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Quelles sont les différences entre SO Technicien Exploitation Renseignement dans l'Armée de Terre et dans l'Armée de l'Air ?


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Bonjour,

J'aimerai avoir des éventuels retour du poste de Sous-Officier Technicien Exploitation Renseignement et sur les missions, et également les différences notables entre le poste au sein de l'armée de terre et au sein de l'armée de l'air. Il y a assez peu d'infos précises donc je préfère demander ici.

 

Bonnes fêtes de fin d'année et merci d'avance pour vos réponses

Modifié par mva
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Texte de référence pour l'armée de terre

https://www.bo.sga.defense.gouv.fr/boreale_internet/BOC/BOC_10121/195339_cert.pdf

Extrait =

" Cadre général.

Le DS RENS regroupe les métiers de l'armée de terre qui participent à l'orientation, à la recherche, à l’exploitation, à la diffusion du renseignement ainsi qu’à l’appui géographique, aux actions spéciales et aux relations internationales.

L’orientation fixe au cycle du renseignement son cadre d’action. Elle consiste en l’analyse d’une situation initiale, puis en la prise en compte et l'analyse des besoins en renseignements d’une unité en opérations d’où découleront une planification de la recherche et des directives pour l’exploitation du renseignement. Elle représente le savoir-faire à attendre des responsables de la chaîne du renseignement.

La recherche du cycle du renseignement met en œuvre des moyens humains ou techniques en charge du recueil des informations et des données nécessaires à la satisfaction des besoins en renseignement exprimés, ainsi que leur traitement primaire, avec l’appui de moyens informatisés.

L’exploitation du renseignement permet de transformer les informations recueillies en renseignements vérifiés et validés. Elle ambitionne de connaître puis comprendre une situation, permettant ainsi d’accéder aux intentions adverses dans le but d’apporter au chef des éléments concourant à la prise de décision. La capacité d’anticipation qu’offre le renseignement participe alors à la maîtrise de l’information. L’exploitation impose la maîtrise d’outils informatiques spécialisés.

La diffusion à temps du renseignement, tant vers les autorités que les troupes engagées, participe à la conquête de la supériorité de l’information.

La géographie a pour mission de fournir les informations relatives à la connaissance de l’espace physique et du milieu humain. Son travail participe notablement à la fonction renseignement et suit le cycle orientation-recueil-production-distribution.

L’action spéciale vise à atteindre des objectifs stratégiques sous contrôle politico-militaire étroit. Ces opérations sont ouvertes ou couvertes, préparées et exécutées dans la discrétion, et font appel à des techniques différentes de celles utilisées par les forces conventionnelles.

Les métiers relatifs aux relations internationales englobent le personnel responsable de la planification, de la préparation et de la mise en œuvre des activités ressortissant aux relations internationales, ainsi que celui participant aux représentations militaires à l’étranger.

En contribuant à optimiser la manœuvre des moyens disponibles, l’action du renseignement est un appui qui renforce la sauvegarde des forces engagées et valorise l’emploi des autres fonctions opérationnelles pour conduire au succès des armes.

La qualité d’un système de renseignement dépend de la continuité et de la cohérence du processus qui va de l’expression des besoins à leur satisfaction. Cette cohérence repose tant sur les différents outils mis en œuvre que sur la qualité et la compétence du personnel en charge des différentes étapes de l’action de renseignement. L’efficacité et la cohérence des actions de renseignement reposent sur un système de formation disposant d’un socle commun, conçu et acquis au sein d’un domaine de spécialités dédié.".

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Il y a 16 heures, BTX a dit :

Texte de référence pour l'armée de terre

https://www.bo.sga.defense.gouv.fr/boreale_internet/BOC/BOC_10121/195339_cert.pdf

Extrait =

" Cadre général.

Le DS RENS regroupe les métiers de l'armée de terre qui participent à l'orientation, à la recherche, à l’exploitation, à la diffusion du renseignement ainsi qu’à l’appui géographique, aux actions spéciales et aux relations internationales.

