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Bonsoir à tous,

 

en me renseignement sur l'ALAT, j'ai découvert les Peloton de Protection de Reconnaissance et d'Aide au Déploiement. et je voulais savoir si quelqu'un aurait des infos les concernants. à priori, ils seraient les héritiers des parqueurs baliseurs. 

 

donc mes questions sont:

 

-comment rentrer dans ces pelotons ? (si on peut en externe ou si c'est des recrutements internes dans les RHC)

-quelles sont leurs missions exactes?

merci et bonne soirée.

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Le 5e RHC au Mali : les petites mains qui préparent le terrain

Pompiers, contrôleurs aériens, gestionnaire des stocks, logisticiens… Sept pelotons de l’escadrille d’appui aéromobile interviennent à Gao

« Sud Ouest » a suivi au plus près les militaires du 5e RHC basés à Gao, au Mali. Retour sur le quotidien de 150 soldats palois engagés dans la force Barkhane. Toute cette semaine, "Sud Ouest" publie une série de reportages sur la mission des militaires du 5e RHC au Mali. Retrouvez-les au fil des jours dans nos éditions, ainsi que dans notre dossier sur sudouest.fr 

Ils sont plusieurs dizaines placées sous le commandement du capitaine Fabien. L’escadrille d’appui du 5e RHC a fait la route jusqu’à Gao. Comme son homologue de maintenance, elle joue un rôle primordial dans l’opération extérieure. Divisée en sept pelotons, elle régit et encadre la mission.

Les responsables de chaque peloton sont rompus à l’exercice. À chaque opex, ils s’affranchissent des obstacles rencontrés au sol. Ce sont eux qui, le plus tôt possible, doivent optimiser les conditions de l’opération. Parmi eux, il y a d’abord les quinze hommes du peloton de reconnaissance et d’appui au déploiement (PRAD) qui assurent la sécurité des manœuvres de la force. Il y a aussi les quatre contrôleurs aériens qui gèrent la centaine de décollages et atterrissages journaliers, au bord de la piste de 2500 mètres. « C’est un travail H24, précise Jéromine qui en est à sa quatrième opex. La zone de contrôle s’étend jusqu’à 100 kilomètres autour de la base. »

De leurs côtés, les huit hommes des transmissions assurent 70 kilomètres de réseau et un système télégraphique de secours. La radio, elle, porte de zéro à 700 kilomètres.

« Anticiper au mieux »

Sous 1 500 m² d’espace, le matériel nécessaire aux hommes des ateliers est stocké au millimètre près. De la goupille au moteur, tout l’équipement arrive quotidiennement sur la base de Niamey au Niger, avant d’être transféré à Gao. « Ici, les pales s’usent très vite et les moteurs souffrent, précise le responsable du peloton. Notre objectif, c’est d’anticiper au mieux les pannes. » En cas d’urgence, une pièce met trois jours maximum pour arriver.

Ces pelotons « support » ont tous une attribution particulière qui permet à la base de fonctionner sans accrocs. Détail méconnu, une dizaine de pompiers font partie de cette escadrille. Formés à l’aéronautique et à l’armement, ils apportent une assistance médicale et interviennent sur les incendies. Depuis leur arrivée en septembre, ils ont connu six alertes.

https://www.calameo.com/read/00401232944b50ebaca9e

Revue ALAT n° 24 - juin 2014

Ya Rab Yeshua.

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