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Cannabis


Jyka

Messages recommandés

En Espagne ? Ou au Maghreb ?

Sachant que vous aviez ouvert un dossier de candidature à l'engagement, vous avez agi avec "légéreté". C'est en langage de "junky" ce que l'on appelle comettre une "boulette". Shit !

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Parfait

Vous m'apprenez qqchose : les médecins US utilisent à des fins thérapeutiques le cannabis.

Le pb demeure que si vous passez au CSO, et par la suite votre dossier de candidature agréé, si vous incorporez une unité française, vous serez soumis à la législation française et aux instructions de la DCSSA. Assez contraignantes en termes de dépistage des produits et substances illicites et plutôt répressives si la consommation et l'addiction sont constatées.

Le mieux : se renseigner auprès du CIRFA.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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Salut,

Jyka : Au CSO il n'y a pas de test de dépistage de drogue, pas de panique.

En revanche, il y'en a un à l'incorporation, donc au moins un mois avant il faut arrêter. C'est un militaire qui nous l'a dit ;) La preuve en est qu'un candidat avait fumé du cannabis la veille et rien ne s'est produit, le test urinaire n'est pas utilisé pour sa.

De même, qu'ils vont te demander sur une fiche si tu as déjà consommé des drogues, tu peux dire que oui sa ne change rien.

BTX : La prescription ou la recommandation de marijuana est autorisée dans 13 États comme la Californie. Les Cannabis Clubs sont réglementés et licenciés par les autorités fédérales, ces clubs qui ont pignon sur rue sont les seuls endroits où le cannabis médical est autorisé à la vente, la consommation peut se faire sur place ou bien à domicile.

Voilà :happy:

Toujours en pointe !

Combattant au 126e RI

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Perso, je fumait, mais qu'en soirée, j'avasi arréter depuis pas mal de temps, et qu'en le doc m'a proposé ca, au début j'ai cru à une blague. sachez d'ailleurs, que si le canna à été autorisé aux States, c'est parce que la morphine ne fesait plus aucun effet ...

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Il est dommage que notre toubib préféré ne soit pas disponible. Il vous donnerait plus académiquement que BTX son avis sur ce fléau.

Un mot : faites pour le mieux. Vous avez en mains votre avenir.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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on est passé d'une consommation exclusivement médicinale à une consommation en soirée.

Le mensonge est le deuxième fléau après le cannabis...

BTX: hey oui l'armée c'est le reflet de la société, c'est pour ça que beaucoup recherchent les forces spéciales et / ou que de bons éléments quittent les régiments, comprenez qu'ils n'ont pas l'attention de se faire plomber à cause de gugus en manque d'adrénaline et de sensations fortes...

The only easy day was yesterday

Remember to keep yourself alive, there is nothing more important than that

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Non Auréliane, vous n'avez pas compris le coup de la morphine.

Le cannabis a été légalisé aux USA au prétexte entres autres que sur certains patients, la morphine ne faisait plus effet.

Rien à voir avec notre Gugus d'aumilitaire.On peut donc très bien lui en avoir prescrit alors que sur lui la morphine aurait marché.

Ce n'est pas malin de sa part, mais y a pas de quoi le traiter de mythomane non plus.

Rien n'est jamais acquis

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  • 2 semaines plus tard...

lors de la visite au cso, il me semble que ce n'est pas un problème. bien que ça fasse mauvais genre d'être dépister au test urinaire....

en revanche, il a un second test avant l'incorpo, et là.... si tu est positif, c'est fini.

(c'est ce qui à été dit au candidat lors de la visite médicale au cso.)

donc si ça fait un mois que tu n'a pas fumé, déjà arrête cette cochonnerie...

fait du sport, bois beaucoup d'eau, et ça devrait aller lors du second test urinaire...

mais arrête !!

Modifié par ssof
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L'abus de cannabis n'est pas pire ni meilleur dans toute situation professionnelle nécessitant un minimum de vigilance que celui d'autres psychotropes tel l'alcool.

Il y a bien sûr, en France, une différence légale bien que de plus en plus ténue: si j'ai connu, à défunt l'hôpital des armées de Nantes il y a longtemps une recherche systématique et souvent positive à des taux effrayants des gamma-GT chez les personnels des essences (vous savez, ces mecs qui conduisent des bombes emplies de carburant), et à qui, enquête faite, cela ne faisait alors de tort qu'à l'avancement, il commence depuis un moment à faire sale temps pour un militaire à être ivre.

Et allant par exemple jusqu'au point, vécu récemment, qu'il faut l'autorisation écrite du chef de base pour alcooliser un pot de départ ou de promotion.

Cela dit, il est inexact de soutenir que la cannabis thérapeutique aurait été légalisé aux Etats-Unis: je rappelle qu'il s'agit d'un état fédéral où seuls quelques états (Californie, état de Washington...) ont adopté des dispositions en ce sens.

Mais ce qui est plus intéressant en ce qui nous concerne est l'aspect antalgique revendiqué (et l'on a parlé de douleurs résistant aux morphiniques).