L’orientation fixe au cycle du renseignement son cadre d’action. Elle consiste en l’analyse d’une situation initiale, puis en la prise en compte et l'analyse des besoins en renseignements d’une unité en opérations d’où découleront une planification de la recherche et des directives pour l’exploitation du renseignement. Elle représente le savoir-faire à attendre des responsables de la chaîne du renseignement.

La recherche du cycle du renseignement met en œuvre des moyens humains ou techniques en charge du recueil des informations et des données nécessaires à la satisfaction des besoins en renseignement exprimés, ainsi que leur traitement primaire, avec l’appui de moyens informatisés.

L’exploitation du renseignement permet de transformer les informations recueillies en renseignements vérifiés et validés. Elle ambitionne de connaître puis comprendre une situation, permettant ainsi d’accéder aux intentions adverses dans le but d’apporter au chef des éléments concourant à la prise de décision. La capacité d’anticipation qu’offre le renseignement participe alors à la maîtrise de l’information. L’exploitation impose la maîtrise d’outils informatiques spécialisés.

La diffusion à temps du renseignement, tant vers les autorités que les troupes engagées, participe à la conquête de la supériorité de l’information.

La géographie a pour mission de fournir les informations relatives à la connaissance de l’espace physique et du milieu humain. Son travail participe notablement à la fonction renseignement et suit le cycle orientation-recueil-production-distribution.

L’action spéciale vise à atteindre des objectifs stratégiques sous contrôle politico-militaire étroit. Ces opérations sont ouvertes ou couvertes, préparées et exécutées dans la discrétion, et font appel à des techniques différentes de celles utilisées par les forces conventionnelles.

Les métiers relatifs aux relations internationales englobent le personnel responsable de la planification, de la préparation et de la mise en œuvre des activités ressortissant aux relations internationales, ainsi que celui participant aux représentations militaires à l’étranger.

En contribuant à optimiser la manœuvre des moyens disponibles, l’action du renseignement est un appui qui renforce la sauvegarde des forces engagées et valorise l’emploi des autres fonctions opérationnelles pour conduire au succès des armes.

La qualité d’un système de renseignement dépend de la continuité et de la cohérence du processus qui va de l’expression des besoins à leur satisfaction. Cette cohérence repose tant sur les différents outils mis en œuvre que sur la qualité et la compétence du personnel en charge des différentes étapes de l’action de renseignement. L’efficacité et la cohérence des actions de renseignement reposent sur un système de formation disposant d’un socle commun, conçu et acquis au sein d’un domaine de spécialités dédié.".

BTX

Merci pour ce document ! C'est vrai qu'il y a une énorme différence entre ce qui est écrit ici et ce qu'il m'a été dit en CIRFA.

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il y a 4 minutes, Yann pyromane a dit :

😁 çà arrive parfois surtout en fin d'année .

Ah je n'en doute pas, mais c'est pas évident de se faire une idée précise du poste surtout quand une conseillère te dit clairement qu'en réalité elle connaît pas vraiment la spé 😅

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Les supports utilisés et les informations traitées ne sont pas forcément les mêmes.

L'armée de terre exploitera des informations d'intérêt Terre, obtenues surtout par le biais de l'humain, de drones terre, d'exploitation de signaux électromagnétiques ou sources linguistes, etc.

L'armée de l'air exploitera des informations d'intérêt Air, obtenues par le biais de l'humain, de drones air, des avions et leurs capteurs, des satellites, d'exploitation de signaux électromagnétiques ou sources linguistes, etc.

Les moyens de travail sont différents, les informations recherchées peuvent être différentes, etc.

Après il y a quand même une coordination interarmées qui est faite.

Les deux donnes occasion de bosser en interarmées.

Tout dépend après de la préférence de chacun de l'armée et du type d'information que vous souhaitez traiter et qui vous intéresse le plus.

Personnellement je trouve qu'exploitant rens dans l'armée de l'air ouvre plus de portes et moyens de travail avec un domaine plus élargi que l'armée de terre mais c'est un avis personnel.

