce soir-là, deux approches de l'emploi de forces non spécialisées, à l'Intérieur et à la Défense. A la Défense, on n'entre pas dans la fameuse bouteille d'encre, à l'Intérieur, on rentre.

 

 3) la réalité matérielle est aussi très cruelle pur l'Intérieur. Si chaque policier avait été correctement équipé, ce soir-là, personne ne se poserait aujourd'hui la question de l'action des militaires (en fait de leurs Famas) de Sentinelle. Or le dénuement était plutôt la règle (pourtant neuf mois après Charlie Hebdo et l'Hyper Casher), d'où le besoin de faire appel aux Famas des militaires (on peut discuter de l'intérêt du 5,56 mm en milieu clos). Seulement la moitié des personnels de la BAC75N disposaient de casques et gilets lourds, l'armement collectif était limité à des pistolets mitraillleurs PM12 en 9 mm et des fusils calibre 12. Pas forcément le meilleur pour dialoguer avec des terroristes. La BRI, qui est arrivée après cette unité sur les lieux, ne disposait pas non plus à cette époque d'une arme longue par opérateur, ce qui n'a été généralisé qu'après le Bataclan (avec des G36 dans un premier temps). Les HK416 ne sont arrivés qu'en juillet 2016 (mais pour l'heure, la BRI est la seule unité de police à en détenir). Assez curieusement, ces questions de matériel et d'effectif, essentielles, n'ont pas été vraiment étudiées par la commission d'enquête.

 

 4) dans une situation identique, il n'est pas sûr que l'emploi des militaires serait différent aujourd'hui. Personne ne se précipite, à la Défense, pour répondre à cette question, en tout cas. Même si le ministre a ouvert la porte plus clairement à l'emploi de forces spéciales sur le territoire national, aucun texte ne semble avoir été clairement écrit et diffusé sur ce sujet. L'Intérieur, lui, a massivement acquis du matériel : après le Bataclan. Le contrat des G36 a par exemple été notifié dans les derniers jours de décembre 2015. Onze mois après l'Hyper Casher.

 

5) toutes les opérations contre les terroristes ne sont pas résolues avec des milliers de coups tirés, et un défouraillage de type cinématographique. Il faut rappeler que ce soir-là, guère plus d'une dizaine de coups de feu ont été tirés dans le Bataclan, par la BAC75N (tirs de SIG 20/22), le RAID (un tir de HK417) et la BRI (tirs de Glock et G36), neutralisant les trois terroristes présents. Après l'arrivée de ces forces dans la salle, les terroristes n'ont plus été en mesure de tirer directement sur leurs otages.

 

 Plus d'infos et de photos sur mon twitter @defense 137.".

http://lemamouth.blogspot.fr/2016/09/bataclan-rappels.html

 

PS. "2) un personnel de Sentinelle n'est pas formé à la libération d'otages, seuls le sont, au ministère de la défense, les personnels des forces spéciales (COS). ".

Cela est valable pour Sentinelle en métropole, pour des otages civils et dans un environnement urbain.

Cela est moins valable en OPEX car le COS n'est pas toujours disponible ou présent sur le TOE. On fait alors appel à des moyens conventionnels.

 

BTX

 

Modifié par BTX

Ya Rab Yeshua.

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Point 1), tous les policiers sont rappellables 24h/24 et c'est ce qui c'est passé ce soir là pour certains ,  des groupes qui ont été immédiatement opérationnels j'entends après leur journée normale, donc ce n'est clairement pas une exclusivité de la défense. Et je ne parle pas des fonctionnaires présents qui sont redevenus en service de fait en apportant un soutien.

