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Burkina: deux commandos marine français tués lors d'une opération de libération d'otages


BTX

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http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2019/05/10/burkina-deux-militaires-francais-tues-lors-d-une-operation-d-20221.html

Quatre otages dont les deux Français enlevés au Bénin la semaine dernière ont été libérés par les forces françaises dans le nord du Burkina Faso. Les Français Patrick Picque et Laurent Lassimouillas avaient été enlevés le 1er mai dans le nord du Bénin.

Une Américaine et une Sud-Coréenne ont aussi été libérées.

Au cours de l'opération, les forces françaises ont perdu deux soldats. Il s'agit de commandos marine appartenant au commando Hubert de Saint-Mandrier.

Cette opération a été décidée après la localisation d'un campement suspect dans le nord du Burkina Faso, zone où l'activité des GAT est intense. L'assaut a été lancé dans la nuit de jeudi à vendredi, permettant la libération de quatre otages. Quatre ravisseurs ont été tués.

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Florence Parly a donné quelques détails sur cette opération et dévoilé l'identité des deux commandos marine tués au combat:
"Je salue la mémoire des deux militaires des forces spéciales de l’opération Barkhane morts pour la France lors de la libération de quatre otages au Burkina Faso. Le maître Cédric de Pierrepont et le maître Alain Bertoncello sont décédés au cours d’une mission qui a permis de libérer quatre otages cette nuit : deux Français, enlevés récemment au Bénin, ainsi qu’une ressortissante américaine et une ressortissante sud-coréenne. C’est avec émotion et tristesse que j’adresse mes pensées aux familles des deux militaires décédés, à leurs proches, à leurs frères d’armes et à l’ensemble des commandos marine".

Le chef d'état-major des armées a fourni d'autres précisions dont la confirmation d'un soutien US en matière de renseignement (drones Reaper):
"Le général d’armée François Lecointre, chef d’état-major des armées, s’incline devant la mémoire du maître Cédric de Pierrepont et du maître Alain Bertoncello, officiers mariniers des forces spéciales, tués lors d’une opération de libération d’otages au Burkina Faso, dans la nuit du 9 au 10 mai. Il assure leurs familles, leurs proches et leurs camarades de son soutien et leur témoigne de son profond respect devant la détermination héroïque dont les deux militaires ont fait preuve. Il salue l’engagement exemplaire des forces spéciales françaises qui, avec le concours direct de l’opération Barkhane, des forces armées burkinabé et le soutien en renseignement américain, ont libéré quatre otages de leurs ravisseurs terroristes. Cette libération d’otages, au prix de la vie de deux commandos marine, démontre la maîtrise technique des forces spéciales françaises et leur courage héroïque. L’action précise et déterminée des militaires français a permis de neutraliser les ravisseurs en préservant la vie des otages, au prix de la vie de nos deux camarades. Cette opération audacieuse a permis de sauver les quatre personnes retenues prisonnières sur le campement : les deux otages français ainsi qu’une citoyenne américaine et une ressortissante sud-coréenne.
Elle a été rendue possible par la mobilisation des moyens de Barkhane, l’implication des forces burkinabé et le soutien américain en renseignement. Ces facteurs ont été essentiels pour le succès de l’opération, garantissant la réactivité dès l’annonce de la disparition des deux Français, la mise à disposition de moyens et la cohérence d’ensemble de l’opération. Cette opération démontre l’engagement des armées françaises pour porter secours à leurs compatriotes, au risque de la vie de leurs soldats".

More Majorum.

 

https://youtu.be/FU1iQNPUOgA

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Ya Rab Yeshua.

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https://www.facebook.com/marinenationale.officiel/photos/a.198481946841678/2279390055417513?type=3&sfns=mo

Mort en opération de deux commandos Marine.