 

https://cf2r.org/travailler-dans-le-renseignement/au-service-de-letat/ministere-des-armees/le-renseignement-dans-larmee-de-lair/

 

https://www.defense.gouv.fr/operations/rubriques_complementaires/portraits-de-militaires-en-operations/chammal-portrait-de-sous-officiers-du-renseignement

Modifié par Malina
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"La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens."

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il y a une heure, Malina a dit :

Les supports utilisés et les informations traitées ne sont pas forcément les mêmes.

L'armée de terre exploitera des informations d'intérêt Terre, obtenues surtout par le biais de l'humain, de drones terre, d'exploitation de signaux électromagnétiques ou sources linguistes, etc.

L'armée de l'air exploitera des informations d'intérêt Air, obtenues par le biais de l'humain, de drones air, des avions et leurs capteurs, des satellites, d'exploitation de signaux électromagnétiques ou sources linguistes, etc.

Les moyens de travail sont différents, les informations recherchées peuvent être différentes, etc.

Après il y a quand même une coordination interarmées qui est faite.

Les deux donnes occasion de bosser en interarmées.

Tout dépend après de la préférence de chacun de l'armée et du type d'information que vous souhaitez traiter et qui vous intéresse le plus.

Personnellement je trouve qu'exploitant rens dans l'armée de l'air ouvre plus de portes et moyens de travail avec un domaine plus élargi que l'armée de terre mais c'est un avis personnel.

 

https://cf2r.org/travailler-dans-le-renseignement/au-service-de-letat/ministere-des-armees/le-renseignement-dans-larmee-de-lair/

 

https://www.defense.gouv.fr/operations/rubriques_complementaires/portraits-de-militaires-en-operations/chammal-portrait-de-sous-officiers-du-renseignement

Merci beaucoup pour toutes ces précisions. Pour détailler un peu plus les missions que j'aimerai faire, c'est du briefing mission renseignement, qui constituerait aussi à de la préparation de l'opération, et également j'aimerais, dans ce cadre, avoir le + d'occasions possibles de travailler avec les unités spéciales. Par exemple, briefer les pilotes sur les zones ENI/AMI les enjeux géopolitiques, politiques et stratégiques de la zone, les risques, etc, tout comme faire ce même briefing pour toute opération spéciale. 

Donc je ne sais si ce qui correspondrait le plus serait cette spé dans l'armée de terre ou dans l'armée de l'air. Le choix de quelle Armée est super important pout le parcours futur et pour le moment je pense que l'armée de l'air s'y apparenterait le +. Mais encore une fois, il vaut mieux être sur du choix que l'on fait mais aussi être sûr des perspectives que cela offrirait sur le long terme.

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Attention au niveau ! Ce que vous décrivez correspond davantage à la mission d'officier RENS voire chef OPS. Niveau "conception" car synthèse obligatoire pour ne "livrer" que l'utile/probant. Afin d'aider "le chef" à la prise de décision.

Le sous-officier, ce que vous aspirez à être, est au niveau "mise en oeuvre". Il exploite, concatène et livre "brut de pomme" les renseignements collectés après les avoir vérifiés, à l'officier RENS.

Chacun son job.

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Effectivement le plus souvent c'est l'officier renseignement qui fait la plupart de ces boulots, mais l'exploitant rens peut le faire aussi si l'officier rens n'a pas le temps ou n'est pas là, ou être présent pour l'aider.
Je sais que lors de ma dernière OPEX, il y avait l'officier rens et un sous-officier exploitant rens qui nous faisaient des briefings sur la situation.

Mais effectivement le sous-officier est largement plus dans la conception, analyse, traitement des informations brutes pour les fournir après à l'officier rens que la transmission des informations aux décideurs ou des gens qui ont besoin des informations. Cela est plutôt le boulot de l'officier renseignement qui est votre chef direct, on va dire, et à qui vous fournissez l'analyse et l'exploitation des informations brutes pour que lui il prépare les briefings etc, et vous l'aiderez aussi dans cette conception selon les unités, mais la présentation en soi le plus souvent c'est l'officier qui l'a fait après avoir amassé et "traduit" toutes les informations que ses sous-officiers rens de différents horizons lui ont fourni. En gros, l'officier rens est la bible du renseignement des unités ou des théâtres, c'est un poste très complexe.