 Pour les autres points, ayons l'honnêteté de reconnaître que la présence de patrouilles militaires dans le cadre du plan vigipirate  représente ce que toute personne un tant soit peu informée sait, à savoir une mesure démagogique pour donner une impression de sécurité. C'est terrible, mais la preuve de cette manipulation des esprits en mal de signes extérieurs,  a été donnée .  En plus d'avoir une utilité plus que discutable, mettre des personnels dans cette situation sans leur donner les moyens de faire autre chose que potiche est irresponsable .Et mettre en situation  des personnels qu'on sait non formés à ce travail, même au nom de la participation à l'effort collectif national,  n'est que la conséquence politique de l'obligation d'agir. Les forces de police et de gendarmerie sont là dans leur coeur de métier et c'est vers eux que les efforts auraient dûs être concentrés.Mais où sont les matériels, les personnels et les formations dignes de ce nom.?Même encore aujourd'hui, la question est posée. Évidemment, il faut combler les années de liquéfaction des effectifs par exemple,  et cela en peu de temps. C'est incroyable d'en être arrivés là et de faire ces constats alors que le plan vigipirate est actif depuis 25 ans,  hormis quelques mois en 1995.A l'heure où la majorité des lecteurs de ce fil n'ont jamais vécu sous un autre régime,  on s'apprête à faire de même avec l'état d'urgence. Avec l'habitude on galvaude ces mesures exceptionnelles et on prend des décisions politiques comme en temps normal. On finit en polémiques alors que depuis longtemps les choses étaient annonçées, mais chut.....

 

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Gouverner c'est prévoir. En effet..............mais dans les faits qu'en est-il ?

Ce n'est pas tant une histoire de chef d'Etat, l'actuel ou son prédécesseur a agi selon ce que ses conseillers lui dictaient de faire. C'est là que le bât blesse : le politique c'est comme le militaire, le courage en moins.

BTX 

Ya Rab Yeshua.

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BTX part a la retraite et voila , c'est la merde :X ! haha

 

Sinon pour ma part , je rejoint SG sur l'inefficacité du dispositif .

Pour ce qui est des conseillers en défense , c'est quant même le président qui choisi qui écouter ... :X

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" c'est quant même le président qui choisi qui écouter ... :X"

Vrai.

Ecouter ne veut pas dire obtempérer. Si la réflexion avait été confiée à l'EMA, les choses auraient été différentes.

L'expédition libyenne en est le parfait exemple : les militaires y étaient opposés, mais BHL a tranché.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Les militaires sont aux ordres du président, élu par les français. On peut regretter cette situation, on peut s'en féliciter, mais elle est ainsi, et même si elle est imparfaite, je crois sincèrement que c'est la moins mauvaise.

Mais très de considération, je pense que chacun ici connais mon avis sur Sentinelle, qui a tendance à épuiser le personnel militaire, sans être certains de son efficacité.

On s'est un peu enfermé dans cette boite de pandore, et s'il faut les familles des victimes du Bataclan pour l"ouvrir, après tout, pourquoi pas ?

A l'heure où le débat sur le service national est relancé, il faut se poser la question si les militaires sont la meilleure réponse à toutes les questions ? Mais c'est probablement une des réponses les plus faciles...

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L'erreur est humaine, la faute est professionnelle............

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2016/09/22/nord-ou-sud-16833.html

La girouette présidentielle est déboussolée: les Caesar sont au sud

mossoul.jpg

Confondre le nord et le sud, ça pourrait être grave. Imaginons un ordre présidentiel d'atomiser la Corée... La Corée du Nord, c'est le plus probable.

Mais si le Président se mélange les aiguilles de la boussole et indique "le sud"? Il y aurait certainement un conseiller bien intentionné pour rectifier, un militaire pour réorienter la frappe ordonnée par un Président ...un peu à l'ouest. 

C'est ce qui ne s'est pas passé pour "les Caesar de Mossoul" (ça ne sonne pas encore aussi bien que les "canons de Navarone"). Personne n'a osé admettre l'erreur d'azimut présidentiel. Ou la rectifier.

Je rappelle la phrase présidentielle de New York: "La batterie d'artillerie a été mise en place au nord de Mossoul". Je rappelle aussi ma perplexité d'hier, les silences qui ont accompagné ma question et la surprise de certains lecteurs de ce blog.

Les canons français en question sont bien au sud de la ville de Mossoul. Si si, promis, juré, craché! Ils sont bien passés par la base irakienne de Makhmur (voir mon post ici) avant de rejoindre la base d'appui installée par les Américains à al-Qayyarah (voir ci-dessus).