Les indications thérapeutiques pour lesquels il serait autorisé seraient:

cachexie, cancer, HIV ou sida, épilepsie, glaucome chronique, douleurs autrement intraitables, sclérose en plaques, nausées chimio-induites, tremblements de la maladie d'Alzheimer.

You know what?

Je ne vois aucune des ces affections compatible avec un engagement militaire: il conviendrait avant tout que l'auteur de ce post nous explique quelle est cette fameuse patholologie dont il souffre, et dont les douleurs résistent aux morphiniques.

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Il ne le fera surtout pas car :

1/C'est une atteinte à sa vie privée.

2/Ni vous ni moi ne sommes médecin. De ces "révélations" nous ferions quoi ? Des commentaires vaseux et sans intérêt.

3/Je n'ai pas pour habitude de contester ce que me dit un Internaute qui vient ici demander une réponse après avoir exposé son cas. Je le crois sur parole. Comment aurais-je pu resté aussi longtemps sur ce forum si tel n'avait pas été le cas ?

BTX

Ya Rab Yeshua.

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il existe de nombreux sujets postés sur le "cannabis". Vous auriez eu votre réponse en usant de la fonction recherche du forum.

La consommation du cannabis Et plus largement de stupéfiants, est interdite en France. Il s'agit d'une infraction pénale.

les autorités françaises se moquent bien du pays dans lequel on ait pu le consommer si vous êtes amené à être contrôlé sur le territoire français.

Elles ne demandent aucun justificatif, si vous êtes contrôlé positif vous devrez vous soumettre aux règles et donc serez sanctionné.

"La réglementation française, conformément aux normes internationales, émise par l’Organisation Mondiale de la Santé et l’ONU a classifié les produits dangereux dans le code de la santé publique en 4 catégories :

- les substances stupéfiantes (ex. héroïne, cocaïne, ecstasy, cannabis, etc.)

- les substances psychotropes (anti-dépresseurs, tranquilisants, hypnotiques, etc.)

- certains autres médicaments

- les substances dangereuses (éther, acide, etc.)

La production, la distribution et l’usage de ces substances sont soit sévèrement réglementés, soit pour certains comme les stupéfiants totalement interdits, à l’exception de l’usage médical.

L’alcool et le tabac n’entrent pas dans cette classification : ils sont soumis à une réglementation particulière concernant notamment la distribution (vente aux mineurs, etc.), la publicité, les lieux de consommation et la conduite automobile.

La loi est une règle de conduite en société, votée par les représentants du peuple et qui s’impose à tous.

Protégeant l’individu et la société, elle se situe au carrefour de l’intérêt général et de la liberté individuelle. Elle délimite nos droits mais aussi nos devoirs. Elle peut ainsi interdire voire sanctionner certains actes dangereux ou préjudiciables à soi-même ou à la collectivité.

Appliquant ces principes, la loi sur les stupéfiants, en accord avec les conventions internationales ratifiées par la France, prend en compte les objectifs de santé publique et repose sur trois grands axes : interdiction de l’usage ; alternative de soins à la sanction de l’usage ; répression du trafic et des profits à tous les niveaux. Les sanctions encourues sont proportionnelles à la gravité de l'infraction commise.

Des propositions sont actuellement en cours pour modifier la loi du 31 décembre 1970, qui a fixé les bases de la législation sur l'usage des produits stupéfiants en France.

L’usage de produits stupéfiants est interdit par l’article l 3421-1 du Code de la santé publique qui prévoit des peines maximales d’un an d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende. Depuis la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance, qui a modifié certains articles du Code de la santé publique, les personnes ayant commis ce délit encourent également une peine complémentaire: elles doivent effectuer un stage de sensibilisation aux dangers de l'usage des produits stupéfiants.

Comme pour toutes les sanctions pénales, il s’agit de peines maximales et, dans la pratique, les magistrats conservent une grande marge d’appréciation. L’emprisonnement reste très exceptionnel.

En cas d’interpellation, le consommateur peut ainsi éviter la sanction pénale en acceptant une aide médicale, psychologique et sociale.

La justice dispose de larges possibilités d’alternatives aux poursuites ou à la sanction : classement avec avertissement, classement avec orientation vers le secteur sanitaire et social (médecins, psychologues, assistantes sociales, associations, etc.), injonction thérapeutique (obligation de se soigner).

Le procureur de la République peut appliquer, avec l’accord de la personne interpellée, la procédure de « composition pénale » qui évite le jugement : travail d’intérêt général, versement d’une amende, remise du permis de conduire, etc.

Par ailleurs, tout consommateur peut, par lui-même, demander une assistance médicale (entretien, consultation, hospitalisation, etc.) qui sera anonyme et gratuite.

Pour lutter contre le sida, les hépatites et d’autres maladies, des programmes d’échanges de seringues, des traitements de substitution (Subutex, Méthadone) et des structures d’accueil ont été mises en place."

http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/drogue/loi-drogue/drogue-que-dit-loi/

BTX a rappelé deux points essentiels: vie privée et médecin militaire.

Pour le reste Jyka est averti, il n'a plus qu'à prendre ses responsabilités.

On peut admettre que le sujet est traité.

1) Présentation obligatoire : cliquez ici

2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée

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