La Marine nationale est en deuil et s'associe à la douleur de leurs familles et de leurs frères d'armes. " Les MT Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, du commando Hubert, sont morts cette nuit au combat dans une opération de libération d’otages. J’admire leur courage, je partage la peine de leurs familles et de leurs proches." Amiral Christophe Prazuck, chef d'état-major de la Marine

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[#InMemoriam] Maître Cédric de Pierrepont (à gauche sur la photo)

Né en 1986, le maître de Pierrepont est entré dans la Marine nationale en 2004, au sein des équipages de la flotte. Il intègre en 2005 la spécialité de fusilier marin et se distingue en terminant premier sur quarante-sept de son cours de Brevet élémentaire.

Un an et demi plus tard, il réussit le stage commando. Il est ensuite affecté au commando de Penfentenyo où il est promu au grade de second-maître et obtient son brevet d’aptitude technique fusilier marin-commando. En août 2012, il réussit le cours de nageur de combat puis rallie le commando Hubert. Il y occupait les fonctions de chef de groupe commando depuis le 1er avril 2018.

Le maître de Pierrepont était pacsé. Il cumulait 15 ans de service au cours desquels il a plusieurs fois été engagé sur des théâtres d’opérations en Méditerranée, au Levant et au Sahel ; théâtre sur lequel il était déployé depuis le 30 mars dernier.

Il était titulaire de quatre citations (à l’ordre du régiment, de la brigade et de la division) avec attribution de la Croix de la Valeur Militaire et d’une citation à l’ordre de la Brigade avec attribution de la Médaille d’or de la Défense nationale. Il était en outre décoré entre autres de la Médaille d’or de la défense nationale « Nageur de combat – Missions d’opérations extérieures » et de la médaille d’Outre-mer avec agrafes Sahel et Liban.

[#InMemoriam] Maître Alain Bertoncello (à droite sur la photo)

Le Maitre Alain Bertoncello, né en 1991, est entré dans la Marine nationale en rejoignant l’école de maistrance le 14 février 2011. Il choisit le 1er mars 2012 la spécialité de fusilier marin et réussit le stage commando la même année. Après 5 ans au commando Jaubert, il obtient le brevet de nageur de combat et rejoint le commando Hubert basé à Saint-Mandrier dans le Var, où il était affecté depuis juillet 2017.

Après son entrée au sein des commandos marine, le maître Bertoncello a participé à des missions de défense des intérêts maritimes français aux Seychelles (protection des thoniers) et à plusieurs opérations extérieures au Qatar, au Levant et au Sahel ; théâtre sur lequel il était engagé depuis le 30 mars dernier.

Le MT Bertoncello était pacsé. Il cumulait plus de 7 ans de service au sein de la Marine nationale.

Il était titulaire d’une citation à l’ordre du régiment avec attribution de la Médaille d’or de la Défense nationale et était décoré de la Médaille d’Outre-mer pour le Moyen-Orient ainsi que de la Médaille d’argent de la Défense nationale.

"What is dead, May never die"

SEM 77 / 499-7

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Quelques précisions quant au modus operandi =

L’opération a été conduite par une vingtaine de commandos, dans le nord du Burkina, non loin de la frontière du Mali.

Le campement était composé de quatre abris et les commandos ont réussi à s’infiltrer sur deux cents mètres à découvert, malgré la présence d’une sentinelle. Ce n’est qu’à dix mètres de l’objectif qu’ils ont été repérés. Ils ont donné l’assaut sans ouvrir directement le feu, de peur de toucher les otages ou des familles des ravisseurs. Une fusillade s’est aussitôt déclenchée au cours de laquelle les 2 officiers mariniers français ont été tués. Quatre ravisseurs ont été «  neutralisés  » (tués) et deux autres ont pu prendre la fuite. Les commandos français ont alors ensuite pu libérer les deux otages français, découvrant également deux autres otages, une Américaine et une Sud-Coréenne, dont ils ignoraient la présence.