 

Sans commentaire.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/sentinelle-gardes-statiques-c-est-fini-110803

Sentinelle : les gardes statiques, c’est fini

 

Les militaires ont remporté la partie : depuis le 5 septembre, il n’y a plus de gardes statiques en Ile-de-France dans le cadre de l’opération de sécurité intérieure Sentinelle. S’ils en restent quelques unes en province, elles devraient vraisemblablement disparaître rapidement au profit d’un nouveau dispositif de patrouilles mobiles. Depuis des mois, les militaires demandaient une telle évolution, mais se heurtaient souvent aux préfets et à la communauté juive, soucieuse de conserver une protection fixe.

 

Une source militaire nous l’a confirmé : « Nous sommes passés en tout dynamique. Il n’y a plus de gardes statiques et la communauté juive a été obligée d’accepter cette évolution ». « Nous continuons à apporter une attention particulière à cette communauté. Il a été difficile pour elle de voir nos hommes s’éloigner physiquement ».

 

Le dispositif Sentinelle a été réorganisé au cours de l’été. 7 000 hommes sont réellement engagés - le chiffre symbolique de 10 000 n’étant atteint qu’en tenant compte des unités en réserve. La moitié des troupes, soit 3500, est déployée en Ile-de-France, l’autre en province. Il s’agit là d’une évolution importante puisque, jusqu’à l’attentat de Nice, la région parisienne concentrait l’essentiel de l’effort.

 

Le dispositif en Ile-de-France, sous le commandement du Gouverneur militaire de Paris, est organisé en trois zones : Paris, Est (77,93,94) et Ouest (78, 91, 92, 95). Chacune de ses zones est placée sous la responsabilité d’un état-major tactique, avec un chef de corps à sa tête : ils sont respectivement installés à Vincennes, au fort de l’Est et à Satory. L’ensemble dépend d’un Centre opérationnel à Saint-Germain-en-Laye, fonctionnant 24 heures sur 24.

 

La capitale et, prochainement, les autres départements sont découpés en SSV, les secteurs de surveillance vigipirate, dont certains sont attribués à la police et les autres aux militaires.

 

Par ailleurs, il existe 29 îlots de surveillance renforcée (ISR), dont 21 à Paris, qui sont des secteurs regroupant plusieurs points sensibles et où les patrouilles sont concentrées.

 

« Nous pouvons être en tout point de la capitale en quart d’heure », nous assure une source proche du dossier

 

Les 3 500 militaires de Sentinelle en Ile-de-France sont, pour l’essentiel, fournis par l’armée de terre, même si l’on compte 60 aviateurs, 60 militaires du commissariat et 30 marins. Ils servent pour une période de huit semaines. Sauf urgence, ils sont sur le terrain deux jours sur trois, ce qui signifie que le déploiement quotidien effectivement réalisé est d’environ 2 400 hommes en Ile-de-France. Les horaires de patrouille, qui varient dans le temps, sont fixés par les autorités préfectorales.

 

Concernant le logement des militaires engagés dans Sentinelle, un chef militaire assure qu’ « il n’y a plus de situation intolérable » comme dans les premiers mois et que les soldats ont désormais « un niveau de confort raisonnable ». Des lits et des armoires ont été achetés pour remplacer les lits picot. Des bâtiments ont été réhabilités par exemple dans les forts de Nogent, de l’Est ou à Vincennes. Reste le problème du logement à Paris intra-muros avec l’abandon programmé de l’îlot Saint-Germain et du Val-de-Grâce. Les militaires espèrent pouvoir y rester jusqu’à fin 2017-début 2018.

 

Sur le terrain, le pion de base reste le trinôme, jamais moins. « Nous avons quatre modes d’action graduels, explique un officier. 1) La posture dissuasive : nos soldats en imposent. 2) le Tior (technique d’intervention opérationnelle rapprochée), l’ancien « corps-à-corps ». 3) le bâton télescopique ou le gaz lacrymogène. 4) l’arme ». Enfin, les militaires sont désormais équipés d’un nouveau système de transmissions, basés sur le GSM.

 

Une source militaire nous indique qu’il y a « plusieurs interventions chaque jour », avec régulièrement l’usage de la force physique (Tior).

