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déclarer inapte pour psoriasis


naillak

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bonjour depuis l'age de 10 ans je désire faire l'armée je n'ai jamais changer d'avis a 16 ans je me suis inscris comme réserviste ,j'ai effectuer 4 missions sentinelle cela ce passer bien ,lorsque j'ai eu 18 ans j'ai passer les tests pour l'engagement malheureusement j'ai du psoriasis ce qui m'as valu une inaptitude temporaire pour soigner le psoriasis prise de rdv spécialiste voila maintenant je n'est plus de psoriasis j'ai donc pris rdv pour la visite médicale et la on met inapte définitif car mon traitement ne correspond pas avec l'engagement c'est du methotrexate le seul petit problème avec ce traitement est qu'il ne faut pas faire de vaccins vivant pendant le traitement ,la spécialiste que j'ai consulté m'as informer que si je devais partir a l’étranger je devais juste arrêter le traitement deux mois avant le vaccin sinon elle m’as fait une attestation qui informe que je que je suis apte a tout, mais c'est dans le civil 

ce matin je suis aller au rdv avec le médecin de la caserne dans  laquelle je suis réserviste il ne m'as pas ausculter il se se serait rendu compte que je n'avais plus rien mais non il a décider de me mettre inapte définitif je vais faire appel de cette decision mais j'aimerais avoir des témoignage de personnes ayant du pso sous traitement ou ayant déjà effectuer ce recours toute ma vie est basé sur mon engagement je n'est jamais voulu faire autre chose ,en sachant que j'ai réussi tout les autres test sportifs etc... 

a qui dois je m'adresser pour être écouté 

merci de vos réponses

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a qui dois je m'adresser pour être écouté 

R. La demande recours doit être adressée à la direction régionale du service de santé dont votre unité dépend.

Extrait de l'INSTRUCTION N° 1700/DEF/DCSSA/PC/MA relative à la détermination et au contrôle de l’aptitude médicale à servir du personnel militaire du 31 juillet 2014

" 4. MODALITÉS DE RECOURS EN CAS DE CONTESTATION DES CONCLUSIONS MÉDICALES.

À l’occasion des expertises médicales de recrutement ou des examens médicaux dont bénéficient les militaires, les intéressés peuvent demander un réexamen tel que cela est précisé dans l'arrêté de première référence .

4.1. Sur-expertises.

4.1.1. Niveau de qualification du sur-expert.

Si elle est accordée, la sur-expertise est obligatoirement réalisée par un praticien certifié des forces ou un professeur agrégé, d’un centre d’expertise médicale ou d’un hôpital d’instruction des armées, d’un niveau de qualification ou de responsabilité supérieur au praticien ayant effectué l’expertise contestée.

La hiérarchie du niveau de sur-expertise est la suivante : praticien certifié (des forces ou des hôpitaux), professeur agrégé dans la discipline concernée ou chef de service hospitalier dans la discipline concernée et consultant national dans la spécialité en dernier recours.

4.1.2. Modalités de saisine du sur-expert et organisation de la sur-expertise.

La sur-expertise médicale peut être demandée par l’intéressé, un médecin du service de santé des armées ou le commandement. La demande est formulée par courrier adressé au directeur régional du service de santé des armées compétent pour la zone géographique dont dépend le praticien qui a prononcé la décision contestée.

L’autorité saisie du service de santé des armées est seule juge de la décision d’accorder ou non la sur-expertise et a la charge de désigner le sur-expert. Cette décision est un acte technique, imposant l’analyse de la situation médicale et administrative du militaire ou du candidat à l’engagement concerné.

En cas de refus, l’autorité saisie informe le militaire ou le candidat à l’engagement concerné du motif de refus.

En cas d’accord, l’autorité saisie a la charge de saisir le sur-expert (dans le respect du principe de hiérarchie du niveau de l’expert) et d’organiser la sur-expertise. La saisine des consultants nationaux est de la compétence exclusive de la direction centrale du service de santé des armées.

L’autorité saisie informe avec un préavis suffisant le militaire ou le candidat à l’engagement concerné des modalités pratiques de la sur-expertise (nom du sur-expert, date, horaire et lieu de la sur-expertise, etc.).

L’accord du militaire ou du candidat à l’engagement concerné est recherché. Dans l’attente des résultats de la sur-expertise, le militaire est employé en respectant les éventuelles limitations posées par le médecin militaire, sauf si l’intéressé est en période probatoire et que celle-ci ne peut être prolongée. Dans ce dernier cas, le militaire est déclaré inapte à servir et son contrat d’engagement dénoncé pour raison médicale.

À l’issue de la sur-expertise médicale, un compte-rendu de sur-expertise est transmis à l’autorité du service de santé des armées ayant mandaté le sur-expert. L’autorité saisie informe l’intéressé, le médecin de l’antenne médicale soutenant celui-ci ainsi que le praticien dont la décision a été contestée, des résultats de la sur-expertise. Dans le cas où le commandement a demandé la sur-expertise, celui-ci est également informé des résultats de celle-ci en ne transmettant que des données à caractère médico-administratif.

4.1.3. Conséquences de la sur-expertise médicale.

Les conclusions de la sur-expertise médicale doivent être appliquées, qu’elles confirment ou non le premier avis médical.

Au-delà de la période probatoire, si la sur-expertise médicale confirme le premier avis médical, l’intéressé peut solliciter de son commandement une aptitude à servir par dérogation aux normes médicales.