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L’opération a en réalité débuté mardi 7 mai. Selon le général Lecointre (CEMA), une «  opération discrète  » s’est déroulée ce jour-là permettant d’  » acquérir du renseignement  » et de «  traquer très précisément les ravisseurs  ». Ceux-ci ont été suivis alors qu’ils se déplaçaient en direction du Mali, sans doute avec l’aide de drones et d’autres moyens de collecte du renseignement, dont certains fournis par les Américains comme c’est régulièrement le cas au Sahel.

Lorsque les ravisseurs ont fait une halte, sur proposition de l’amiral Isnard, patron du COS, la décision a été prise de lancer l’opération de libération, avant qu’ils ne franchissent la frontière avec le Mali. Un important dispositif a alors été mis en place, avec des moyens médicaux (chirurgie de l’avant) et des plots de ravitaillement - l’opération nécessitant une forte élongation depuis Ouagadougou, où les forces spéciales sont basées. L’armée burkinabée a participé à ce volet de l’opération.

Les autorités françaises redoutaient que les otages ne soient livrés à un groupe terroriste au Mali, sans doute la katiba Macina, ce qui aurait rendu une opération de vive force «  trop risquée  » selon Florence Parly. On ignore le nom du groupe qui a enlevé les 2 Français dans le nord du Bénin, la ministre évoquant «  des bandits et des terroristes  ». Deux groupes sont actifs dans le secteur : l’Etat islamique du Grand Sahara et Ansar ul Islam, lié à Al Qaïda.

https://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/burkina-deux-commandos-marine-tues-cours-d-liberation-d-otages-186580

PS. Pour info, sept commandos dont

Les Commando Jaubert et Trépel qui sont spécialisés dans l'assaut à la mer, le contre-terrorisme maritime et l’extraction de ressortissants, libération d'otages.

Le Commando de Montfort qui est spécialisé dans la neutralisation à distance (tireurs d’élite longue distance, mortiers, missiles anti-char…).

Le Commando de Penfentenyo qui est spécialisé dans la reconnaissance et l'acquisition de renseignements opérationnels à des fins d’action comme le guidage sur cible d’appuis externes.

Le Commando Kieffer qui est spécialisé dans les techniques de pointe (informatique, drones, vigilance NRBC…).

Le Commando Ponchardier recréé le 11 septembre 2015 est spécialisé dans l'appui aux opérations spéciales.

Le Commando Hubert basé à Saint Mandrier (Var) est spécialisé dans l'action sous-marine et dans les actions de contre-terrorisme maritime, libération d'otages, il est constitué de nageurs de combat.

Les commandos Jaubert et Trepel comprennent chacun un groupe spécialisé dans la libération d’otages sur cibles maritimes ou terrestres, nommés groupes CTLO (Contre-terrorisme et libération d’otages).

Ya Rab Yeshua.

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« Ce n’est pas à moi de juger si la mission d’aller porter secours à une personne est légitime », assure le chef des forces spéciales

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Les deux touristes français libérés au Burkina Faso le 10 mai par les forces spéciales après avoir été enlevés neuf jours plus tôt lors d’une excursion dans le parc de national de la Pendjari, dans le nord du Bénin, ont-ils été imprudents?

D’après le Figaro, Marianne, ou encore Le Parisien, le parc national de la Pendjari n’était pas classé en « zone rouge » par le ministère des Affaires étrangères au moment de leur enlèvement.

En réalité, selon une carte mise en ligne le 27 avril, seul l’extrême-nord de la région était « formellement déconseillé » aux voyageurs, la partie plus au sud étant classée « orange », c’est à dire « déconseillée sauf raison impérative ».

Dans un cas comme dans l’autre, il était donc risqué d’entreprendre une telle excursion, d’autant plus que l’on ignore le lieu exact où les deux touristes ont été enlevés. Et le résultat est que deux commandos marine ont laissé leur vie dans l’opération montée pour les libérer.