Ya Rab Yeshua.

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  • 2 mois plus tard...

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2016/12/01/vigipirate-17263.html

Vigipirate évolue et intègre un nouveau niveau d'alerte "urgence attentat"

Le plan Vigipirate et ses deux niveaux d’alerte (vigilance et alerte attentat) est passé ce 1er décembre à trois niveaux de protection : vigilance, sécurité renforcée et urgence attentat. Initialement, c'était un code couleurs (de "blanc" à "écarlate") qui précisaient le degré d'alerte.

L'annonce de cette évolution a été faite par le Président de la République suite au conseil de défense et de sécurité nationale de mercredi, qui était consacré à la protection contre le terrorisme. 

Le SGDSN a publié un long document qui détaille le plan Vigipirate et ces mesures d'application. Lire ici.

vigipirate.jpg

Ya Rab Yeshua.

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Le 05/12/2016 à 21:52, Zante a dit :

On dirais que certain ne supporte pas la mission ...

nsupporter dans quel sens, adhérer ? ou être fatigué ?

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Sentinelle ou pas , c'est un suicide ! Après c'est la mission ou autre je sais pas et je pense que personne ne le seras maintenant mais bon ...

Sinon peut être qu'il aller rentrer au régiment , mais il aurait pu être amener à reproduire la mission plus tard . Donc au final personne ne sais sauf lui ! Puis comme il est plus la ...

En tout cas ce n'est pas le 1er à mourir au cours de cette mission et je pense pas le dernier non plus !

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  • 1 mois plus tard...

http://www.opex360.com/2017/01/12/policiers-gendarmes-militaires-de-sentinelle-soumis-aux-memes-regles-pour-lusage-de-leurs-armes/

Policiers, gendarmes et militaires de Sentinelle soumis aux mêmes règles pour l’usage de leurs armes

image: http://www.opex360.com/wp-content/uploads/sentinelle-20150122.jpg

sentinelle-20150122

 

Le Parlement discutera, d’ici la fin de ce mois, d’un projet de loi relatif à la sécurité publique, présenté le 21 décembre par Bruno Le Roux et Jean-Jacques Urvoas, respectivement ministres de l’Intérieur et de la Justice.

................Son objet vise à renforcer la protection des forces de l’ordre ainsi que la sécurité juridique de leurs interventions, notamment en modifiant les conditions dans lesquelles elles peuvent faire usage de leur armes. Actuellement, les fonctionnaires de police les militaires de la Gendarmerie nationale ne sont pas soumis aux mêmes règles en la matière.

Ce projet de loi concerne non seulement les policiers et les gendarmes mais aussi, comme le précise l’exposé des motifs, les douaniers et les « militaires déployés dans le cadre de l’opération Sentinelle ou protégeant des installations militaires ». Il s’agit ainsi « d’harmoniser les règles » concernant l’usage des armes et de « les adapter à des situations d’urgence » en définissant un « cadre commun » pour l’ensemble des forces de sécurité.

Le texte prévoit d’autoriser les policiers à ouvrir le feu, comme les gendarmes, après sommations et « en cas d’absolue nécessité », dans des situations bien précises, c’est à dire en cas de violences contre eux ou quand ils sont menacés par des individus armés, lorsqu’ils ne peuvent pas défendre autrement « le terrain qu’ils occupent », lorsque des individus « invités à s’arrêter par des sommations faites à haute voix cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations » ou encore quand il n’est pas possible d’immobiliser autrement des véhicules dont « les conducteurs n’obtempèrent pas à l’ordre d’arrêt » afin de les « empêcher de perpétrer de manière imminente des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles de tiers. »

En outre, les forces de sécurité pourront également ouvrir le feu « dans le but exclusif d’empêcher la réitération, dans un temps rapproché, d’un ou plusieurs meurtres ou tentatives de meurtre venant d’être commis » si elles ont « des raisons réelles et objectives d’estimer que cette réitération est probable au regard des informations » dont elles disposent au moment où elles font usage de leurs armes. Cette disposition figurait déjà dans la loi du 3 juin 2016.

