BTX Posté(e) 16 novembre 2019 Signaler Partager Posté(e) 16 novembre 2019 http://www.opex360.com/2019/11/16/les-forces-speciales-americaines-testent-une-armure-legere-de-combat/ En 2013, le commandement des opérations américaines [US SOCOM] avait présenté le programme TALOS [Tactical Assault Light Operator Suit], lequel visait à mettre au point une tenue de combat « révolutionnaire » digne d’Iron Man, le « super héros » des studios Marvel. Il était alors question d’exosquelette [qui décuple la force physique], de systèmes informatiques et de communication dernier cri, de capteurs pour assurer une surveillance médicale constante du combattant et d’une arme composée de fluides magnéto-rhéologiques, permettant de passer à l’état solide en quelques millisecondes. Seulement, en février 2019, l’US SOCOM fut bien forcé d’admettre qu’il s’était montré beaucoup trop ambitieux. « TALOS, ce ne sera pas Iron Man. […] La technologie est actuellement hors de portée. […] Mais nous n’allons pas arrêter de chercher une meilleure armure, une meilleure prise de conscience de la situation et une meilleure létalité. Nous allons continuer à regarder toutes ces choses », expliqua James H. Smith, le responsable des acquisitions des forces spéciales américaines. Et cela voulait dire que des sous-systèmes du programme TALOS allaient continuer à faire l’objet d’études. Ainsi, selon les confidences recueillies par le site Task and Purpose, les forces spéciales américaines testent actuellement un armure légère de combat en Polyéthylène [PE], offrant une protection contre les tirs d’armes légères sur plus de 44% du corps, contre 19% pour les gilets pare-balles « classique », comme le Modular Scalable Vest [MSV] de l’US Army. Les épaules, l’aine, les avant-bras et les obliques sont ainsi protégés. En outre, cette armure légère de combat est pèse 1,4 kg de moins qu’une protection balistique standard. Et elle est donc « en cours d’évaluation au combat par les unités des forces spéciales sur le terrain », a indiqué le capitaine de frégate Tim Hawkins, le porte-parole de l’US SOCOM. Quant au matériau utilisé pour cette armure, il s’agit du polyéthylène de masse molaire très élevée [UHMPE ou UHMWPE pour ultra high molecular weight polyethylene], lequel a déjà fait l’objet de travaux au sein de l’Army’s Natick Soldier Research, Development and Engineering Center [NSRDEC]. En 2017, ce centre de recherche avait présenté le un casque de combat expérimental qui, réalisé avec cette matière, offrait une protection accrue de 40% par rapport aux modèles en service. En septembre, l’Army Research Office [ARO] a fait savoir qu’il avait mis au point une matière plastique 14 fois plus résistante et 8 fois plus légère que l’acier, grâce à un nouveau matériau à base de polyéthylène à haut module. Cependant, le porte-parole du SOCOM a refusé de dire si l’armure de combat actuellement en cours d’évaluation était issue de ces recherches. « C’est un matériau qui faisait partie d’un effort pour le projet TALOS », a-t-il simplement dit. Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 16 novembre 2019 Signaler Partager Posté(e) 16 novembre 2019 Il y a le même style version FR , surement moins bonne que la version US je pense . Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
dragunov Posté(e) 16 novembre 2019 Signaler Partager Posté(e) 16 novembre 2019 La résistance aux impacts des plaques balistiques en PEHD est en effet assez surprenante... Pour un matériau qui sert d'ordinaire de planche à découper !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 16 novembre 2019 Signaler Partager Posté(e) 16 novembre 2019 Ce n'est pas trop le matériaux mais l'assemblage qui fait tout surtout ! Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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