Pour l’amiral Laurent Isnard, le commandant des opérations spéciales [COS], qui s’est confié au Journal du Dimanche, il est évidemment « humainement difficile de perdre deux commandos ». Et il l’est d’autant plus touché par la mort des maîtres Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello qu’il a été la tête du commando Hubert [l’unité à laquelle ils appartenaient].

« Mais le combat, c’est aussi avoir beaucoup d’humilité, de ténacité, d’audace et d’abnégation », a continué l’amiral Isnard. « Nous n’avons aucun doute sur le bien-fondé de notre mission. Et ce n’est pas à moi de juger si la mission d’aller porter secours à une personne est légitime », a-t-il fait valoir.

« Lorsque le peloton de gendarmerie de haute montagne va chercher des skieurs qui font du hors-piste, il ne se pose pas la question de savoir d’où ils viennent ou qui ils sont », a relevé l’amiral Isnard.

Et cela vaut aussi pour les forces spéciales qu’il commande. « Il en est de même pour nous » et « tant que des citoyens français seront menacés et que nous recevrons l’ordre d’aller les chercher, nous irons les chercher. C’est notre métier, c’est notre mission et nous continuerons à la faire », a-t-il assuré. Et d’insister : « Et si c’est face à des terroristes, nous n’avons aucun état d’âme, nous sommes prêts à recommencer dès demain matin. »

Quant à l’opération en elle-même, l’amiral Isnard a expliqué qu’elle a été décidée dans l’après-midi du 10 mai, quand il est apparu que les ravisseurs allaient très certainement remettre leurs otages à un groupe jihadiste « beaucoup plus dur » au Mali. « Il fallait donc absolument profiter de cette occasion, ce temps d’arrêt pendant lequel nous avions les otages et les terroristes en visuel, permettant d’envisager une action de libération », a-t-il dit.

Les modalités de cette opération ont été définies à Paris, en relation avec les commandos sur le terrain. Elles ont ensuite été proposées au général François Lecointre, le chef d’état-major des armées [CEMA], qui les a validées. Puis, ce plan d’action a été approuvé par le Président Macron. « C’était une occasion unique, sachant que l’action était pointue. Car les terroristes ont pour consigne d’abattre leurs otages si ceux-ci risquent d’être libérés », a souligné l’amiral Isnard.

http://www.opex360.com/2019/05/12/ce-nest-pas-a-moi-de-juger-si-la-mission-daller-porter-secours-a-une-personne-est-legitime-assure-le-chef-des-forces-spéciales/

Ya Rab Yeshua.

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 Ce n’est pas à moi de juger si la mission d’aller porter secours à une personne est légitime », assure le chef des forces spéciales

Il a tout a fait raison, au delà de toutes polémiques , la mission des forces spéciales est  entre autres de secourir les ressortissants Français , que ce sont des touristes inconscients , ou des expatriés  qui montent des entreprises en Afrique pour payer moins d'impôts  .

Honneur a ses hommes d’exceptions et a notre pays qui possède les meilleures forces spéciales .

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Et contrairement à ce que disent les médias et autres néophytes de l'armée ,ils ne sont pas sacrifiés.ce n'était oas une mission sacrifice où ils savaient qu'ils mourraient en sauvant les otages .c'était une mission très sensible et malheureusement tout le monde n'est pas rentré indemne.ils sont morts en service commandé .chacun pleurs ses morts mais les missions vont se succéder .

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Je livre dans son "jus" cette "information" à prendre avec réserve puisqu'aucun officiel français ne viendrait la confirmer ou l'infirmer =

" Two female CIA assets, a U.S and South Korean nationals were kidnapped in a Sahel Country and not a single Government or media reported the information. They were freed on 10 May 2019 during a joint U.S-French Special Operation in Northern Burkina Faso. The raid was spearheaded by French Navy Special Forces, mainly the Hubert Commando. Besides the two women, two other hostages were freed amidst the fierst firefight. They were kidnapped in Benin on 1 May 2019. The French Government aknowledged the death of two battle-hardened commandos in the operation.