Rien ne vous empêche après d'essayer de passer officier renseignement par le biais des concours officier des différentes armées.

Modifié par Malina
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"La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens."

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Le 31/12/2021 à 17:29, BTX a dit :

Attention au niveau ! Ce que vous décrivez correspond davantage à la mission d'officier RENS voire chef OPS. Niveau "conception" car synthèse obligatoire pour ne "livrer" que l'utile/probant. Afin d'aider "le chef" à la prise de décision.

Le sous-officier, ce que vous aspirez à être, est au niveau "mise en oeuvre". Il exploite, concatène et livre "brut de pomme" les renseignements collectés après les avoir vérifiés, à l'officier RENS.

Chacun son job.

BTX

Bonne année et meilleur voeux

Cela coule de sens, mais justement comme j'aspire à passer les concours d'officier par la suite afin d'être de carrière et non sous contrat, cela confirme mon attrait pour la spécialité et ce que j'attends au niveau des perspectives d'évolution mais laisse toujours la question du choix de l'armée de terre ou de l'armée de l'air en suspend 

Le 01/01/2022 à 17:03, Malina a dit :

Effectivement le plus souvent c'est l'officier renseignement qui fait la plupart de ces boulots, mais l'exploitant rens peut le faire aussi si l'officier rens n'a pas le temps ou n'est pas là, ou être présent pour l'aider.
Je sais que lors de ma dernière OPEX, il y avait l'officier rens et un sous-officier exploitant rens qui nous faisaient des briefings sur la situation.

Mais effectivement le sous-officier est largement plus dans la conception, analyse, traitement des informations brutes pour les fournir après à l'officier rens que la transmission des informations aux décideurs ou des gens qui ont besoin des informations. Cela est plutôt le boulot de l'officier renseignement qui est votre chef direct, on va dire, et à qui vous fournissez l'analyse et l'exploitation des informations brutes pour que lui il prépare les briefings etc, et vous l'aiderez aussi dans cette conception selon les unités, mais la présentation en soi le plus souvent c'est l'officier qui l'a fait après avoir amassé et "traduit" toutes les informations que ses sous-officiers rens de différents horizons lui ont fourni. En gros, l'officier rens est la bible du renseignement des unités ou des théâtres, c'est un poste très complexe.


Rien ne vous empêche après d'essayer de passer officier renseignement par le biais des concours officier des différentes armées.

A l'origine je souhaitais faire officier renseignement mais il s'agit d'un poste OSC. Voilà pourquuoi je m'oriente davantage sur Sous Off. Après ce que vous avez expliqué sur le rôle de l'officier et celui du sous officier ça me semble logique. Mais au moins je sais que les perspectives d'évolution seront en adéquation avec ce que je recherche. Il ne me reste plus qu'à savoir si le plus enrichissant en terme d'action, de coopération avec les unités spéciales, etc serait dans l'armée de l'air ou dans l'armée de terre.

 

Meilleur voeux et bonne année à vous

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Pour devenir officier dans l'armée de terre vous ne choisirez pas votre domaine de spécialité... en gros ça sera au classement. Si ça n'a pas changé.

Contrairement à l'armée de l'air où on le sait dès le concours.

"La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens."

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Il y a 4 heures, Malina a dit :

Pour devenir officier dans l'armée de terre vous ne choisirez pas votre domaine de spécialité... en gros ça sera au classement. Si ça n'a pas changé.

Contrairement à l'armée de l'air où on le sait dès le concours.

 

Il y a 3 heures, Yann pyromane a dit :

C'est un très gros avantage çà évite les mauvaises surprises en bout de scolarité ."Mon Colonel j'ai été choisi par....😁".

J'avais un doute par rapport à ça justement mais vous venez de me l'ôter. Si je résume bien dans l'armée de l'air on candidate à une spécialité, si on est pris et qu'on réussi les tests, on fera cette spécialité. Dans l'armée de terre on candidate pour être sous off et à l'issue de la scolarité en fonction du classement on choisi la spé et le régiment.

