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Brancardier secouriste.


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Description du poste :

Au quotidien, au centre médical, le brancardier secouriste assure des fonctions plutôt techniques et administratives. Il est un auxiliaire précieux de l'équipe médicale. Lors des manœuvres et dans l'éventualité d'un conflit, il assure la prise en charge des blessés qu'il évacue au poste de secours.

Profil :

EVAT (engagé volontaire)

Pas de niveau scolaire exigé, CAP/BEP appréciés pour les métiers techniques.

Être de nationalité française et jouir de ses droits civiques.

Avoir 17 ans et demi et moins de 29 ans à la date de signature du contrat.

VDAT (volontaire)

Pas de niveau scolaire exigé.

Être de nationalité française et jouir de ses droits civiques.

Avoir 18 ans et moins de 26 ans à la date de signature du contrat.

Les brancardiers secouristes servent au sein des services médicaux d'unité (SMU) des régiments stationnés en métropole et outre-mer et au sein des régiments médicaux.

Stabilité émotionnelle.

Force.

Autonomie.

Humanité.

La formation initiale du jeune engagé se déroule en trois temps. D'abord, une formation initiale comprenant un module général et un module spécialisé brancardier secouriste qui lui permet de remplir des tâches d'exécution et d'être envoyé en OPEX ou en MCD. Cette formation se déroule au centre d'instruction santé de l'armée de terre à Metz. Ensuite, une formation dite « élémentaire » qui lui permet d'évoluer en grade. Enfin une formation dite « de premier niveau » nécessaire pour accéder à des fonctions d'encadrement et pour les meilleurs, au corps des sous-officiers.

Les compétences acquises lors de la formation initiale permettent de capitaliser des savoir-faire et des savoir-être précieux pour envisager une reconversion dans le secteur civil de la santé en tant que brancardier secouriste. Tout engagé ayant au moins quatre ans de service peut en outre bénéficier de dispositifs d'aide à la reconversion.

Titulaire d'un BEP, Salvador Sanchez s'est engagé dans l'armée de Terre comme brancardier secouriste. Aujourd'hui caporal, il commande une équipe de 2 militaires.Brancardier secouriste, le caporal Salvador Sanchez a pour mission de soigner les personnes blessées au combat en leur prodiguant les premiers soins et en se chargeant de leurs évacuations vers un hôpital de campagne militaire.Jeune chef d'équipe, il est fier d'affirmer, qu'à son âge, il n'aurait pas de telles responsabilités dans le civil. Chargé, avec son équipe, de porter le brancard, le matériel médical mais également les blessés et leurs équipements, le caporal Salvador Sanchez se doit d'être bon physiquement mais aussi mentalement, pour se dépasser lors des épreuves qu'il doit affronter.Le caporal Sanchez a passé des diplômes militaires qui lui permettront de continuer son ascension de l'escalier social en passant caporal-chef, ou en rejoignant l'école des sous-officiers d'active de Saint-Maixent, ce qui lui conférera encore plus de responsabilités.Impatient d'exercer sa spécialité sur un théâtre d'opération extérieure, il sera bientôt envoyé en Afghanistan, en tant que brancardier secouriste et pilote VAB (véhicule de l'avant blindé).« J'aime ce métier car il permet de découvrir beaucoup de choses : les départs à l'étranger ou, lors des missions en France, travailler avec d'autres régiments et d'autres personnes.»

Régiment médical

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En Opex "classique", les brancardiers secouristes des RMED, qui font partie de la 1ere BL, participent à la mise place et au fonctionnement des UMO (unités médicales opérationnelles). Dans ce cadre, ils peuvent participer à des tâches administratives et médicales comme les aides soignants. En fait le travail quotidien dépend beaucoup du type de théâtre d'opération, du type d'opération lui-même et de la taille de l'opération et du nombre de personnels déployés. Le job est différent sur le théâtre afghan, en Afrique, en opération de guerre ou en opération de maintien de la paix... En Afrique, par exemple, il y a beaucoup d'interventions médicales au profit des populations civiles locales, en Afghanistan, il y a ça aussi (bien moins) et il faut gérer les bobos quotidiens de tous les personnels déployés mais il faut aussi intervenir sur zone de combat dans le cadre des sorties pour mission, en opération de guerre type guerre du Golf (ça ne me rajeunit pas!) c'est encore différent... Lors des sortie pour mission tes collègues sont intégrés aux convois, en général avec des VAB médicalisés et sont chargés, en cas de besoin, de la prise en charge des blessés sur le théâtre et de leur évacuation sanitaire vers les postes de secours avancés où ils passent le relai aux infirmiers et médecins le cas échéant. Ils se chargent aussi des transferts médicalisés de blessés des postes de secours avancés vers les hôpitaux de camplagne...

Bref, pour répondre à ta question, mais je ne suis pas du tout un spécialiste, pour ce que j'ai pu en voir le job a l'air très varié et intéressant, physique (se trimbaler un brancard au milieu d'un parcours en terrain accidenté, avec un type dessus qui pisse le sang et qui compte sur toi pour lui sauver la peau, et des gars qui ne demande qu'à t'allumer si tu lève trop la tête: c'est du sport!!!). Mais c'est comme la plupart des spé dans l'armée, le niveau d'intérêt dépend toujours de l'affectation et de la mission! En tous cas, ce qui est sûr, c'est que j'ai vu sur zone de combat des brancadiers qui sont des sacrés mecs et qui méritent un énorme respect.

J'espère t'avoir donné un petit éclairage mais une fois encore c'est pas ma spécialité!

A plus.

Cossard

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Régiment médical

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  • 3 semaines plus tard...
  • 4 years later...

Vous savez s'il faut une gestion du stress de dingue pour brancardier secouriste?

J'avais pas une note assez bonne pour maître-chien alors je retourne sur mon choix numéro 2 qui est donc brancardier. L'adjugent-chef qui m'a fait passer l'entretient d'embauche pendant les tests m'a dit qu'avec mon dossier, c'était tout à fait faisable, mais mon recruteur au CIRFA me dit que c'est pas sur, ducoup je suis un peu perdu :D J'ai la réponse le 14 novembre mais en attendant..suspense !

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  • 1 mois plus tard...

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