Les risques d’arrêt cardiaque et la conduite à tenir

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D’après les statistiques d’une étude menée en France en 2011, plus 60 000 cas de crises cardiaques ont été recensés entrainant ainsi le décès de 2400 personnes. De nos jours, environ 30% des décès sont causés par les accidents cardio-vasculaires.

C’est quoi un arrêt cardiaque ?

Il se manifeste par l’irrégularité et la rapidité d’un rythme cardiaque via la fibrillation ventriculaire. Pendant ce processus, le corps subit des perturbations qui ne permettent plus au cœur de pomper normalement le sang et cela empêche un fonctionnement optimal du cœur. Un tel dysfonctionnement impacte négativement sur le fonctionnement du cœur tout en empêchant à l’oxygène d’alimenter le corps. Les conséquences d’un arrêt cardiaque peuvent être fatales et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est urgent de prendre des mesures conséquentes lorsqu’on observe certains signes annonciateurs. Contrairement à ce que certains pensent, il existe une différence entre un arrêt cardiaque et une crise cardiaque. Les crises cardiaques sont dues au blocage des vaisseaux qui alimente le cœur en sang or l’arrêt cardiaque est un problème lié au rythme cardiaque.

Quels sont les symptômes d’un arrêt cardiaque ?

L’arrêt cardiaque arrive de manière brusque et c’est d’ailleurs pour cette raison que la plupart de personnes victimes de ce dysfonctionnement sont frappées par une mort subite. Les signes précurseurs de la crise sont l’effondrement, l’inconscience, perturbation du rythme cardiaque, la personne ne réagit plus aux bruits encoremoins au toucher. Toutefois, si vous avez déjà été victime au moins une fois de l’un de ces signes, il est préférable de voir un médecin. Les différents examens permettant d’évaluer le risque de crise cardiaque sont la radiographie thoracique, l’échocardiogramme, l’électrocardiogramme, l’épreuve d’effort.

Que faire face à une situation d’arrêt cardiaque ?

Les arrêts cardiaques font de nombreuses victimes chaque année. En France, la plupart de cas surviennent à domicile, sur les lieux publics ou sur la voie publique. On trouve un Equipement dans le civil pour pallier à ce genre de problèmes. De toutes les façons, il est possible qu’il y soit la présence d’une autre personne au moment où l’on est victime d’un arrêt cardiaque et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est important de sensibiliser la majorité de citoyens sur les gestes à poser pour soulager la victime. Lorsque l’arrêt cardiaque survient, le sang arrête brusquement de circuler et le témoin peut effectuer des massages ou la défibrillation qui représentent les gestes de réanimation permettant ainsi aux patients d’échapper à la mort. Lorsque vous observez que la victime est inconsciente après l’effondrement, il faut appeler les secours. Et la prochaine étape consistera donc à faire des massages, et défibriller. Pour ce qui est du massage cardiaque, il consiste à appuyer à des fréquences réduites sur le thorax du patient. Cela permet au sang de continuer à couler lorsque le cœur n’arrive plus à remplir cette fonction. Pendant ce temps, la victime doit être couchée sur le dos, bien allongé au sol et celui qui apporte ces premiers secours se met à genoux proche de la victime avec le talon d’une main au centre de la poitrine du patient et non sur les côtés et la seconde main est superposée sur la première et on appuie.