C'est sûr que ça évite les mauvaises surprises la méthode de l'AAE, on sait où l'on va professionnellement parlant

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Dans l'armée de terre tu rentres pour un domaine de spécialité que tu es sensé garder tout au long de ta formation mais pour le régiment tu n'as aucune garantie d’atterrir dans le régiment de tes rêves pour plusieurs exemples tu finis en queue de promo ou pas de recrutement cette année là donc tu prends ce qui reste dans les choix proposés.Je connais quelques gars qui ont changé de DS en cours de route mais jamais vers des filières non déficitaires.

Les meilleures places partent toujours immédiatement dans tous les DS.Après plus tu descends plus c'est le flou artistique voir de cruelles déconvenues avec affectations dans de jolis ports de pêche et là le rêve du guerrier des FS s'estompe 😁 mais tout le monde est dans la même galère donc faut bosser c'est tout.

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il y a 5 minutes, Yann pyromane a dit :

Dans l'armée de terre tu rentres pour un domaine de spécialité que tu es sensé garder tout au long de ta formation mais pour le régiment tu n'as aucune garantie d’atterrir dans le régiment de tes rêves pour plusieurs exemples tu finis en queue de promo ou pas de recrutement cette année là donc tu prends ce qui reste dans les choix proposés.Je connais quelques gars qui ont changé de DS en cours de route mais jamais vers des filières non déficitaires.

Les meilleures places partent toujours immédiatement dans tous les DS.Après plus tu descends plus c'est le flou artistique voir de cruelles déconvenues avec affectations dans de jolis ports de pêche et là le rêve du guerrier des FS s'estompe 😁 mais tout le monde est dans la même galère donc faut bosser c'est tout.

D'accord tout est relativement plus clair. Globalement je connaissais rapidement le système de classement et de place etc mais par rapport à la spé c'était encore flou.

Ah bah ça, que ça soit saint maix ou rochefort, sous officier, officier ou militaire du rang, et quelle que soit la spé, faut bosser, c'est bien comme ça qu'on progresse personnellement et pro. Il faut faire ses preuves c'est normal. C'est donc encore + vrai en école pour finir bien classé et pouvoir choisir là où on va, mais comme vous le dites si bien : tout le monde est dans la même galère. 😅

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çà me rappelle un vieux major qui nous avait menacé de venir filmer l'amphi final pour nous remontrer nos trombines pour ceux sortis derniers qui atterrissaient dans la lie des choix car :" cest à la fin du bal qu'on paye les musiciens ".30 ans après je m'en souviens encore .😁

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Il y a 1 heure, Yann pyromane a dit :

Dans l'armée de terre tu rentres pour un domaine de spécialité que tu es sensé garder tout au long de ta formation mais pour le régiment tu n'as aucune garantie d’atterrir dans le régiment de tes rêves pour plusieurs exemples tu finis en queue de promo ou pas de recrutement cette année là donc tu prends ce qui reste dans les choix proposés.Je connais quelques gars qui ont changé de DS en cours de route mais jamais vers des filières non déficitaires.

Les meilleures places partent toujours immédiatement dans tous les DS.Après plus tu descends plus c'est le flou artistique voir de cruelles déconvenues avec affectations dans de jolis ports de pêche et là le rêve du guerrier des FS s'estompe 😁 mais tout le monde est dans la même galère donc faut bosser c'est tout.

Si ça n'a pas changé, je connais des gens qui ont passé les EMIA et ils n'ont jamais choisi le DS pendant le concours ni avant leur formation. Le DS était choisi si je me rappelle bien en fin de scolarité à Saint Cyr et le régiment en fin de formation dans le DS.

Donc, ça a changé?

https://rh-terre.defense.gouv.fr/actualites/item/379-militaires-du-rang-concourrez-pour-devenir-officier

Ici sur la partie des deux femmes, elles dit bien qu'elles choisiront leur arme/service en fin de scolarité.

Modifié par Malina

"La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens."

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