Ces dispositions concernent donc l’opération Sentinelle étant donné que le texte précise que « les militaires déployés sur le territoire national dans le cadre des réquisitions prévues à l’article L. 1321-1 peuvent faire usage de leurs armes et immobiliser des moyens de transport dans les mêmes conditions », de même que ceux chargés de la protection des installations militaires, « dans les cas prévus aux 1° à 4° de l’article L. 435-1 du code de la sécurité intérieure. »

Ya Rab Yeshua.

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Enfin une harmonisation des règles de la ld, ce qui était une ineptie dans un système judiciaire déjà bien trop alambiqué. Maintenant cela sera valable  " SI " les parlementaires  votent  en l'état  ce qui n'est pas encore fait comme on l'a vu hier à l'Assemblée avec la proposition de loi sur les délais de prescription,  rétorquée par surprise. Quoi qu'il en soit il faudra comme toujours attendre de voir comment au cas par cas  dans quel esprit seront appliqués ces modifications  par les juges car s' il y a bien un domaine où l'objectif et le subjectif s'entrechoquent,  c'est celui-ci. Et j'ajouterais surtout que cela dépend malheureusement d'un critère parasite mais primordial dans ces affaires, il s'agit de la médiatisation ou non et donc de la prise en charge de l'opinion publique, ces fameux fcteurs qui faussent la donne au mépris des règles de droit justement. Donc comme on a l'habitude de dire wait and see...

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  • 3 mois plus tard...

http://www.opex360.com/2017/05/05/un-individu-radicalise-ete-interpelle-pres-de-la-base-aerienne-devreux/

image: http://www.opex360.com/wp-content/uploads/ba105-20150206.jpg

ba105-20150206.jpg

Un individu connu des services de renseignement pour son appartenance à la mouvance jihadiste a été interpellé près de la base aérienne 105 d’Évreux, dans la nuit du 4 au 5 mai.

Selon une source proche du dossier sollicitée par l’AFP, l’alerte a été donnée quand un véhicule suspect a été découvert près de la base, aux environ de minuit. Il s’est ensuite avéré qu’il appartenait à un homme « radicalisé ».

Les recherches conduites dans la foulée par les gendarmes ont permis d’interpeller cet individu vers 5 heures du matin, au moment où il regagnait sa voiture. Lors de la fouille de cette dernière, il a été trouvé un Coran ainsi qu’une cartouche de fusil (le modèle n’a pas été précisé).

D’après les quotidiens Paris-Normandie et Le Figaro, l’individu interpellé serait un ancien militaire qui, né en 1983, ferait l’objet d’une « fiche S » (pour « atteinte à la sûreté de l’État »).

La base aérienne d’Évreux est importante : elle abrite notamment plusieurs escadrons de transport, des unités spécialisées ainsi que le Groupe aérien mixte 56 « Vaucluse », qui soutient les opérations de la DGSE.

Le parquet de Paris a co-saisi la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la Sous-direction antiterroriste (SDAT) et la Direction interrégionale de PJ (DIPJ) de Rennes. Les enquêteurs auront à déterminer la raison de la présence de cet homme aux abords de la BA 105 ainsi que ses motivations. Il n’est pas exclu qu’il ait effectué des repérages en vue d’une action ultérieure.

Au cours de ces trois dernières années, au moins deux tentatives d’attentats contre des sites militaires ont été déjoués, notamment contre la base navale de Toulon et le sémaphore du Cap Béar. À cela, il faut ajouter les tentatives d’attaque contre les soldats de l’opération Sentinelle.

Dans leur rapport pour avis sur le « soutien et la politique de défense », publié en novembre 2016, les sénateurs Gilbert Roger et Robert del Picchia ont indiqué que, en 2016, « 31 intrusions (ou tentatives) dans des enceintes militaires », avaient été constatées.

Pour rappel, depuis janvier 2015, la protection des emprises militaires a été renforcée dans le cadre du Plan Cuirasse.

MàJ : D’après l’AFP, qui a rapporté les confidences d’une source « proche de l’enquête », un fusil à pompe, deux revolvers et des munitions ont été trouvés dans un fourré situé près de la base aérienne.

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Ya Rab Yeshua.

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