Une décision administrative basée sur le résultat d’une sur-expertise médicale peut faire l’objet d’une saisine de la commission des recours des militaires.".

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Il y a 7 heures, BTX a dit :

a qui dois je m'adresser pour être écouté 

R. La demande recours doit être adressée à la direction régionale du service de santé dont votre unité dépend.

Extrait de l'INSTRUCTION N° 1700/DEF/DCSSA/PC/MA relative à la détermination et au contrôle de l’aptitude médicale à servir du personnel militaire du 31 juillet 2014

" 4. MODALITÉS DE RECOURS EN CAS DE CONTESTATION DES CONCLUSIONS MÉDICALES.

À l’occasion des expertises médicales de recrutement ou des examens médicaux dont bénéficient les militaires, les intéressés peuvent demander un réexamen tel que cela est précisé dans l'arrêté de première référence .

4.1. Sur-expertises.

4.1.1. Niveau de qualification du sur-expert.

Si elle est accordée, la sur-expertise est obligatoirement réalisée par un praticien certifié des forces ou un professeur agrégé, d’un centre d’expertise médicale ou d’un hôpital d’instruction des armées, d’un niveau de qualification ou de responsabilité supérieur au praticien ayant effectué l’expertise contestée.

La hiérarchie du niveau de sur-expertise est la suivante : praticien certifié (des forces ou des hôpitaux), professeur agrégé dans la discipline concernée ou chef de service hospitalier dans la discipline concernée et consultant national dans la spécialité en dernier recours.

4.1.2. Modalités de saisine du sur-expert et organisation de la sur-expertise.

La sur-expertise médicale peut être demandée par l’intéressé, un médecin du service de santé des armées ou le commandement. La demande est formulée par courrier adressé au directeur régional du service de santé des armées compétent pour la zone géographique dont dépend le praticien qui a prononcé la décision contestée.

L’autorité saisie du service de santé des armées est seule juge de la décision d’accorder ou non la sur-expertise et a la charge de désigner le sur-expert. Cette décision est un acte technique, imposant l’analyse de la situation médicale et administrative du militaire ou du candidat à l’engagement concerné.

En cas de refus, l’autorité saisie informe le militaire ou le candidat à l’engagement concerné du motif de refus.

En cas d’accord, l’autorité saisie a la charge de saisir le sur-expert (dans le respect du principe de hiérarchie du niveau de l’expert) et d’organiser la sur-expertise. La saisine des consultants nationaux est de la compétence exclusive de la direction centrale du service de santé des armées.

L’autorité saisie informe avec un préavis suffisant le militaire ou le candidat à l’engagement concerné des modalités pratiques de la sur-expertise (nom du sur-expert, date, horaire et lieu de la sur-expertise, etc.).

L’accord du militaire ou du candidat à l’engagement concerné est recherché. Dans l’attente des résultats de la sur-expertise, le militaire est employé en respectant les éventuelles limitations posées par le médecin militaire, sauf si l’intéressé est en période probatoire et que celle-ci ne peut être prolongée. Dans ce dernier cas, le militaire est déclaré inapte à servir et son contrat d’engagement dénoncé pour raison médicale.

À l’issue de la sur-expertise médicale, un compte-rendu de sur-expertise est transmis à l’autorité du service de santé des armées ayant mandaté le sur-expert. L’autorité saisie informe l’intéressé, le médecin de l’antenne médicale soutenant celui-ci ainsi que le praticien dont la décision a été contestée, des résultats de la sur-expertise. Dans le cas où le commandement a demandé la sur-expertise, celui-ci est également informé des résultats de celle-ci en ne transmettant que des données à caractère médico-administratif.

4.1.3. Conséquences de la sur-expertise médicale.

Les conclusions de la sur-expertise médicale doivent être appliquées, qu’elles confirment ou non le premier avis médical.

Au-delà de la période probatoire, si la sur-expertise médicale confirme le premier avis médical, l’intéressé peut solliciter de son commandement une aptitude à servir par dérogation aux normes médicales.

Une décision administrative basée sur le résultat d’une sur-expertise médicale peut faire l’objet d’une saisine de la commission des recours des militaires.".

BTX

 

merci pour les renseignements

 

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  • 4 years later...

Bonjour

J'ai moi-même eu ce problème en gendarmerie mais ils m'ont pas mise inapte définitif juste temporaire pour me mettre apte après ils sont assez compréhensif j'ai un traitement fort aussi qui nous permet pas de faire tous les vaccins obligatoires.

L'armée quand tu part en Opex tu doit faire bon nombre de vaccins tous les X années (fièvre jaune...) mais ça a passé pour Gendarme Adjoint Volontaire Gendarmerie dans le Secretariat (je n'ai pas de plaques car soigné grâce au traitement) car la gendarmerie ne fonctionne pas comme l'armée.

Le médecin de la gendarmerie quand il m'a mise inapte temporaire je lui ai dit si il le faut j'arrêterais le traitement il m'a dit il y a rien de plus important que la santé. Je pense que vous êtes jeune il faut tenter si on vous met inapte on vous met inapte et puis vous y pouviez rien. Mais parlez à votre spécialiste civil avant moi le mien m'a dit qu'il existe des traitements qui permettent de faire tous les vaccins. Et j'ai également été suivi par un dermatologue militaire à l'hôpital militaire de Percy ils sont super là bas vous pouvez toujours prendre rendez vous et étaler tout ça. 

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