Mainstream media are keeping an absolute silence about the two women.".

https://strategika51.org/archives/62902

Ya Rab Yeshua.

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Vraie ou fausse, nous n'en saurons rien. Et le silence sera la seule réponse à des supputations.

Il paraît que Jason Bourne était dans la zone…………...

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Burkina : 24 commandos face à six terroristes ?

Des questions restent sans réponse sur l’opération spéciale de libération d’otage au cours de laquelle 2 commandos ont été tués.

Que s’est-il exactement passé lors de la libération des otages par les forces spéciales dans la nuit du 9 au 10 mai ?

Dès le lendemain, la ministre des Armées et le chef d’état-major des armées ont fourni un récit de l’opération, mais des zones d’ombre demeurent. Les milieux spécialisés, souvent proches des unités militaires engagées dans cette action, s’interrogent sur la version officielle. Même « spéciales », les opérations militaires ne sont pas une science exacte et restent soumises aux aléas de la guerre – la « friction » selon Clausewitz. L’action au Burkina n’y a pas échappé, avec la mort de deux commandos, qui n’a pas empêché le succès de la mission : libérer les otages et les ramener sains et saufs en France.

Quel était le rapport de force ?

Selon nos informations, 24 militaires français (« une vingtaine » selon l’état-major) ont participé à la phase finale de l’assaut sur le campement où étaient détenus les otages. Ils proviennent du commando Hubert de la marine (section B), du 1er RPIMa ainsi que du CPA 10. En face, selon la version de l’état-major, il n’y aurait eu que six « terroristes », puisqu’il a été indiqué que quatre ont été tués et que deux autres sont parvenus à s’enfuir. Le rapport de force semblait donc favorable aux Français à 4 contre 1. Plusieurs interlocuteurs s’interrogent toutefois sur le faible nombre de « terroristes » : à peine six pour garder quatre otages. Cela semble très peu, alors que deux jours plus tard dans la même région, entre 20 et 30 terroristes ont attaqué une église catholique.

Qui étaient les ravisseurs ?

On l’ignore et il n’est pas exclu que ce soit des bandits, liés à des groupes djihadistes. Le chef d’état-major des armées a lâché une information, non confirmée par la ministre, selon laquelle les otages risquaient d’être transférés à la katiba Macina, qui opère au Mali. Ce groupe est dirigé par Amadou Koufa, dont la mort avait été annoncée le 23 novembre 2018 par Florence Parly, à la suite d’une opération française. Le 1er mars, la chaîne France 24 démentait cette information, en diffusant une vidéo de ce « gros poisson » du djihad. On comprend combien Paris pouvait redouter que deux otages français tombent entre ses mains… Ce prédicateur peul est l’une des principales HVT (High Value Target, cible de haute valeur) de l’opération Sabre. Le commando Hubert est d’ailleurs maintenu sur place pour le traquer. Un proche de ces milieux, qui a été impliqué dans une autre affaire otage, s’interroge : « D’habitude, la France paye sans le dire pour libérer ses otages, mais dans ce cas cela n’aurait pas été possible ».

Comment sont morts les deux commandos ? Le renseignement pris en défaut sur le nombre d’otages ? Quel a été le rôle des Américains ? Y a-t-il des précédents ?

https://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/burkina-24-commandos-face-a-six-terroristes-187154

Ya Rab Yeshua.

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Encore des journaleux qui veulent tout savoir et se donner le statut d'expert . Prenons Marignane en 95 , il y a avait cinq ou six terroriste et le gign est intervenu avec un effectif conséquent . Au Burkina le nombre de terroristes  était peut être pas connu . vingt pax pour deux otages c est correcte .s'il avait fallu les brancarder , avoir du monde pour sécuriser , recherche de matériel sur place (disque durs etc ) . malheureusement il y a eu deux pertes ce qui a engendré des soucis supplementaires sur place 

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