jerome38 Posté(e) 12 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 12 octobre 2022 Bonjour je m'appelle Jérôme, j'ai 29ans, je suis légionnaire depuis 5ans au 2eme régiment étranger d'infanterie et je suis civil dans 3 semaine. Il y a un peu plus d'1 an j'ai demandé la conversion de mon permis poids lourd militaire en permis civil mais sa m'a était refusé par mes supérieurs (motif de refus)=je ne resigne pas de second contrat. Ont ils le droit de prendre ce genre de décision ? sachant que je n'ai aucun jour d'arrêt, comportement toujours exemplaire aucun écart pendant 5ans Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 12 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 12 octobre 2022 Lorsque vous avez passé le BCM poids lourd, vous a t'on signifié que sa conversion était liée à un renouvellement de contrat ? Par ailleurs, il vous faudra détenir l'avis médical d'aptitude à la conduite établi par le médecin chef du 2, exigé pour le permis C plus de 3, 5 tonnes. Et au vu de ce que vous écrivez, ce n'est pas gagné. Avez-vous pris contact avec le président des caporaux-chefs ? BTX Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanjesuit Posté(e) 12 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 12 octobre 2022 (modifié) HS, et je m'en excuse : la légion a l'air d'être particulièrement mesquine avec les légionnaires ne signant pas de deuxième contrat. Conserver des cadres par la contrainte, même indirecte, est-elle vraiment une stratégie gagnante ? Modifié 12 octobre 2022 par jeanjesuit Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Levy Pierre Posté(e) 12 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 12 octobre 2022 Pour pouvoir signer un deuxième contrat, il faut généralement avoir obtenu le grade de CPL Nous ne savons pas si c'est le cas de jerome38 Militaire d'active Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 12 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 12 octobre 2022 Pour JEANJESUIT 1. Un légionnaire n'est pas un cadre. Un caporal-chef comme un caporal appartient à la catégorie des "gradés de contact". Un sous-officier, a fortiori un officier, eux sont des cadres. 2. Le COMLE est le principal adjoint/conseiller du CEMAT en matière de gestion du personnel servant sous statut étranger. Si le DRHAT de son côté émet annuellement une DUG pour la gestion du personnel relevant du statut général des militaires, de son côté, le COMLE en fait de même. Et dans cette DUG "légion", la conservation des effectifs est une priorité essentielle. Comme l'a dit JEROME38, il est un excellent légionnaire et, très logiquement, le commandement tente par tous les moyens de le dissuader de quitter les rangs de l'institution. Là dessus, il n'y a rien à dire. Chacun son job. 3. Au demeurant, il faut souhaiter à l'une et à l'autre des parties de déboucher sur un honorable compromis. BTX Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yann pyromane Posté(e) 12 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 12 octobre 2022 Surtout quand on constate l'armada des candidats qui ne demandent qu'à y faire carrière venue des 4 coins de la Planète.Sans doute que le légionnaire cité est un bon élément . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanjesuit Posté(e) 13 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 13 octobre 2022 (modifié) Il y a 10 heures, BTX a dit : Pour JEANJESUIT 1. Un légionnaire n'est pas un cadre. Un caporal-chef comme un caporal appartient à la catégorie des "gradés de contact". Un sous-officier, a fortiori un officier, eux sont des cadres. 2. [...] Et dans cette DUG "légion", la conservation des effectifs est une priorité essentielle. Comme l'a dit JEROME38, il est un excellent légionnaire et, très logiquement, le commandement tente par tous les moyens de le dissuader de quitter les rangs de l'institution. Là dessus, il n'y a rien à dire. 1. Tout à fait, il y a abus de langage de ma part. Peut-être eût-il mieux valu parler de pilier ? Je voulais insister sur l'expérience institutionnelle du légionnaire qui a choisi de rester jusqu'au bout de son contrat. 2. Bien au contraire, je trouve précisément qu'il y a à redire. Retenir les légionnaires expérimentés par la contrainte c'est créer une atmosphère délétère dans laquelle seront baignés dès leur arrivée les nouveaux engagés, c'est créer du ressentiment envers l'institution, et donc in fine c'est générer une force combattante moins résolue et moins efficace. S'il y a un problème de rétention, ce sont ses causes qui doivent être combattue, et non les symptômes (le départ en lui-même). Surtout s'il s'agit a priori d'un bon élément, et a fortiori si l'élément de contrainte employé est si risible qu'à l'évidence il ne sera pas déterminant pour le réengagement du légionnaire mais qu'il témoigne néanmoins envers le reste de la troupe du peu de considération que leur porte le COMLE. Bref, ça ne me paraît pas une décision stratégiquement avisée. Modifié 13 octobre 2022 par jeanjesuit Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Malina Posté(e) 14 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 14 octobre 2022 Effectivement il faut voir tout cela. Si le passage était conditionné à un second contrat, un lien au service, etc. "La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanjesuit Posté(e) 15 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 15 octobre 2022 S’il y avait condition de lien au service j’imagine que @jerome38 le saurait être nous en aurait fait part, le cas contraire mon propos aurait été déplacé (et son espoir probablement vain). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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